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Critiques de Société Sherlock Holmes de France (6)
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Sherlock's story n°8 : La maîtresse de l'atto..

Sur l'air de "Allumer le feu", je chanterais bien "j'ai touché le fond" parce que celui-là, c'est Byzance point de vue de la descente de niveau. Bon, les autres ne volaient pas très haut, mais on pouvait encore leur trouver quelques circonstances atténuantes, mais ici, non.



Aucune déductions, une enquête sur un double meurtre en chambre close dont Holmes n'avait pas trouvé la solution lors de sa première enquête (pourtant, il n'y a pas 36 solutions, en chambre close), des personnages débiles ou totalement improbables et un Sherlock Holmes toujours empêtré dans des situations de fous, limite MacGyver qui va mourir dans deux secondes et pouf, solution !



Attention, MacGyver sans les gadgets ! Ma foi, il y avait même de l'indiana Jones dans ce Holmes là, lorsqu'on voit certaines situations critiques dans lesquelles il est coincé.



Précisons que c'était de l'Indiana Jones light, sans sucre, bourré d'aspartame, de Xylitol et autres substances falsifiées ou altérées. "Indiana falsificat" aurait dit un légionnaire du camp de Babaorum.



Non, rien pour sauver cette histoire, ça voudrait ressembler à du Holmes mais ça n'a ni la couleur, ni le goût, même pas les bulles ! Rien, que dalle.



Tiens, le Canada Dry© à plus de ressemblance avec l'alcool que ce pénible pastiche n'en aura jamais avec le vrai Sherlock Holmes de Conan Doyle.



Rien que de la mauvaise contrefaçon tout cela !



Vite, une valeur sûre : "A study in terror" avec le grand et beau John Neville ! Pas de risque d'être déçue.



Il est temps que j'aille me perdre dans les vraies brumes de Londres, dans ses vraies rues sombres, que j'aille rôder du côté de Whitechapel et que je me tape quelques bières dans un pub glauque !



A bon entendeur, salut ! Ite missa est...




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Sherlock's story n°6 : Blackwell, le pirate..

Misère, Sherlock Holmes qui sort une plaque métallique de Scotland Yard, comme s'il bossait pour eux, comme dans une vraie série policière américaine, là, ça coince aux jointures. Quoi ? Il bosse pour eux et possède un numéro de matricule spécial ? Et bien, il est tombé bien bas, mon détective !



S'il l'avait volée, comme son homonyme de la BBC, j'aurais applaudi des deux mains, mais apprendre qu'il bosse avec les cognes, je ne m'en remets pas...



Le pitch ? Nous sommes en 1889, dans le quartier des docks à Londres et un pénible spectacle s'offre aux passants : un homme, à demi-dévêtu, qui ne semble plus posséder sa raison, erre sans but.



Cela intrigue Holmes parce que d'autres cas de ce genre se sont produits au cours des mois précédents.



Mais qui est cet homme perturbé ? C'est une cliente, inquiète de la disparition de son mari qui lui apprendra son identité et Holmes se mettra à la recherche du fourbe qui plante une aiguille dans la tête des gens pour leur lobotomiser le cerveau (maintenant, plus besoin d'aiguille pour les lobotomies, il suffit de laisser le patient durant quelques heures devant TF1).



Holmes, après une simple filature, atterrira sur l'ile de Blackwell et, grand bête, se retrouvera prisonnier.



Oh, mais que lis-je lorsqu'il est prisonnier et que sa tortionnaire vient le tourmenter ?? Extraits : "Une seconde après, le détective s'agenouillait à côté d'elle. Ensuite, avec une adresse et une rapidité inouïes, il enleva son corsage et lui retira les lacets de corset dont il se servit pour lier les mains et les pieds".



Et bien, Holmes qui déshabille une femme... une "banditas", certes; pour s'enfuir, d'accord, mais bon, il lui retire son corsage quand même. Il libère les saints, heu, les seins, non ?



