Gije

Bien que la forme soit très réussie, la démarche qui aura donné naissance à ce roman graphique lui garantit, à elle seule, la note maximale. Si rien n'égal l'absolue noblesse des combats menés par ces différentes jeunes filles, rappeler et transmettre leurs histoires reste très noble, nécessaire et mérite d'être loué.

Nos sociétés anesthésiées ont besoin de ce genre de récits qui glorifient les meilleurs d'entre nous (ici, ce sont les meilleures). Ils doivent donner à ceux qui en sont capables l'inspiration et la volonté d'à leur tour permettre à l'humanité de se transcender, et aux autres, qui ne le sont pas, l'intelligence de les soutenir.



Après Les Sauveurs, les Editions Deman le font une nouvelle fois avec brio et nous ne pouvons que les encourager et patiemment attendre de découvrir leurs nouveaux projets.



Petit bémol subjectif, le titre : malgré leur jeunesse, leur volonté de rébellion n'est pas innée c'est notre laxisme qui l'a crée, elle ne sont pas "nées" ainsi et dire le contraire enlèverait à leur courage ; tandis que "rebelles" semble aujourd'hui avoir pris trop de connotations négatives, il aurait sans doute fallut lui préféré l'adjectif "révoltées".

Des planches douces, colorées, chaleureuses et superbes

Une envie de se nicher près de Nola dans sa vieille maison en bois aux fenêtres ensoleillées

Alors certes l''histoire était sans surprise

Déjà lue, naïve. Mais belle.

Certes tel un manga à succès on sent que l' histoire s'allonge inutilement

Mais c'était une pure lecture doudou

Et en ce moment je célèbre les livres qui prennent soin de nous.

Troisième tome, troisième changement de décor, chapeau aux auteurs pour le renouvellement !



J'ai beau rester toujours en retrait sur mon appréciation de cette série que je trouve sympa mais pas aussi emballante que prévue, j'apprécie de voir un duo d'auteurs qui cherchent vraiment à se décarcasser pour proposer à chaque tome une nouvelle aventure qui fait bouger la série.



Après un premier tome pour faire connaissance, un deuxième qui étoffait l'univers en découvrant les forêts et la magie de Pandorient, place à un tome 3 qui revient sur le passé de la mère de Nola et un épisode du passé de Pandorient : la guerre contre les Séléniens. J'ai beaucoup aimé ce renouvellement permanent des auteurs qui ainsi petit à petit dévoile les secrets de cet univers inconnus. En plus, cette fois, ils changent carrément de paradigme en faisant se dérouler l'aventure dans notre monde. Je ne pensais pas qu'ils oseraient si tôt même si on avait eu un petit indice.



Au programme : la réutilisation des personnages déjà connus mais qui se retrouvent sur Terre, l'ajout de nouveaux, l'utilisation plus importante de la magie et la présence plus importante de la mère des amis de Nola, le récit de l'Histoire des Pandorient et bien sûr une nouvelle aventure. Celle-ci comme les autres fois est un brin trop rapide pour moi avec un final que je trouve à nouveau précipité. Mais c'est dynamique, très vivant et avec une pointe de noirceur ou peut-être juste une note inquiétante qu'il n'y avait pas eu avant.



J'ai encore une fois été soufflée par le travail de Gijé sur les décors et paysages. Dans le trait, c'est moins classique et convenu qu'attendu, il y a même une vraie identité visuelle entre folklore et modernité qui vraiment me plaît beaucoup et qui gagne en visibilité au fil des tomes. En revanche, j'ai toujours autant de mal avec les personnages déjà connus... Heureusement que la petite Sélénite a un look bien plus sympa et que les représentations visuelles des pouvoirs de chacun claquent. Je suis sûre que mes élèves feraient des wow en voyant ça.



