Galou (II)

Ce livre commandé au P.N...............non, zut, dire le PERE Noel, c'est déjà un truc sexiste, je recommence.



Ce livre m'a été adressé par M'dame Massecritik dans un délai ultra-rapide de 6 jours, et je l'ai lu vachement vite, vu que c'est que des dessins et seulement 95 petites pages.

Il est écrit en français, mais il a été élu "meilleur livre de l'année" au Qatar, vu que là-bas les femmes sortent pas dans la rue, ne savent pas lire et on pas le droit de l'ouvrir de toute façon. Donc les Qatari ont beaucoup ri, après quoi ils sont retournés à leurs occupations viriles dans ce beau pays qui sert de modèle pour la tolérance, la liberté et l'égalité de tous.



Pour en revenir à cet ouvrage catégorie "philosophie" et "guide pratique", sa principale qualité est que je partage largement son point de vue.



Mais son principal défaut est que jamais aucun véritable phallocrate ne le lira.

Il s'adresse à des convaincues, et donne des conseils difficiles à mettre en pratique: pour échapper au sexisme, vous devez éviter certains lieux, tels que la famille, l'entreprise, le bistro ou l'église, les commissariats, les hôpitaux, les restaurants, bref partout où vous risquez de tomber sur un macho relou avec un cerveau d'amibe.

On voit que ce guide ne fait pas dans la nuance, c'est un manifeste, un appel à la résistance, un hymne à la liberté saupoudré d'une légère exagération.

Une lecture toutefois salutaire pour réveiller les consciences et susciter un petit débat musclé en famille ou entre amis pendant les soirées d'hiver.



Merci pour les bonus et pour la dédicace! et joyeux Noël les filles!

J’ai commencé cette BD avec circonspection, la longue préface m’a peu laissée interdite. Les petites scènes m’ont quelques fois fait sourire, quelques fois (moins nombreuses)… rien. Le dessin est sympa et drôle, même si parfois les émotions sont un peu dures à déchiffrer. J’aime bien l’humour de répétition, je suis bon public surtout avec un thème de ce genre.

Mise en quarantaine est une bande dessinée très personnelle. Galou fait un état des lieux sur sa petite personne à son anniversaire de quarante ans. Sa vie amoureuse et sa vie professionnelle sont au calme plat. Entre les rendez-vous catastrophiques avec les filles ou ceux avec les Pôle emploi non moins convaincants, Galou se moque gentiment de son existence : il mange n’importe quoi, manque d’exercice, n’a pas de copine ni de travail. Mais sa solitude se perçoit à travers quelques petites moqueries par exemple quand il attend des réponses dans des discussions avec lui-même quand il sait qu’elles ne viendront jamais.

Son humour ne tombe pas toujours juste mais on ressent son angoisse sur le temps qui passe et les attentes sociales qui en découlent. Alors la quarantaine, est-ce plus un cap qu’un autre ? A chacun son analyse…

Merci à Babelio et aux éditions Blandine Lacour pour cette découverte, cette édition promet de beaux moments d’humour, je lirai d’autres titres.

Perplexe ! Cette BD me laisse perplexe ! parce que tiraillée entre enthousiasme et..."les bras m'en tombent!".

"Les bras m'en tombent" face à quelques blagues très, très bof !

Mais enthousiaste pour la présentation du livre, le choix du titre et le ton entre tendresse et humour noir.



