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4.02/5 (sur 134 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Commercy, Meuse , le 04/11/1983
Biographie :

Frédérique Arnould est romancière.

Mère de deux garçons, c’est lors d’une grossesse difficile, qui la force à rester passive, que l’envie d’écrire lui prend. Pour échapper au quotidien, elle prend la plume et se plonge dans des univers imaginaires qu'elle adore créer.

Ses ouvrages publiés sous le nom de Frédérique Arnould sont destinés à un large public. "Des amours maudites: La guerrière d'Argalone" (2014) est son premier roman.

Récemment, elle s'est prise d'affection pour la romance et explore ce genre à travers de nouveau écrits. Elle emporte le lecteur dans ses univers un peu plus sensuels et fantastiques sous le pseudonyme de Leona Brown.

Frédérique Arnould se consacre à sa famille tout en exerçant le métier d’assistante maternelle agréée.

page Facebook : https://www.facebook.com/faauteur/

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Trailer du roman SOMBRES TENTATIONS - Tome 2 : Capitulation (Leona Brown)


Citations et extraits (41) Voir plus Ajouter une citation
Ces deux-là s'étaient rencontrées dans l'établissement scolaire ou Théa avait pris son poste en tant que professeur d'histoire. Ingrid y travaillait comme conseillère d’éducation. Il n'avait pas fallu longtemps pour qu'elles deviennent comme les deux doigts de la main. C'est même Ingrid qui lui avait vendu un terrain afin qu'elle y construire sa maison avec son époux. Elles étaient très différentes - si l'une était extravertie et impulsive toujours prête à faire la fête, l'autre était plutôt le contraire-, et elles s'entendaient à merveille.
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Ma mère m’avait toujours affirmé que le jour de mes seize ans serait l’un des plus beaux jours
de ma vie. Et elle ne s’était pas trompée !
Mais elle avait omis de me dire que le surlendemain, je vivrais un véritable cauchemar qui
hanterait toutes mes nuits. Comment continuer à avancer quand on a perdu tous ceux que l’on
aime ? À quoi se raccroche-t-on lorsque l’on a un trou à la place du cœur ? À l’espoir d’un nouveau
jour ? Non, on se cramponne à celui de se venger.
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Le bateau accosta en fin de matinée. Main dans la main, ils quittèrent le navire avec un large sourire. Tout paraissait tellement parfait. Toutefois, Théa ne put s’empêcher d’avoir une boule dans la gorge en remarquant la tête du capitaine qui les observait. Il était resté muet, mais elle avait bien vu que leur différence d’âge l’avait gêné, voire peut-être même dégoûté. Théa ne comprenait pas pourquoi cela était si problématique. Ils ne disaient pourtant rien quand un homme sortait avec une femme plus jeune que lui.
— Quelque chose ne va pas ? demanda Julien, anxieux.
— Ce n’est rien.
Julien s’arrêta, il prit le visage de sa maîtresse entre ses mains et la fixa droit dans les yeux, attendant qu’elle lui dévoile ce qui la perturbait. Théa porta un regard autour d’elle pour voir si on les observait et Julien comprit immédiatement son malaise.
— On a dit que plus rien ne se mettrait entre nous.
— Je sais. Mais as-tu remarqué comment le capitaine du bateau nous dévisageait ?
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Théa rejeta l’appel et rangea son iPhone.
— Laisse-moi quelques jours pour démêler tout ce sac de nœuds. Après, quelle que soit ma décision, je te promets de le contacter.
Caroline souffla, exaspérée. C’était à croire que Théa fuyait le bonheur. Elle ne dit plus un mot, mais sentit son cœur se serrer. Elle ne supportait pas de voir sa sœur souffrir comme ça.
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Le sourire aux lèvres, le prince m’expliqua que ce n’était là que les appartements réservés à la famille royale, et qu’il n’occupait qu’un étage parmi d’autres. Il s’arrêta devant une porte et l’ouvrit. J’y entrai en premier et restai complètement ébahie par la beauté, par l’immensité de la pièce qui était inondée de soleil. Je tournai sur moi-même pour admirer tout ce qu’elle recelait. En apercevant les grandes fenêtres, je m’y précipitai pour contempler l’extérieur. Je m’émerveillai comme une enfant face à la splendeur de la vue.
Les maisons, à la drôle de forme octogonale et aux façades agrémentées d’arbustes fleuris, s’étalaient sur des kilomètres. Les rues, toutes pavées de pierres blanches et rouges, serpentaient au milieu des bâtisses comme une rivière façonnée par le temps jusqu’à déboucher sur une place inondée de monde.
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Je vous ai demandé de ne plus vous quereller. Je veux que vous fassiez la paix et que vous vous serriez la main. Je sais que c’est une situation difficile pour vous, mais elle l’est aussi pour moi. Vous êtes les deux personnes qui comptent le plus pour moi. Je souffre de vous voir vous déchirer de la sorte. Sans compter que nous avons plusieurs problèmes à résoudre et vous devriez faire preuve de plus de maturité. Avez-vous compris ? »
Ils remuèrent tous deux la tête pour acquiescer. Tomas tendit ensuite la main à Maxi qui eut beaucoup de peine à la serrer. Satisfaite, je leur rendis l’usage de la parole.
« Fais-moi plaisir, la Fouine, n’utilise plus jamais la magie contre moi, dit Tomas d’un ton dur.
— Alors, évite de m’appeler ainsi, sinon je serai dans l’obligation de recommencer.
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— Je n’ai rien demandé. J’aurais préféré que ce fardeau tombe sur une autre. Je n’ai pas les épaules pour supporter autant de malheurs.
— Cesse de t’apitoyer sur ton sort. Tu es bien plus forte que cela. Il faut juste que tu retrouves confiance en toi. Tu es déjà parvenue à surmonter ce chagrin, tu y arriveras une nouvelle fois. »
J’expirai mollement pour chasser les sanglots qui me submergeaient. J’étais à bout, à fleur de peau. Je songeai à ma vie. Et si je partais loin de tout, serais-je tranquille ? Est-ce que Grahir abandonnerait l’idée de me voler mes pouvoirs ?
« Il te pourchassera où que tu sois, Alexia. »
Il se rapprocha et me saisit les mains avec douceur. Il sourit tristement comme pour me montrer qu’il me comprenait.
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Les yeux rivés au miroir, Anthéa fixait son reflet qui se transforma en celui d'un individu masculin. Elle se frotta le visage, croyant rêver, mais non. Il y avait un inconnu qui la fixait, et séduisant qui plus est. Encore un tour que lui jouait son esprit, cela devenait fréquent ces dernières semaines. C'était le même individu à chaque fois , et si Anthéa pensait être folle, elle aimait contempler ce beau brun. C'était devenu un ami, un réconfort, une des rares choses qui parvenait à lui arracher un petit sourire.