Avec ce troisième tome, petit à petit les auteurs trouvent de plus en plus leurs marques. Ils développent leur univers de manière moins classique que prévue. Ils savent varier les aventures des héros, ajouter un décor à leur histoire, montrer plus la partie fantastique de celle-ci, ça s'améliore. Cela reste encore un peu léger pour moi mais je continue à passer de bons moments en suivant les aventures de Nola.
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J'ai véritablement pris plaisir à découvrir les trois premiers tomes de La boite à musique. Tout d’abord, je tiens à rappeler la beauté des dessins, qu’il s’agisse du graphisme ou des couleurs choisies. Un vrai régal pour les yeux, notamment dans les plans d’ensemble, qui permettent de découvrir pleinement le monde de Pandorient mais aussi son passé. Je n’ai garde d’oublier les dessins montrant « notre » monde en plein hiver – et en pleine chute de neige : c’est beau une ville enneigée, la nuit.

Oui, le tome 3 commençait presque sereinement, si ce n’est que nous découvrions l’addiction au chocolat de Nola, addiction partagée par de nombreux lecteurs. Seulement, et cela crée un lien avec le tome 2, Cyprien a réussi à entrer dans notre monde, et cela provoque quelques catastrophes en série. Il a bien mérité un bon lavage de racines !

Si les deux tomes précédents abordaient déjà des thèmes profonds, ce tome-ci ne fait pas exception à la règle en nous révélant le passé de Pandorient, et les graves décisions qui durent être prises au cours de la guerre qui faillit détruire ce monde. L’on en découvre aussi un peu plus sur le rôle d’Annah au cours de cette guerre – le lecteur se trouve ainsi dans la même position que Nola, sa fille.

Un album tendre, délicat, rempli d’émotions.

Et retenons cette phrase : C’est légitime de chercher qui on est… mais le plus important est de profiter de ceux qui sont là… de ceux qu’on aime !
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A nouveau une très belle immersion dans le monde de Pandorient où Nola retrouve ses amis de l’hexomonde. Sitôt arrivée, une nouvelle aventure les attendent, Anton, le sorcier a affaire un voleur, son fils Cyprien qui est en fait victime de racket. J’ai beaucoup apprécié de voir comment, à travers cette histoire, l’auteur montrait aux enfants qu’il ne fallait pas hésiter à le dire à leurs parents. C’est fait de façon très subtil et quand Cyprien avoue tout, voir le soulagement qu’il ressent, grâce aux dessins superbes de cette bd, était vraiment génial et très bénéfique pour les enfants.



Un tome 2 encore mieux que le tome 1 à mes yeux, faut vraiment que je les achète à ma fille!!!

L'aventure à Pandorient continue dans ce deuxième tome où l'auteur nous parle de plantes, de racket et d'attentat.



L'histoire de Nola et l'univers de Pandorient sont toujours aussi attractifs. L'auteur maîtrise son histoire qui est lumineuse de par ses personnages attachants et expressifs et, grâce aux illustrations qui sont à tomber par terre.

Cette fois, contrairement à ce qui se passait dans les tomes précédents, ce n'est pas Nola qui passe dans le monde de pandorient, mais des pandorientaux qui viennent dans notre monde.



Cela commence par Cyprien qui ouvre une brèche dans laquelle bientôt d'autres créatures s'infiltrent et cela nous donne l'occasion de mieux découvrir l'histoire de Pandorient et de ... panoccident.



C'est finalement plutôt bien pensé et cela ajoute un peu de piquant aux aventures de nos jeunes héros avec un graphisme toujours aussi enfantin mais qui a un côté sucrerie de l'enfance et une belle mise en couleur

6 portraits, 6 jeunes filles au parcours étonnant et marqué par la volonté de s'exprimer et de défendre une cause, peu importe leur âge ou leur sexe.

Tout le monde connaît Greta Thunberg, moins Malala Yousafzai, Yusra Mardini, Emma Gonzalez ou les sœurs Wijsen. L'intérêt est ici de les découvrir et surtout de comprendre ce qui a fait d'elles des voix fortes qui se sont imposées face à l'immobilisme des adultes.

