Citations de Abigail Reynolds (18)
- Elizabeth , pour l'amour du ciel , dites-moi que vous m'aimez , ne serait-ce qu'un tout petit peu , la supplia-t-il avec un accent de désespoir.
Elle leva les mains et lui prit le visage .
Ne pouvez-vous le savoir ? s'enquit-elle , le souffle court .
- Je ne l'ai pas choisi, le fait est qu'il m'a choisie et que j'ai été persuadée de l'être.
Elle lui avait enseigné l'humilité à la baguette et, mon Dieu, à présent elle faisait de même avec la patience, et il détestait cette leçon autant que la précédente.
Il lui parla doucement à l'oreille.
_ Peu importe que vous choisissiez de venir à Pemberley, l'endroit vous appartient déjà, et ce depuis de longs mois.
NON je dis NON, on peut bien sur reprendre les personnages d'un roman culte mais il faut respecter ces derniers.
On ne peut pas faire de Darcy un homme qui ne sait pas contrôler ces pulsions. Le récit laisse penser que Darcy a eu de nombreuses conquêtes. Entendre les pensées de Darcy sur la chemise de nuit de Lizzie m'a brrr je ne trouve même pas les mots.
Le titre déjà m'avait interpellé, la conquête de Mr Darcy, pour moi l'amour de darcy pour Elisabeth ne peut pas de définir comme une conquête. Wickam fait des conquêtes pas Darcy.
L'écriture est agréable, mais je ne peut vraiment pas cautionner le caractère de darcy mis en avant dans ce livre, pour moi l'auteur n'a pas compris ce que Darcy représente au delà du personnage qu'il incarne.
« Savez-vous ce que c’est que d’être un homme passionnément épris ? De vivre pour les sourires et les rires d’une femme, de souhaiter la toucher au point de ne plus pouvoir vivre sans cela, de la désirer autant qu’on désire respirer ? J’étais furieux et blessé après notre querelle, c’est vrai, mais il n’a pas fallu longtemps pour que mes sentiments resurgissent. » P. 289.
Jamais encore elle n'avait autant senti qu'elle eût pu l'aimer qu'en cet instant où l'aimer devenait désormais chose vaine.
Ce n’est pas si souvent que l’on a l’occasion de voir ses rêves devenir réalité.
L’amour est assurément une belle leçon d’humilité, songea-t-elle. J’espère qu’elle nous deviendra moins pénible avec le temps.
Comment avait-elle pu ne pas s’apercevoir des sentiments qui étaient nés en elle ? Avec le recul, cela lui paraissait incroyable, et cependant cela s’était passé si progressivement qu’elle se trouvait déjà loin sur le chemin avant de s’apercevoir qu’elle l’avait emprunté.
Pourquoi a-t-il fallu que mon cousin nous rende visite pour que je découvre que la femme que j’avais cru épouser n’était pas morte ? Pourquoi êtes-vous capable de rire avec lui, de plaisanter avec lui ? N’étais-je qu’un pis-aller pour vous, car il n’était pas assez fortuné pour vous conquérir ? Ou bien notre mariage n’était-il qu’une manière opportune de demeurer en contact avec lui ?
L’un des avantages incontestables du mariage, serait de pouvoir enfin passer une nuit de sommeil décente, précédée, naturellement, de tendres et passionnées étreintes…
L’amour est rarement raisonnable, ma chère, et tout particulièrement celui, passionné, que lui et vous paraissez partager. À vous entendre, vous découvrez qu’il vous est devenu indispensable, au point que l’ombre même d’une menace de séparation vous terrifie.
Mon estime, une fois perdue, l’est pour toujours...
Quand Jane ramène un chiot à la maison, je lui tapote la tête ; quand Lizzy me ramène un loup adulte, je l’approche différemment.
Elle découvrit que ce qui avait débuté par un intime geste d’affection de sa part se mua rapidement en un incendie au sein duquel leurs passions se rencontrèrent.
— En d’autres mots, vous êtes décidée à l’accepter. Il est riche, c’est certain, et vous aurez sans doute de plus belles parures et de plus belles voitures que Jane, mais vous rendront-elles heureuse ?
— Je l’épouserais quand bien même il n’aurait pas un penny en poche...
Guérir exige toujours de la patience, Georgiana, et guérir d’une trahison plus encore.