Elle cligna des paupières à plusieurs reprises ; il restait là devant elle. Il l'observait avec un regard noir envoûtant. L'air sévère sur son visage fin attirait la jeune femme plus qu'il ne l'effrayait. Elle aimait ce côté mauvais garçon, il était tellement beau qu'elle en oubliait tous ses soucis. Son torse nu musclé, parfaitement bien dessiné, la faisait frémir. Anthéa luttait contre elle-même car elle sentait le désir la submerger. Quelle poisse!
Pourquoi diable, dès qu'elle admirait un homme attrayant, l'envie l'envahissait-elle?
Elle se fit violence et rentra dans la douche sans plus jeter un œil sur son miroir. Au lieu de mettre de l'eau chaude, elle laissa l'eau froide lui fouetter le corps. Au moins avec ça, elle en oubliait ses pulsions... enfin, juste pour un temps
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Les paroles de Wilfried me revinrent alors en tête.
« Tu es l’une des personnes les plus puissantes sur cette terre, Alexia. Je n’ai jamais rencontré de potesmanus puisque ce don est rare, sans doute à cause de l’étendue de vos pouvoirs. Vois-tu, il existe une hiérarchie au sein même des magiciens. Il n’y a pas qu’un seul degré de magie, mais plusieurs. Les potesmanus sont en haut de l’échelon, car ils regroupent la totalité des capacités. 
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-Je suis heureux que tu aies répondu à mon appel. Anthéa sursauta; Lucifer. Elle se tourna et darda sur lui un regard menaçant.
-J'aime quand tu me défies ainsi. Cela accroît mon désir pour toi.
Elle redressa la tête et tenta de construire cette barrière dont lui avait parlé Azraël, en vain. La peur la fouetta, mais hors de question de le lui montrer, de le laisser l'utiliser contre elle.
- Je t'en veux énormément, tu sais! Tu te demandais à quoi tu étais destinée, et bien, ta place est auprès de moi. Tu as été conçue pour régner avec moi et m'ouvrir les portes de ton monde. Mais tu t'obstines à repousser ta nature profonde.
Anthéa secoua la tête en signe de dénégation, elle rejetait cette perspective, son rôle était tout autre. Elle recula pour s'éloigner du mal en personne. Ses pas ne l'amenaient nulle part. Ses jambes soudainement lourdes restaient collées. Ses veux tourbillonnaient, à la recherche d'une issue. Comment s'enfuir d'ici alors qu'elle ignorait la façon dont elle y était entrée ?
- Lorsque tu accepteras ton destin, le lien qui t'unit à Azraël se rompra et tu seras mienne. Le Suprême n'est pas le seul à jouer aux échecs, ma chère..
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