5 dessinateurs-trices accompagnent ces enquêtes et apportent une belle diversité graphique tout en maintenant l'accès au jeune public. A noter cette couv très réussie de Gijé !

Des histoires de vie et d'engagement qui ne peuvent que faire réfléchir sur ce que chacun de nous peut faire, à son niveau. Et si cela peut inspirer les plus jeunes, leur faire comprendre qu'ils ont un rôle à jouer, c'est gagné !

Résumé : Nola découvre une clé dans les cartons de sa mère, qu’elle retrouve aussi dessinée dans le carnet de celle-ci. Elle décide alors de se rendre à Pandorient pour en savoir plus sur cette mystérieuse clé. Mais elle découvre que l’Octopodus s’est fait arrêter, et que Séréna, la professeur de muzénologie, a disparu. Elle va alors mener l’enquête avec ses amis.



Mon avis : Nola va en découvrir plus sur les mœurs de Pandorient en participant à une enquête sur une mystérieuse disparition, et sur l’arrestation de l’Octopodus. Elle va alors écouter son cœur pour plaider la cause de l’Octopodus, une fois qu’elle aura compris de quoi il en retourne vraiment. Je n’en dis pas plus sur ce secret pour vous laisser la surprise de la découverte lors de votre lecture.



Nola et ses amis vont se révéler une fois de plus très efficaces, mais on se doute bien que l’histoire de la mystérieuse clé que Nola a trouvée dans les affaires de sa mère va être le début de nouvelles aventures, sûrement dangereuses. A suivre dans le tome 5 !



J’apprécie toujours autant cette série, tant pour le scénario et l’imaginaire proposé, que pour les illustrations et les couleurs. Et j’aime bien le relief de la couverture !
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La boîte à musique - tome 2 : le secret de Cyprien | Gije & Carbone



Bof, gros bof même.



J'ai tellement peu accroché que j'ai survolé la fin.



Alors que je me souviens parfaitement avoir dévoré le premier tome...Et on y retrouve pourtant les mêmes ingrédients: Nola que j'ai trouvé beaucoup moins attachante ici. Pandorient mon féerique à mon goût et le même dessinateur qui, cette fois, n'a pas su m'embarquer dans son monde.



J'ai même été agacée par l'ambiance de ce tome... ça crie, ça pleure, ça chouine, c'est trop dans l'exagération !



Je m'arrête là avec la boîte à musique.

Jusqu’à mon passage à la médiathèque à la mi-mars, je ne savais même pas que le quatrième tome de la boîte à musique était sorti… pas même qu’il était prévu. Donc ce fut une bonne surprise.

En tout cas, vu la façon dont ça se termine, il y en aura un cinquième.



En rangeant les affaires de sa défunte mère, Nola trouve une clé à tête de mort, de la même taille que celle qui mène à Pandorient, mais qu’ouvre-t-elle ?

Elle décide de le découvrir et pour cela, elle rejoint le monde d’Igor et Andréa. Bon, elle ne s’attendait pas à se laisser détourner de sa mission au profit d’une autre : retrouver la prof de muzénol de Willow qui a disparu.

Du coup, ça prend toute la bande-dessinée pour la retrouver… ce n’est pas particulièrement dérangeant, mais c’est quand même frustrant parce que Nola repart sans réponse à sa question : qu’ouvre la clé ? Le lecteur a un début de réponse dans les dernières vignettes, mais ce n’est pas fou comme piste…



Décidément, j’aime cette saga. Les illustrations sont toujours aussi belles, le côté végétale de la cité de Pandorient est relaxant… je me sens bien quand je parcours les pages de cette bande-dessinée.

Y a de nouveaux personnages… enfin, je crois qu’ils sont nouveaux :

– Willow (pas le souvenir de l’avoir vu dans les tomes précédents) est sympathique et j’aime beaucoup son character design, elle est trop mimi.

– Le voisin de Serena fait une courte apparition, mais je suis fan de son apparence, il m’a fait penser à un yokai.