"Sans se soucier des regards de haine qu'elle lui jetait, il lui enleva sa jupe et son jupon.".



La femme bandit serait nue que cela ne m'étonnerais pas... A poil, la gueuze qui voulait lui crever les yeux. Un chaud lapin, le Holmes !



Et transformiste, puisque "il revêtit lui-même ces défroques qu'il attacha de façon à les faire descendre assez bas".



Et personne ne remarque rien quand il file à l'anglaise déguisé comme la femme ?...



Le gros inconvénient, de ce tome (comme les autres), c'est que le scénario est un peu trop surréaliste, les dialogues limites, les déductions absentes, les plans dévoilés par les méchants à voix haute, les cliffhangers juste là pour le suspense et trop exagérés, bref, ça ne fera pas pousser une troisième patte au canard.



"A éviter ?" Je n'osais pas le dire, mais puisque c'est vous qui le dites, je répond par l'affirmative.


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Sherlock's story n°5 : Les faux-monnayeurs ..

Alerte ! Le royaume d'Angleterre commence à avoir des fausses pièces de 5 souverains (en or) et le directeur de la banque d'Angleterre ne sait plus à quel saint se vouer.



Pendant qu'il se fait des cheveux blancs, un petit vieux, chieur comme pas deux, casse les pieds du caissier parce que, sois-disant, il s'est trompé : le vieux a demandé l'encaisse d'un chèque de 120£ et on lui a donné 130£. Scandale ! Heureusement qu'on ne lui a pas donné moins...



Il règlera son différent dans le bureau du directeur et là, miracle, c'est Holmes. Lui, les faux-monnayeurs, il va s'en charger.



Rien de neuf sous le soleil, enquête banale, quelques rebondissements tout de même (un), très peu de déductions de la part de Holmes et, une fois de plus, des bandits qui racontent tout, pensant que Holmes, dans les vapes, ne les entend pas. Et quand je dis tout, c'est tout !



Vous en connaissez beaucoup, vous, des bandits qui, dans le feu de la parlotte, raconteraient tout leur plan (tout ce qui s'est passé) à leurs collègues qui en savent autant qu'eux ??



Sans omettre bien entendu de citer leurs noms !

– Hé, Charles Dupont, tu as trouvé un faussaire qui fasse les tranches des pièces un peu mieux ?

– Oui, Jacques Michel, bien entendu.



Bon, les bandits sont tous très cons... Mais là, ça dépasse l'entendement.



Cons aussi et la cupidité les rends encore plus bête : ils convoitent, à eux 4, de liquider tout le reste de la bande, afin de ne pas partager, sans penser un instant que, de telles pensées assassines pourraient effleurer l'esprit de leurs complices à leur sujet...



Si les 4 ne veulent pas partager avec le reste de la bande, on pourrait réduire drastiquement le partage à 2... c'est ce que demande un des bandits à la femme qu'il dit aimer, proposant de zigouiller les autres... et il ne lui vient même à l'idée qu'il pourrait faire de même avec elle !



Dialogues truculents et mièvres, cela donne (oui, je parle comme Jolitorax et Yoda) :



- Alors c'est toujours entendu, pour nous deux, Lancelot ? Tu fuiras avec moi ?



- Oui, ma chérie. Nous deux, d'abord. Que nous importe les autres ? Ne serions-nous pas fou d'aller partager avec eux ? Aussitôt que les 125.000£ qui nous restent seront frappés, nous décamperons. Personne d'autre que nous deux n'aura un sou.



- Et tu m'aimes, tu m'aimeras toujours, mon adoré ?



- Quelle question, *prénom de la fille - No spoiler* ? Tout cet or ne me servira qu'à te rendre la vie heureuse, et, tout ce que la richesse et le luxe peuvent donner sera pour toi.