Cette BD se présente dans un format qui fait penser aux "organiseurs", ce genre d'agendas hyper-pros qui font supposer que son détenteur est un super-cadre à la rémunération...euh...en France , on ne parle pas gros sous ! Mais c'est aussi le format des agendas scolaires pour ados. Et la couverture est celle d'une page d'ephéméride, toute gribouillée. Il s'agit bien du temps qui passe, de celui qui est passé, sans laissé de traces, comme une vie où rien ne s'inscrit, entre espoirs (ceux qui accompagnent les images de gloire médiatiquement apposées aux gagnants, ceux qui ont tout réussi vie amoureuse, professionnelle et plus..) et doux et/ou ambitieux rêves de l'adolescence et du jeune adulte plein de possibles (important le "S" à "possible"). Bref, fini le temps des espoirs : l'âge de 40 ans c'est l'âge des réalités...ça ne chante pas tous les jours la réalité ! Et d'autant moins lorsque on appartient à celles et ceux bourrés de talents mais confinés à des emplois précaires, dont le travail se réalise en solitude et pour lesquels la recherche d'emplois est encore plus difficile.

D'où la bonne idée du titre qui joue entre l'âge et la sensation d'être mis à l'écart de la société. Cette entrave, cette exclusion est malicieusement représentée au fil des pages par le vigile baraqué, courtois et obtus, qui à chaque occasion loupée lui répètes "Faudra plus jamais revenir ici Monsieur !" ; peu importe le lieu, c'est toujours le même homme de la sécurité, ou du moins, c'est ainsi qu'il est perçu !



Et puis, la lecture se continue entre traits railleurs et "enfonçage de portes ouvertes".

Tendresse des "Remerciements" pour une fois, amusants à lire, sa version TRES personnelle du "Petit Prince", la façon dont plusieurs scénètes dessinent le discours envahissant dans lequel nous baignons tous, démoralisant, démobilisant. Son héros est avachi mais, il n'est pas le seul !



Pour conclure, un sacré "coup de rétro" où tout à coup le lecteur se trouve quelque(s) ressemblance(s) avec le héros : personnellement ce serait...Narcolepsie qui se conclu par "t'aaain ! J'ai oublié que j'étais levé..". Un petit hommage à un certain Gaston La Gaffe ? Même personnage un peu doux-rêveur mais qui avait la chance de vivre à une époque moins accro à la rentabilité.



PS : merci à Babelio et aux Editions Blandine Lacour qui m'ont permis ce drôle de voyage dans le temps ! (eh oui : j'ai passé ce cap ! ouf !)

J'ai passé un excellent avec la lecture de ce petit guide qui mêle réalisme et humour.



J'aime beaucoup la façon qu'a l'auteur d'aborder un sujet parfois un peu délicat. Certaines mises en scène sont très drôles et les dessins concordent à merveille. On peut découvrir des situations de la vie quotidienne et c'est très sympathique à lire. Une partie m'a beaucoup fait rire c'est "Le top 30 des répliques féministes". Il y en certaines qui sont bien trouvées.



Ce que j'ai aussi apprécié dans ce petit livre, c'est le fait qu'il soit divisé en plusieurs sections. Cela permet de bien savoir de quoi on parle et de mieux se situer par rapport aux époques abordées.



Un autre petit plus est la préface rédigée par Virginie Despentes qui est parfaite pour ce petit guide.



Bref, j'ai adoré découvrir ce guide. Je ne connaissais pas l'auteur mais je compte bien continuer à découvrir ses ouvrages car si ils sont tous aussi drôles, je suis sûre de passer un bon moment de lecture.



Je tiens à remercier Babelio et les éditions Blandine Lacour pour ce partenariat. De plus, merci à l'auteur qui a eu la gentillesse de me dédicacer son livre et aussi merci pour les marques-pages et petites cartes bien sympathiques envoyées avec ce dernier. Ça fait plaisir. :)


Lien : http://lecturesmagiquesetfee..

Recueil de strips sur le même modèle : un homme et une femme dans un lit, parlant de sexe (et un peu d'amour). Et l'homme sans doute un peu fanfaron, conquérant, demandeur, en prend plein la gueule !

L'auteure n'est pas tendre avec l'homo erectus (ou plutôt l'homo erectant), maniant l'humour avec férocité, souvent avec justesse.

Cependant, outre certains strips un peu plus faibles, l'effet comique est un peu répétitif à la longue.

