Citations de A. L. Jackson (35)
"Don't you know all great love stories never should have been? That's what makes them great."
"That's growing up is. It hurts and it's amazing at the very same time. That's called living, Nik. Don't ever be afraid to live."
I know I'd been the one created specifically for his care because I loved him in a way that no one else could. In a way that was ours. Whole and complete.
"Take care of yourself. Let yourself off the hook once in a while. You deserve to be happy."
It's amazing how much power the ones we care about most hold. Especially when they're hurting us.
All moments matter. We just rarely know how important they are until the chance to act on them has already passed.
If you aren't laughing, you're crying.
Now, which would you rather be doing?
- Je vois de la beauté et de la souffrance. Du bonheur et du chagrin. Je vois le bien et je vois le mal ... Et j'aime tout ça.
Ne me laisse pas. S'il te plait,ne me laisse pas. Je t'aime.
Jared,reste.Je t'en prit. Reste avec moi.
- Tu ne peux pas savoir à quel point tu m'as manqué, murmura-t-elle malgré le supplice qui ne semblait pas la lâcher.
- Tu me rends meilleur. Je ne sais pas vraiment ce que je fais ici,mais les trois mois que j'ai passée avec toi ont été les meilleurs de toute ma vie.Tu m'as fait ressentir des choses que je n'avais jamais éprouvées avant.
Des souvenirs de ses doigts sur mon corps m'assaillirent,picotèrent ma peau, et je ne pus m'empêcher de rougir en pensant que j'étais impatience qu'il recommence. Son sourire s'agrandissait au fur et à mesure que je rougissais.
Oui, ce garçon pouvait lire mes pensées.
- Chut, me supplia-t-elle.Non, Jared. J'ai besoin de toi...J'ai envie de toi. Je me fiche de tout ce qui se passe de l'autre côté de cette porte.Ici, il n'y a que nous.
Le désir bouillonna dans mon ventre et se renforça au creux de ma conscience.
Mon Dieu.
Je baissai les yeux vers le sol sous mes bottes.
Je l'avais tellement dans la peau que je n'avais plus les idées claires.
Le désir bouillonna dans mon ventre et se renforça au creux de ma conscience.
Mon Dieu.
Je baissai les yeux vers le sol sous mes bottes.
Je l'avais tellement dans la peau que je n'avais plus les idées claires.
Les deux semaines que j'avais passées, reclus avec elle derrière sa porte, avaient été les meilleurs de ma vie. J'avais presque eu le sentiment d'être à ma place.
Presque.
Et c'était bien ça le problème. Je m'étais permis de prononcer trop de paroles imprudentes.
Le pire, c'était que je m'étais habitué à la sensation agréable qu'elle me procurait, allongée près de moi.
Même si on m’avait donné le choix, j’aurais choisi de l’aimer.
— Je me suis inquiétée pour toi, dit-elle d’une voix enrouée tandis qu’elle cherchait mon visage dans l’obscurité de sa chambre. J’ai essayé de t’appeler.
Je clignai des yeux, en essayant de fuir tout ça, cette douleur que je ne savais pas gérer.
— Je déteste le fait que tu t’inquiètes pour moi.
Je la fixai en sachant que c’était à la fois un mensonge et la plus honnête des vérités.
Si j’avais cru aux âmes sœurs ou à une connerie dans le genre, j’aurais su que c’était la mienne. Je sentais ce lien que je ne pourrais partager avec personne d’autre qu’elle. Nous étions comme un puzzle défait qui ne représente rien jusqu’à ce qu’on emboîte les pièces.
Je voulais que ça ne finisse jamais. Nos langues jouaient ensemble. Et je me délectai de cette utopie.