Heu ??? Là, ça sonne faux, très faux et c'est guimauvien à deux cent à l'heure. Les dialogues ne sont pas d'Audiard, c'est bien dommage.



Pour Holmes, un peu too much aussi, ses dons. Qu'il soit ventriloque, passe encore, c'est faisable, surtout sous une table. Qu'il puisse faire croire que la voix vient d'ailleurs, c'est plus complexe, mais qu'il arrive à imiter directement la voix de la femme, heu, faut pas pousser !



Point de vue dialogues, déjà qu'ils sont "à chier", il faut aussi vous signifier que des tirets cadratins sont manquants devant certains dialogues. A contrario, il y en a devant les pensées de Holmes, alors qu'il pense mais ne parle pas. Déroutant et perturbant.



Il règne aussi un sentiment d'américanisme, fort style western sur la fin avec Holmes qui en flingue un bandit direct.



Si on lit les 8 romans de la collection de manière séparée, ça frappe moins, cet "américanisme" dans le scénario, mais une fois qu'on se les enquille l'un à la suite de l'autre dans le cadre du "mois anglais", et bien, c'est lourd.



Comme la boisson gazeuse, ça à la couleur de Holmes, mais ce n'est pas Holmes. Comme s'il était déjà l'ombre d'Harry Dickson, le Sherlock Holmes américain...



Déjà que son aide se nomme Harry Taxon, que sa logeuse n'est pas madame Hudson et que de Watson, il n'en est jamais fait mention.



Ok, ça se lit vite, facilement et on ne s'ennuie pas. Mais les ficèles restent assez lourdes. A croire que Holmes, si le méchant ne lui explique pas tout, ne sait rien de rien...



Ami holmésien, passe ton chemin... Ami du polar, ailleurs va voir !


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Sherlock's story n°2 : Le trésor du marchand ..

"Ma petite entreprise, connaît pas la crise" voilà ce que devait fredonner Firmont, le marchand d'esclaves, tout en comptant son magot.



Oui mais voilà, un jour, la Grande Faucheuse vient vous chercher et comme vous ne pouvez pas emporter votre magot, il devient l'objet de toutes les convoitises.



Et voilà que son notaire déboule chez Sherlock Holmes car cette nuit, on a volé le testament de Firmont, là où se trouvait noté les indications vers le trésor...



"Allez, Jack Sparrow, on lève l'ancre !"



Ah non, je devrais dire "The game is afoot" puisque nous sommes avec Sherlock Holmes. Toute cette histoire de chasse trésor au trésor m'a perturbée et l'absence de Watson, remplacé par le jeune Harry Taxon n'a fait que me troubler d'avantage.



De nouveau quelques grosses ficelles avec les bandits qui exposent leurs plans quand Holmes les écoute bien caché quelque part... Une sale manie tout de même.



Holmes et son fidèle Harry feront un voyage express à Paris où notre détective, muni d'un pass "Touriste", aura droit à un city trip plus qu'inhabituel...



Voyons voir : une rencontre avec la bande des Apaches, voyous bien connu de l'époque (et bien pire que des voyous), guet dans un cimetière, sans oublier une petite visite des catacombes, celles qui ne possèdent pas de fil d'Ariane ou de fléchage fluorescent brillant dans le noir indiquant "Exit", taggage des murs à la craie, salutations aux habitants des catacombes après la découverte de cercueils et ossements, bref, un séjour de tout repos.



Hormis les grosses ficelles, le récit est agréable à lire pour une passionnée de Sherlock Holmes, il est court, ce qui évite les longueurs inutiles et bien rythmé.



Sans oublier la petite morale de l'histoire que "Bien mal acquit ne profite jamais..."



Petit bémol : réédition d'une historie parue en janvier 1908 et le tirage fut limité à 10.000 exemplaires, ce rend ces petits livres assez rare... Donc, assez cher !



