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Citations de Lola T. (83)


Aucune personne ne réagissait de la même façon devant une peine, une douleur, un chagrin. Certaines s'effondraient et souhaitaient de la tendresse, d'autres préféraient gérer à leur manière.
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L'épanouissement personnel est la clé.
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On désire toujours ce que l'on ne peut avoir.
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— Si cet agent te dévore encore du regard, je pense que je vais vite perdre mon sang-froid.
— Il voulait juste conclure une vente.
— Et un rendez-vous avec toi aurait été un pourcentage supplémentaire.
— Il pensait bien plus à sa vente.
— Tu es bien trop naïve, Ambre.
Possessif et exigeant ? Je me mis à glousser, avant qu’il ne reprenne ma bouche avec empressement.
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Depuis peu, la nuit, lorsqu’elle dormait paisiblement dans sa chambre, je devais me faire violence pour ne pas la rejoindre. Sentir son odeur, m’enivrer de son corps, sentir son souffle dans mon cou, tout cela devenait mon quotidien. Elle me devenait indispensable. Aussi bien dans la vie de chaque jour, que dans ma vie intime, ou professionnelle. Pour la première fois depuis bien longtemps, je me sentais en harmonie avec elle. Qui l’aurait cru à son arrivée à Paris ! Elle était mon essentiel, et pour mon plus grand désarroi, je me devais de résister. Il le fallait pour sa propre sécurité, pour que je puisse accomplir ma mission sans être déconcentré.
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Protége ton cœur. Ce n'est pas homme à tomber follement amoureux.
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- Ne t'inquiète pas, il ne me fera aucun mal.
- À part t'exposer le cœur.
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Rien n'est acquis, jamais ! Il ne suffit pas de faire un caprice pour obtenir.
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Nous n'avions pas eu le temps de reparler de sa sortie après notre séance très charnelle au club, je le regrettais.
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Une femme mystère derrière un masque, que l’on respectait. Pour la plupart des personnes bien nées, ces filles n’étaient que des catins sans intérêt. Pour leur patronne, elles étaient des femmes qui offraient du plaisir à des hommes en mal d’amour, qui les respectaient en tant que femmes. Elle avait ouvert « la maison de la tentation » à cet effet. Loin des tripots insalubres, des rues dangereuses où bon nombre d’entre elles laissaient leurs vies, elles trouvaient ici, soins, hygiène et sécurité. Les filles venaient à Abby de leur plein gré, souvent blessées par l’un de leurs clients ou par la vie elle-même. Elle les accueillait sans leur poser la moindre question et leur offrait sa protection. Certaines restaient sur de courtes durées, d’autres étaient là depuis bien longtemps. Le contrat était clair et sans ambiguïté.
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Sébastian, une profonde tendresse, l’amour ne pouvant être envisagé. Sébastian aimait bien trop son indépendance. Abigail s’offrait à lui sans retenue, comme une maîtresse. D’ailleurs, c’était certainement ainsi qu’il la voyait, une maîtresse qu’il aimait combler, qui ne lui demandait ni comptes ni explications gênantes sur ses autres aventures. Il devait imaginer qu’Abigail le voyait également ainsi. Et pourquoi ne se laisserait-elle pas aller à quelques futilités ? À cette heure-ci, peut-être naviguait-il sur les délices de l’amour en serrant une autre femme contre lui ? L’idée qu’il s’abandonne ainsi la fit frissonner des pieds à la tête.