Par contre, j’étais super contente de retrouver l’Octopodus. Il m’éclate toujours autant avec ses réactions exubérantes.

La morale de cette aventure est chouette : l’amour n’a ni couleur ni race… c’est amené de manière un peu brusque et pas très subtil, mais pour un jeune lecteur, c’est idéal.



J’ai adoré ce quatrième tome et j’ai hâte de découvrir le 5, mais comme il n’est pas encore sorti, il va falloir attendre plusieurs mois (probablement octobre 2021 sa publication est prévue le même mois que les précédents).
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C’est toujours un exquis plaisir de retrouver cette BD de grande qualité, tant scénaristiquement qu’au niveau du graphisme qui nous subjugue.



Nola est dans une passe difficile, elle pense beaucoup à sa mère, et trouve une mystérieuse clé. Mais que peut-elle bien ouvrir ?

Quelques moments tendres et qui sert le cœur se passent dans notre monde entre Nola et son père.



Ensuite, elle va à Pandorient, en quête d’explication, et retrouve ses amis. Cela lui fait un bien fou au moral. Nous avons déjà tant appris, et il reste toujours tant à découvrir.

La couverture est magnifique, et Nola semble marcher d’un air déterminé. En tout cas, elle se battra ferme pour ses convictions.



Nous découvrons de nouveaux personnages de tous poils, et encore une fois, l’album nous en met plein les yeux.

Alors que Nola promène Pitboule avec ses amis. C’est leur chien, aussi adorable qu’utile pour certaines choses.

Elle va faire la rencontre de Willow, qui attend sa prof.

Et voilà, que tout le monde part à sa recherche, d’où le sous-titre « La mystérieuse disparition ».



Que lui est-il arrivé ? Où est-elle ? Comment nos jeunes amis vont pouvoir aider ?



On a sommé à Nola d’être discrète, de faire attention, mais ils jouent sur les mots, et Nola a de sacrées idées et ira jusqu’au bout.

Cela pourrait être très risqué.

Mais nous sommes dans un album jeunesse qui incarne la joie, l’espoir, les belles valeurs. Il nous émerveille, il nous fait sourire.

Leur enquête a des conséquences inattendues que je vous laisse le plaisir de découvrir.



Et à chaque fois, les bons moments passent bien trop vites, et certains mystères s’épaississent.

Vivement la suite, ce fût beau de la voir défendre quelque chose d’importance et argumentée sur le sujet.
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Toujours aussi magique !



Nous sommes fans de cette BD.

Une belle histoire fantasy - Nola découvre une boîte à musique qui lui permet de se rendre dans un monde parallèle, Pandorient - et des illustrations et des couleurs magiques.

(J'avais parlé du tome 1 ici et des tomes 2 et 3 là).



Ce quatrième tome est une sorte de parenthèse dans l’intrigue principale.

Cette fois, Nola découvre une étrange clé dans les affaires de sa maman. Décidée à découvrir son utilité, elle se rend à Pandorient.

Mais une nouvelle enquête va détourner Nola de ses recherches. Où est passée la prof de Muzénologie ? Et pourquoi l’Octopodus se fait-il arrêter par la BRH ?



Encore de belles valeurs de tolérance véhiculées dans ce tome.

Les difficultés sont surmontées un peu vite mais c’est la magie du conte...

Toutes ces petites enquêtes qui permettent de découvrir un superbe univers sont trépidantes.

Cette BD fait vraiment rêver ! On voudrait tous découvrir ce genre de boîte à musique, non ?



Les personnages et les décors font voyager dans un autre monde. J’ai totalement craqué pour Willow.

Les personnages principaux, en plus de posséder un grand cœur, sont en prime très drôles.



Quant à la fin, elle promet un prochain tome plein de mystères et d’aventures. Nous avons vraiment hâte !



Une BD à découvrir dès 9 ans mais qui séduira toute la famille par son univers enchanteur, ses belles valeurs et ses couleurs magnifiques.

