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4.16/5 (sur 1177 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Stirlingshire , 1986
Biographie :

Samantha Young est une romancière.

Elle est diplômée en histoire antique et médiévale à l'Université d’Édimbourg en 2009.

Après avoir commencé par l'auto-édition en 2011, elle se consacre désormais à temps plein à l'écriture.

Samantha Young écrit de la romance érotique et paranormale, du Young Adult et du New Adult, et compte parmi les meilleures ventes du New York Times, du USA Today et du Wall Street Journal.

Après avoir écrit plus de dix romans d'urban fantasy young adult, elle a fait le grand plongeon dans la romance contemporaine avec "Dublin Street" ("On Dublin Street", 2012).

Samantha Young est l’autrice de nombreux livres dont les best-sellers "Dublin Street" et "London Road", publiés dans vingt-sept pays.

Chacune de ces publications et quel que soit le genre touché ont toujours rencontré un grand succès.

Elle vit à Stirlingshire, en Écosse.

son site : https://authorsamanthayoung.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/samyoungscotland

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On Dublin Street by Samantha Young


Citations et extraits (143) Voir plus Ajouter une citation
(...) Je ne peux pas porter plainte contre lui, ou un truc dans le genre?
Le Dr Pritchard ricana.
- Pour être tombé amoureux de vous?
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Il me dévisagea d'un air calculateur, les traits tendus, indéchiffrables.
Il semblait furieux.
— Qu'est-ce que tu fous ici ?
Il ne me répondit pas, et mes yeux s'égarèrent de nouveau, parcoururent son corps malgré eux, embrassant le pull ras du cou très classe et le pantalon noir de couturier. Le seul accessoire qu'il arborait était une montre de sport très luxueuse en platine. Son élégance et le fait qu'il ne se soit pas rasé depuis quelques jours contribuaient à rendre l'ensemble extrêmement attractif.
Je sentis à nouveau ce pincement au plus profond de moi, et ma mâchoire se contracta. Pourquoi fallait-il qu'il m'excite à ce point ? Ce n'était pas juste.
Pour masquer mon trouble, j'avalais une gorgée de soda.
— Alors ?
— Je n'aime pas partager.
Je soutins son regard et, même si cela me paraissait impossible, il sembla encore plus furieux qu'avant. Dans cette toute petite pièce, Braden paraissait aussi immense qu'intimidant, et le contraste entre nos deux physionomies n'en était que plus saisissant. Il pouvait m'écraser comme un insecte si tel était son désir.
— Quoi ?
Il étrécit les yeux.
— J'ai dit que je n'aimais pas partager.
Je repensai à Vicky.
— Ce n'est pas ce que j'ai entendu dire.
— Disons les choses autrement. (Il approcha d'un pas, bouillant de colère.) Quand il s'agit de toi... je n'aime pas partager.


http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/
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J'ai l'impression qu'il me manque quelque chose de capital quand tu n'est pas là. A tel point que je ne me sens plus moi-même. Je n'avais encore jamais eu l'impression que quelqu'un m'appartenait. Mais tu es à moi, Jocelyn. Je l'ai su dès que nous nous sommes rencontrés. Et je suis à toi. Je ne veux pas appartenir à qui que ce soit d'autre.
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- Vous savez ce qui fait plus peur que de jouer et de perdre ?
Je secouai la tête.
- Le regret. Le regret a des conséquences terribles sur ses victimes.
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— Dors, bébé.
Euh... non !
Comme anticipant ma fuite imminente, Braden m'étreignit plus fort encore, glissa une jambe entre les miennes pour m'en capturer une.
— Dors.
Quel sale type autoritaire.
— Les câlins ne faisaient pas partie de notre accord.
Il ne releva pas. À peine une minute plus tard, j'entendis son souffle se réguler. Il allait réellement s'endormir ! J'essayais de remuer, mais il banda ses muscles, menaçant, et je n'eus pas la force de me libérer.
Je demeurai donc allongée, à attendre. J'étais merveilleusement épuisée par cette superbe séance de sport en chambre, et dormir m'apparaissait tel le paradis ; néanmoins, j'étais déterminée à ne pas sombrer dans ses bras. Cela faisait bien trop... truc de couple.
Me contraignant à rester éveillée, je gardai la pose pendant une bonne demi-heure, jusqu'à sentir son corps parfaitement détendu. Je me mordis la lèvre pour atténuer le moindre souffle provoqué par mes mouvements de ninja, je soulevai son bras aussi délicatement que possible et démêlai nos jambes.
Je me figeai.
J'aurais juré entendre sa respiration se modifier.
Aux aguets, je ne me détendis qu'après m'être assurée de son rythme régulier.
Furtivement, silencieusement, je m'éloignai de lui, rampai jusqu'au bord du lit, faisant lentement basculer mes jambes vers le sol. Mes fesses avaient à peine quitté le matelas que je me retrouvai clouée dessus avec une telle force que je rebondis en laissant échapper un cri étouffé.
Mon cœur trépignait contre ma poitrine tandis que Braden me remettait en position de façon experte, avec une telle agilité que je me retrouvai sous lui en quelques secondes, les poignets croisés au-dessus de ma tête, un bel étalon à califourchon sur moi.
Il n'avait pas l'air content.
— Bordel, tu veux bien dormir ?
Je lui lançai un regard furieux.
— Pas tant que tu seras dans mon lit. Ça ne faisait pas partie du deal.
— Premièrement : c'est moi qui ai acheté ce lit. Deuxièmement : il s'agit juste de dormir, Jocelyn.
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C'est sans doute le problème quand on commence à connaître trop bien quelqu'un. On sait quel levier émotionnel actionner pour faire mal; et malheureusement, en cas de conflit, il arrive que l'on s'en serve.
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Les gens peuvent être.. Eh bien, ils peuvent être merveilleux. Mais, malheureusement, il arrive qu'on se barricade chez sois pour se protéger des monstres. On craint qu'ils ne trouvent un moyen d'entrer malgré tout. Nul n'est censé savoir qu'ils se cachent déjà à l'intérieur. Ta mère et ton père auraient dû te protéger de tels monstres pas endosser ce rôle.
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“I’m not going to hide that I want to get to know who you are now. I’m also not going to hide the fact that I think you’re still the classiest, most fucking beautiful woman I’ve ever seen, or the fact that I remember the taste of you and it still makes me hard.”
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You're not ready to hear this yet," he concluded. "But I do need you to know that I'm going to fight for you. I'm not making the mistake of walking away from you again. The only man in you future is me, Liv. The only kids in your future are mine.
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Rien n'est comparable à la peur que l'on éprouve au fond des tripes quand on a blessé quelqu'un à qui l'on tient. Et plus le temps passe sans que rien ne soit résolu, plus cette peur se transforme en un véritable bouquet de nerfs.
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