Lu dans le cadre du challenge "Thrillers et polars" de Liliba.
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Sherlock's story n°3 : Le sosie du banquier

L'inconvénient de ce livre, c'est tout d'abord son titre ! D'emblée, même sans être trop malin, on a tout compris. Et je ne vous parlerai même pas du résumé qui est bien trop bavard à mon goût.



Avantage ? On retrouve Holmes dans une enquête, même si c'est un roman apocryphe.



Oui, mais...



Sans un concours de circonstance et des pistes aussi grosses que la tour Eiffel et Big Ben réunis, Holmes n'aurait pas réussi grand-chose ! Il a déjà failli rater le départ (ok, ce n'est pas nouveau qu'il juge une histoire inintéressante avant de se rétracter)...



De prime abord, nous avons l'arrivée d'Arthur Titchburn qui s'en revient de l'Amérique après neuf ans d'absence. Papa avec qui il avait une grosse dispute est mort et fiston hérite de la banque ! Il est des retour moins réjouissant, non ?



Pourtant, il se passe une chose importante qui m'a mis un troupeau de puces à l'oreille. En fait, c'est comme "L'incident curieux du chien pendant cette nuit-là" dans l'aventure "Silver Blaze".

- Le chien n'a rien fait cette nuit-là !

- C'est justement là que c'est curieux".



Je vous en reparlerai plus bas...



L'histoire aurait pu être meilleure sans toutes ces grosses ficelles qui pendaient un peu partout.



Exemple ?



Chapitre suivant, nous avons miss Nelly, la jeune et jolie secrétaire de Holmes (oh, calmez-vous) qui, alors qu'elle tape sous la dictée de Holmes, à l'air toute triste.



Holmes lui tire les vers hors du nez et elle lui explique que son fiancé, Arthur Titchburn (tiens donc !), qui après une dispute avec son père avait dû partir en Amérique pour faire fortune afin de pouvoir l'épouser, est revenu. Nous précisons que miss Nelly, à l'époque, était la fille du jardinier du père d'Arthur.



Nelly l'a croisé, l'a appelé et le bougre ne la pas vue ! C'est comme si elle était invisible. Que voilà donc un curieux incident...comme le chien dans "Silver Blaze" qui n'avait rien fait dont je vous parlais plus haut.



Holmes met tout sur le compte de la passion qui est partie alors que moi, j'avais déjà tout compris. La raillerie de Holmes sur les sentiments amoureux le perd, sur ce coup là !



Ensuite, c'est une femme qui vient signaler à Holmes que le responsable de la faillite et de la mort de son mari (ainsi que de sa déchéance à elle) est de retour à Londres, qu'une connaissance à elle l'a reconnu à la gare de Liverpool grâce à un petit détail physique...



Attendez, j'ai déjà tout capté moi et Holmes pas encore ! C'est là que le bât blesse : Holmes a l'air un peu "à côté de ses pompes" niveau enquête.



Ensuite, il se reprend, additionne deux et deux et comprend lui aussi...



Heureusement parce que chapitre suivant, c'est l'Arthur qui vient trouver Holmes pour le charger de retrouver son ancienne fiancée, miss Nelly, afin qu'il puisse lui donner une somme d'argent dans le but de lui signifier que tout est terminé entre eux deux. Vous comprenez, ce n'était qu'une passade.



Heureusement que Holmes s'était réveillé et qu'il a pu jouer un joli tour à Arthur, prouvant par là qu'il n'était peut-être pas celui qu'il disait être...



Même plus de suspense pour le lecteur qui a déjà tout compris depuis le titre.



De plus, niveau grosses ficelles, on a encore mieux : quelle chance de se trouver dans la même pièce que les bandits quand ceux-ci exposent TOUT leur plan... Un peu gros.



Pas de Watson dans le livre, mais Harry Taxon, son jeune assistant. S'il avait été un peu plus étoffé, cela aurait été dû plus bel effet ce jeune assistant du détective qui est presque un fils pour lui. Là, il manque d'épaisseur.