A lire !!
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C'est toujours un plaisir de lire un tome de la série. Un plaisir visuel remarquable ! Mais j'ai toujours le sentiment du trop peu, ça doit être ma rapidité de lecture et le fait que le scénario soit simple avec son rythme précipité. On passe beaucoup de temps à suivre les enfants chercher Serena et la scène avec le roi, trop courte, aurait valu quelque chose de plus fort et poignant. Cela reste une superbe série à avoir en main et dans notre biblio personnelle !

Tout d'abord, je tiens à remercier Netgalley et les éditions Dupuis qui, à l'occasion de la sortie du tome 4 de la boite à musique (tome 4 dont la parution était fixée au 30 octobre, jour du début du confinement).

C'est avec plaisir que j'ai retrouvé Nola, Nola qui ne peut résister au plaisir de retourner à Pandorient, ce monde extraordinaire qu'elle a découvert grâce à la boite à musique de sa mère. Retourner dans ce monde, c'est aussi retrouver des personnes qui ont bien connu sa mère, qui peuvent lui parler d'elle, évoquer son souvenir, répondre aussi à certaines de ses questions, tout un pan de la vie de sa mère qui lui est inconnu, puisque sa mère n'est plus retourner à Pandorient après la naissance de Nola, et qu'elle a caché la maladie qui l'a emporté à ses amis.



Comme dans le premier tome, Nola, Igor et Andrea découvrent un complot et décident de tout mettre en oeuvre pour le déjouer. Ce n'est pas facile, parce que l'enjeu est double : ce qui a été volé, mis bout à bout, n'est pas anodin, et Cyprien, le fils d'Anton, est victime de rackett. Anton, c'est un jardinier surdoué, véritable papa poule pour ses plantes - et pour son fils aussi. Il était très proche d'Annah, il est aussi plein de ressources : il ne faut surtout pas que l'on découvre que Nola vient d'un autre monde.

Je trouve très bien qu'un album "tout public" aborde des thèmes aussi graves que le deuil ou le rackett. Il est bon de rappeler, toujours, inlassablement, qu'il faut en parler, ne pas rester seul avec ce que l'on vit. En parler, bien sûr, à des personnes de confiance, qui peuvent vous aider, ce qui est bien le cas dans cette bande dessinée.

A bientôt pour la chronique du tome 3.
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Je craque beaucoup et passionnément pour cette bande dessinée. Les illustrations de Gijé sont ensorcelantes et magnifiques.





Après avoir découvert le monde extraordinaire de Pandorient, Nola ne résiste pas à y retourner malgré les avertissements de ses nouveaux camarades.

Nola débarque en pleine fête où le roi Hectorian Ier doit se montrer. Très vite la petite fille se fait remarquer parmi la foule très hétéroclite. Apeurée par cette foule enjouée, intriguée et émerveillée, elle est rapidement rejointe par ses amis qui la sauvent in extrémis des regards un tantinet appuyant. Chez ses amis, elle y fait la connaissance du sorcier Anton. Un grand monsieur dont son allure inquiète. Sous cette immense silhouette se cache pourtant un homme attachant et parfois rigolo. Sorcier aguerri, il lui donne une potion qui lui permet de passer inaperçu au sein de la population de Pandorient. Ils se retrouvent ainsi dans l’antre du vieux sorcier et rencontrent Cyprien le fils de ce dernier. Victime d’un chantage ignoble, la bande va vite comprendre qu’il s’agit d’un complot de grande envergure. Arriveront ils à le déjouer à temps ?





Une nouvelle fois l’histoire est vraiment sympathique. On découvre Nola avec un étonnant pouvoir où son empathie y est au cœur. Cyprien est adorable et craquant. Le fil rouge de l’histoire continue à s’étoffer. Carbone sait faire durer le suspense. De l’action et de jolis sentiments superbement mis en évidence par le pinceau de Gijé. Une bande dessinée où mille et une couleur fourmillent et envoutent. J’en suis complétement gaga.