Un petit bouquin assez sympathique qui se lit vite. Merci à MC Babel et à Blandine Lacour de m'avoir permis cette découverte.

Coming Out est un tout petit livre : quinze centimètres pour moins de cent pages. Sa couverture jaune attire le regard. On jette un œil : « Previously dans « La p’tite Blan » », peut-on lire. On tourne quelques pages avant d’entrer dans cette « histoire de sortie de placard » comme l’indique le sous-titre.



La p’tite Blan a découvert qu’elle était lesbienne. Et maintenant qu’elle en est consciente, elle va le dire à tout le monde pour être vraiment elle et laisser loin derrière tous les faux-semblants. Mais ce n’est pas si simple : comment l’annoncer ? Faut-il le dire à ses parents ? Les séances chez le psy se révélant inutiles, elle fait face à l’incompréhension, à l’intolérance, à l’hypocrisie, au rejet. Bref, aux regards inopportuns des autres.



La p’tite Blan, c’est un dessin minimaliste qui en dit beaucoup : pas besoin de décalquer la réalité pour transmettre une émotion, transcrire une expression. C’est aussi beaucoup d’humour qui parle d’un sujet sérieux. Les situations sont vraies et l’on peut s’y reconnaître. J’ai beaucoup aimé ce qu’elle dit sur le coming out : on ne devrait pas avoir à se déclarer homosexuel(le), la sexualité de chacun ne regarde pas le reste du monde.



Une bande dessinée qui se lit trop vite, comique et intelligente, et qui m’a donné envie de lire les trois autres tomes dont le dernier est sorti il y a peu de temps !



Je remercie encore une fois Babelio, Masse Critique et les éditions Blandine Lacour de m’avoir donné l’occasion de rigoler avec la p’tite Blan ! Et merci à Blan pour la petite dédicace !

Si l'idée m'avait emballé par son côté drôle et piquant, le soufflé est retombé bien vite malheureusement...



Certes il y a quelques répliques amusantes, on a donc bien l'aspect "drôle" annoncé en résumé. Là où je suis moins d'accord c'est sur le "léger" parce que justement j'ai vite trouvé ça lourd !

Je m'attendais à de l'humour sur le couple et plus spécifiquement sur le sexe au sein du couple et au final ces piques (qu'elles visent juste ou non) attaquent un peu trop durement ces messieurs à mon goût, de manière répétitive et pas toujours très "légère", on frôle la méchanceté et la rancœur.



Au point qu'au bout d'un certain temps cet humour m'a mis mal à l'aise... Je ne suis pas anti-féminisme (étant une femme moi même je ne vois même pas comment ce serait possible) loin de là, seulement pour moi le sexe se fait à deux et si on peut en rire et en parler avec légèreté on ne peut pas pour autant charger ainsi un seul des partenaires.



L'humour vire à l'aigreur selon mon ressenti. Dommage !
Lien : http://www.perdreuneplume.co..

Galou vient d'avoir quarante ans. On lui répète sans cesse que c'est un bel âge, même s'il a du mal à y croire. Sans travail fixe, au RSA, sans petite amie, il a la sensation que le passage de ce cap est là pour lui montrer ses faiblesses et il se sent obligé de réagir de façon à modifier sa vie actuelle, même si tout se met en travers de sa route. Les employés de Pole Emploi paraissent peu soucieux de l'aider, les rencontres avec les filles ne se déroulent pas toujours au mieux et il continue parfois à avoir des réactions d'ado, s'appuyant sur une culture cinéma pas toujours bien adaptée …