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Comment pouvait-elle être au courant ? Une seule réponse était possible, à son grand désarroi. Pourtant, au plus profond de lui, il espérait se tromper. Comment une telle femme pouvait-elle le déstabiliser à ce point ? Il détestait ne pas avoir le dessus en un simple regard. Faire preuve de patience et d’habilité pour arriver à comprendre n’était pas dans ses habitudes. Mais cette fois-ci, la partie ne tournait pas immédiatement en sa faveur. Il ne savait s’il devait s’en réjouir, ou s’en formaliser. Il ne pouvait nier que Abby l’attirait, qu’il avait envie de passer du temps en sa compagnie, qu’il rêvait de marcher avec elle sous la lune en lui contant fleurette. Elle avait le don de rallumer le romantisme en lui. Il fallait qu’il se reprenne ou, comme les autres hommes avant lui, il ressortirait de la maison de la tentation le cœur brisé. Et sa mission passait avant tout, il ne pouvait pas se permettre ce luxe.
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— Vous êtes malade ! Un fou dangereux !
Ce n’était certes pas les paroles qu’elle aurait dû prononcer, mais cet homme était un psychopathe, aucune parole ne le ramènerait à la raison. Là était toute la dangerosité d’un tel être, doux et respectable en société, brutal et tueur dans son monde. Il releva les bras de la jeune femme au-dessus de sa tête et commença à relever ses jupons noirs qui recouvrirent la douce soie prune. Abby tenta de le repousser en vain. Il ouvrait son pantalon lorsque la porte du salon s’ouvrit.
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Cependant en y repensant, il y avait tellement de points qui auraient dû me mettre la puce à l’oreille. L’autorité de Victor, son emprise sur les voisins et les personnes qu’il fréquentait, sa surveillance permanente, sa possessivité envers Nelly et ceux qu’il affectionnait, cette sécurité obsessionnelle dans le quartier. Dans mes idées les plus folles, je l’avais vu en : chef de bande, dealer, mafioso, me moquant toute seule de mon imagination débordante, mettant cela sur le compte des auteurs que je lisais en permanence. Mais jamais dans mes délires les plus profonds, je n’avais songé à une telle conclusion.
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Cette nouvelle me mettait en joie. Je ne laissai rien paraître et avalai mon café avant de me lever.
- Je dois rentrer chez moi. Je vais aller appeler un taxi.
- Je vais te raccompagner.
- Ce n'est pas nécessaire, je t'assure.
- J'insiste.
- Je suis une grande fille tu sais.
- Et moi, j’aime que l’on ne me contredise pas lorsque je propose mes services.
J’aime avoir le contrôle, m’avait-il signalé la veille. Je comprenais mieux le sens de ses paroles. Les hommes et leur besoin de supériorité. J’esquissai un petit sourire.
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"Mon corps le réclamait, mon coeur souffrait de son absence. Je connaissais cet homme depuis peu et déjà il avait envahi mon espace d'une manière brutale et inconditionnelle."
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C'était magnifique de découvrir un univers qui enchantait mon mari. Il me parlait des oiseaux avec fascination. Du grand-duc, de la chouette argentée, de la buse, du condor et de celui qui avait sa préférence, l'aigle royal.

-Il est majestueux et ne craint personne. Lorsqu'il s'envole, il domine le ciel, s'il repère une proie, elle a peu de chances de s'en sortir. Il ne fait pas de sentiment et ne dévie jamais de son objectif.

Etrangement, je me demandais s'il parlais de lui ou de l'animal.
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"Cet homme était un mystère à lui tout seul, fougueux et passionné, distant et froid, voire même parfois, sans qu'il ne s'en rende compte, doux et prévenant. Je m'endormis avant qu'il ne vienne me rejoindre, le coeur lourd, mais plein d'espoir."
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"Le soir, je m'endormais le coeur douloureux, après avoir regardé durant des heures le ciel étoilé où son visage se dessinait. L'espoir que je m'évertuais à garder s'amenuisait petit à petit. Sans lui, ma vie était comme un ciel nuageux qui enrobait inlassablement la moindre éclaircie."
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Or, je ne pouvais pas m'offrir ce luxe. J'avais déjà eu des femmes bien plus aptes à aimer mon style de vie. Du plaisir, peu de romantisme sans lien particulier. Avec elle s'était différent.
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