C'est parce que au début du vingtième siècle, le succès de Sherlock Holmes était tellement grand (n'en déplaise à son créateur, Conan Doyle) qu'un éditeur allemand s'était décidé à s'emparer du détective pour en faire le héros d'une série de fascicules, écrits sous la plume d'obscurs écrivains.



Le livre est assez court, ce qui évite de traîner en longueur et, de plus, vu que c'est la réédition d'un livre publié début du 20ème siècle (1907), le langage du détective est presque contemporain de son époque.



A réserver aux holmésiens ou aux collectionneur de tout poils dans mon genre. C'est pas un mauvais livre, mais on pouvait mieux faire. Je verrai si les autres que je possède volent plus haut.



De plus, vu leur rareté (10.000 exemplaires) cela nous donne la vieille règle économique "un bien rare est cher". Et la collection en compte 9.
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Sherlock's story n°4 : Les dentelles de la ..

L'avantages de ces petits livres,‭ ‬c'est qu'ils sont minces et donc,‭ ‬on n'a pas le temps de bailler, le tout est vite expédié, à la manière d'une nouvelle.



Dans cette collection, ‬Sherlock Holmes n'est pas accompagné par son fidèle Watson, mais par un jeune assistant,‭ ‬Harry Taxon, qui me fait plus penser à son fils qu'à son assistant.



Je n'ai rien contre Harry, mais je le trouve sous-employé par l'auteur (ces fascicules sont écrits sous la plume d'obscurs écrivains). On ne sait rien de lui, on pourrait croire, en entendant Holmes lui parler, qu'il est son fils, mais rien ne dit qu'il est son rejeton naturel, il pourrait tout autant être son fils spirituel. Pour une explication, le lecteur repassera.



L'enquête ? Elle ne vous fera pas sursauter, elle est banale, presque. Le chantage est aussi vieux que l'humanité. Ici, c'est "magouilles.com" pour le fric et rien que le fric (non, c'est pas chez madame Bettencourt).



Attention, je vais sabrer un peu : le petit livre ne foisonne pas de déductions holmésiennes, elles sont rares, très rares. A croire qu'il ne sait pas en faire.



Énervant aussi cette propension pour les "méchants" d'expliquer à voix haute leurs projets criminels alors que les oreilles du détective trainent dans le coin. Voilà pourquoi il ne déduit pas beaucoup, il se contente d'être au bon endroit au bon moment. Frustrant pour le lecteur. Indigne de Holmes.



Non, vraiment trop facile de retrouver, au fil des aventures, ces méchants qui en disent un peu trop sur leurs agissements passés ou futurs, comme s'il était naturel que l'un d'entre eux déballe tout à son collègue qui en sait tout autant que lui. Impensable, non ?



Autres petits bémols : à force d'utiliser des termes comme "toilette" on pense que les dentelles de la reine sont un vêtement, mais parfois, le narrateur utilise le mot "parure" et dans le résumé, on parle d'un collier ! Allez savoir ce qu'est ce truc - vêtement ou collier - vu que le livre n'est pas prodigue en descriptions.



Les dialogues, parlons-en : ils sont parfois un peu limite ! Je sais que ce n'est pas de la haute littérature, mais bon, un p'tit effort aurait donné un air moins "écrit à la va-vite" au petit livre.



Bref, du déjà vu, rien de transcendantal, ça se lit vite, on passe un chouette petit moment à le lire et aussitôt lu, aussitôt oublié.



Si vous voulez découvrir Sherlock Holmes, ne commencez surtout pas par ces petits fascicules qu'un éditeur allemand, s'étant emparé du détective fort célèbre (n'en déplaise à Conan Doyle) pour en faire le héros d'une série de fascicules, édita au début du XXème siècle.



Le détective n'y est pas à son avantage, mais alors là, pas du tout, c'est du sous Holmes.


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