Ayant allègrement passé ce cap de la quarantaine depuis quelque temps déjà, j'étais curieuse de voir ce que l'auteur allait en dire. La couverture me plaisait déjà beaucoup, avec tous ces gribouillis sur des détails de la vie quotidienne bien réalistes. Le dessin noir et blanc est simple, parfois un peu brouillon mais humoristique et je me suis très vite attachée à ce nouveau quadragénaire car on est de la même génération, à quelques petites années près. J'ai donc totalement adhéré aux références de celui-ci et j'ai beaucoup ri devant certaines de ses aventures (surtout celles avec le vigile qui apparaît régulièrement). Il y a beaucoup d'auto-dérision et d'humour dans ces sketches allant d'une à plusieurs pages et c'est ce qui rend le personnage attendrissant et humain. Il reconnaît ses faiblesses mais ne se plaint pas et chaque anecdote a une dimension aussi bien amusante qu'émouvante. Qui plus est, je les ai toutes trouvées d'égale qualité, ce qui est en général plutôt rare dans ce genre d'album et c'est vraiment un bon point à mes yeux. Voilà à nouveau un album parfait pour lire pendant les vacances d'été !

Après la série Coming Soon, Coming Out et Coming Back, la p’tite Blan revient avec un Guide de survie en milieu sexiste. A faire passer à tous et toutes les sexistes du monde !



Avec ses sept sections et ses cent pages (ou presque), ce petit guide prépare à toutes les éventualités : après l’avoir lu, aucun sexiste ne peut nous résister !



La p’tite Blan poursuit donc sa chasse aux idées reçues. Ne vous attendez pas à un livre de sociologie avec des tonnes de chiffres à l’appui, ni à des conseils réellement tenables. Néanmoins, malgré les blagues, le livre n’en est pas moins pertinent et dépeint une triste réalité pour les femmes du XXIe siècle.



C’est toujours aussi drôle malgré ce sujet qui n’est pas drôle du tout, c’est un plaisir de retrouver les dessins de Galou et le sacré sens de la réplique de la p’tite Blan. L’humour est une arme qui peut être aussi efficace que les autres et Blan et Galou savent très bien en user de la toute première à la toute dernière page de chacun de leurs livres.

La préface de Virginie Despentes est un vrai bonus (pour celles et ceux qui ne connaissent pas, lisez-la !). Et comme elle dit, le rire est à utiliser non pas pour nier ou relativiser le sexisme, mais pour se souvenir que l’on a raison.



Et quel dommage que ce livre ne prêche que des convaincues ! En effet, la maison d’édition étant peu connue, je doute qu’il tombe (à part si on l’offre !) entre les mains des sexistes.



La p’tite Blan ou le talent d’unir gravité et humour pour éveiller les consciences : c’est rafraichissant, c’est intelligent, on en veut encore !

Une très belle découverte que j'ai pu faire grâce à l'opération masse critique de Babelio. Cette petite bande dessinée est très efficace et aborde le thème de l'homosexualité féminine à partir la propre expérience de l'auteure. Née dans les années 70 dans une famille très classique tenant à des schémas plus que traditionnels, la p'tite Blan va entreprendre une bataille pour faire voler en éclats les stéréotypes dans lesquels ses parents tentent désespérément de la faire rentrer. Avec beaucoup d'humour, elle aborde son combat personnel pour faire accepter ses choix et vivre la vie qui lui correspond.

Merci à Masse Critique de m'avoir fait découvrir cette petite BD si drôle!

On passe un bon moment, livre très rapide montrant les joies du couple au lit! Ceci fait penser aux bidochons. La femme en revanche est à l'honneur!

Drôle... Mais un peu lourd !

J'ai appris l'existence de cette Bd dans une émission radio consacrée à l'homosexualité dans la bande dessinée, avec notamment "le bleu est une couleur chaude" gagnant du prix d'Angoulême de 2012. À l'époque j'avais essayé de me procureŕ ce premier tome de la petite Blan, sans succès. J'ai donc sauté sur l'occasion lorsque j'ai vu qu'il faisait partie de la sélection de Masse Critique, que je remercie.