Allez le mois prochain je lis le tome 3, avant la sortie en octobre du tome 4.
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Avec Le Secret de Cyprien, nous retrouvons l’audacieuse Nola qui, bien vite, succombe à l’envie de retrouver ses amis Pandorientaux malgré les mises en garde.

Côté scénario on plonge dans une nouvelle aventure, l’occasion de nous faire découvrir différents protagonistes et d’enrichir nos connaissances des races qui vivent à Pandorient. Et si le jeune Cyprien -un être mi-humain mi-arbuste- est la preuve parfaite que ce monde est formidablement différent du nôtre, ses mésaventures soulignent aussi que malheureusement certains travers sont identiques dans tous les mondes…

Ce dernier point est d’ailleurs bien commode, puisqu’il permet au jeune lecteur de se frotter à des sujets aussi graves que le trafic de drogue ou le racket de façon moins frontale que si les évènements se déroulaient dans un monde totalement semblable au sien. Et c’est tant mieux, car côté gravité frontale nous avons notre compte depuis le début de ces aventures, la jeune Nola traversant un deuil terrible, qui est lui bien ancré dans notre monde. Cette perte flotte comme une ombre noire au-dessus d’elle en permanence, et la désinvolture avec laquelle elle fait face au danger durant ses aventures dans l’autre monde compense un peu cet aspect angoissant.



Côté univers graphique, ce tome 2 comble encore toutes nos attentes. La mise en page maginifie même davantage les illustrations que dans le premier tome, et il m’a semblé qu’elle laissait plus de place aux décors qui en ont besoin, pour le plus grand plaisir du lectuer qui peut alors se perdre dans des scènes chatoyantes et détaillées avec une grande minutie.



Une série toujours aussi mignonne dans son scénario, toujours aussi délicate dans ses illustrations : une petite bouffée de fraicheur pour les jeunes lecteurs !

Bon, qu'on se le dise, les graphismes sont magnifiques ! Cette série est une merveille pour les yeux. La colorisation et les rondeurs des personnages sont superbes. Pour une BD d'aussi belle facture, on s'attend à une histoire fantastique et envoûtante.. La promesse était présente au 1er tome, la seconde m'avait remise dans le contexte : ca reste une BD jeunesse avec son rythme lent. Ce tome m'a déçue par cet axe pris si attendu et le caractère de Nola si petite et naïve. On va continuer à les acheter pour sa beauté mais j'espère qu'il y aura un réel coup de boost dans le prochain.

Une vraie petite pépite et un régal pour les yeux. Une bande-dessinée aux accents magiques, abordant un thème important, celui du harcèlement. Des illustrations magnifiques à partager seul(e) ou en famille. Destinée à la jeunesse, il sera comblé à la fois les lecteurs de sept à soixante-dix-sept ans. Une BD à ne pas manquer.



Ma chronique détaillée à découvrir sur mon blog.
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Le tome 1 était très prometteur ce qui donnait envie de lire la suite. Le tome 2 vient enfin d'arriver entre mes mains et quel plaisir de lecture. Déjà, le plaisir des yeux avec les graphismes et les couleurs de Gijé. De la douceur, de l'enthousiasme et de la magie qui s'insuffle à chaque case. Je prend mon temps pour regarder l'univers proposé et me laisser guider dans l'histoire pleine de fantaisie créée par Carbone. Toutefois, l'auteur y met des sujets d'actualité comme le harcèlement des plus jeunes dont il est important de parler. Une façon de dire au plus que si c'est leur cas, il ne faut pas hésiter à en parler. L'autre sujet, est plus sensible car cela concerne la préparation d'attentat avec le détournement de matière fragile. Par chance, il sera arrêté à tant et le roi sera sauver. Le pourquoi de l'acte n'est pas expliqué. Ce n'est peut-être pas le plus important. Au final, le message est que l'amitié et le soutien des uns et des autres sont les choses les plus importantes. Un beau message d'espoir et de liberté. 



Une fois que vous aurez ouvert les pages vous aurez envie de rester aux côtés de Nola et de l'accompagner dans ces aventures. 
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