J'admire la démarche et l'humour décapant de l'auteur, plein d'auto dérision. Mais bon, quand même, ça ne vole pas haut... Heureusement que le livre est court car je crois que j'aurais lâché. Je ne sais pas comment sont les tomes suivants, mais beaucoup de planches sont inutiles, voire vulgaires. De plus, j'ai du mal avec les Bds aux dessins dépouillés, minimalistes. J'aime les ouvrages dont je peux admirer autant le fond que la forme. Bref, une légère déception, mais pas question de cracher dans la soupe: il m'est tout de même arrivée de rire de bon cœur.

Merci à Babelio pour ce livre dans le cadre du Masse Critique BD.



Merci à Blan pour la dédicace dans le livre, ainsi que pour les 2 cartes et les 2 marques pages.



J’ai adoré !



La préface par Virginie Despentes est très bien faite, écrite et tellement réaliste.



Quant à l’album lui-même, c’est un vrai petit plaisir de blague et remarques pertinentes sur le sexisme ordinaire. Divisés en plusieurs parties, la première a le mérite de redonner quelques définitions simples, et après ça vraies entre techniques d’identification du sexiste et les moyens de luttes.



Derrière l’humour (genre pour éviter le sexisme en famille zigouillez la famille, moi j’adore !), un vrai message pour nous montrer que l’on baigne dans le sexisme ordinaire et « acceptable ». Et des façons simples de l’identifier et de lutter, et pas besoin de faire beaucoup d’effort. Et surtout ne pas oublier que les femmes ET les hommes sont victimes du sexisme et que les hommes ET les femmes sont sexistes.



Court, efficace et drôle.

Je tiens à remercier les Editions Blandine Lacour et Babelio pour cette nouvelle édition de « Masse Critique » qui m’a permis de découvrir ce petit bijou hilarant qu’est la p’tite Blan Coming Out, une histoire de sortie de placard.

Outre le fait très agréable de découvrir dans le livre deux marque-page, deux cartes postales contenant chacune un extrait d’une autre publication ainsi qu’un autographe de l’auteure, j’ai dévoré ce livre en quelques minutes.

Il est drôle de la couverture jusqu’à la quatrième de couverture.

La société et ses bien-pensants sont passés au crible. Ce n’est jamais méchant et explique bien tout le chemin parcouru dans la tête d’une personne qui sent depuis son adolescence que son orientation sexuelle n’est pas celle que souhaiteraient pour elle sa famille, son entourage …

Tout est décortiqué, les clichés sur la sexualité des gays, la peur du qu’en dira-t-on, les petites phrases assassines de certains « people ».

Les commentaires des personnes parlant des homos sont repris et on les a tous entendus autour de nous.

Les dessins sont très drôles également. Un trait de crayon arrive à nous faire percevoir l’état d’esprit du personnage.

J’apprécierai de lire les autres ouvrages.

Lien : http://www.laptiteblan.fr/pa..

Une fois de plus j’ai bien ri avec la p'tite blan.



Il n’y a pas à dire, les auteurs manient l’humour sans faille autour d’un sujet pas toujours facile à aborder surtout en ce moment avec le retour des réactionnaires de tous poils.



Ce petit livre, très court, nous fait découvrir l’ontogenèse d’une lesbienne… et la conclusion est que cela vient naturellement. On se rend compte qu’on préfère les filles, on aime faire des jeux de garçons… mais surtout une petite fille qui a envie de vivre sa vie comme ELLE l’entend, et pas comme ON voudrait qu’elle la vive.



Je me suis parfois identifié à ce personnage.



Bref, à mettre en toutes les mains, lesbiennes ou non !

Livre reçu dans le cadre de l'opération masse critique. Merci à l'éditeur.

Un petit livre qui se lit très vite.

Permet pour une fois d'avoir l'aperçu du coming out du point de vue féminin‚ ce qui est plutôt rare. Par contre‚ les situations vécues sont les mêmes et on retrouve les clichés traditionnels liés à l'annonce de son homosexualité avec malgré tout une dose d'humour et de distance qui en fait un moment de lecture sympathique mais sans plus.

Lien : http://www.gaelklein.fr