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Citations de Abigail Roux (22)


Si la connerie humaine était le pire de nos problèmes quotidiens, nous aurions la belle vie !
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— Tu veux toujours que j’emménage avec toi ? demanda-t-il en risquant un regard sur Ty.

Ce dernier serra les lèvres et hocha la tête en baissant les yeux sur ses pieds.

— Nous pouvons tout déménager dans le week-end. Nous pouvons trouver quelque chose. Tu ne crois pas ? demanda-t-il en regardant Zane. Nous pouvons dire que je te loue une chambre ou un truc dans ce genre.

Zane pencha la tête d’un côté alors que leurs yeux se croisaient à nouveau.

— Je pense que je pourrais prétendre n’importe quoi si cela signifie me réveiller avec toi chaque matin, dit-il d’une voix à peine audible.
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Cameron pouvait voir son sourire sur son visage alors qu'il regardait Zane. Il était maintenant évident qu'il se fichait de ce qu'ils écoutaient, il cherchait simplement à provoquer. Comme Cameron était assis derrière Zane, il ne pouvait pas vraiment voir son visage afin d'évaluer sa réaction, mais lorsqu'il appuya à nouveau sur le premier bouton, il ne semblait pas en colère.

Cameron regarda Julian.

– Preston et toi avez une relation tellement différente de la leur.

– Cette déclaration est correcte de tellement de façons, répondit Julian d'une voix blasée.

Il ne faisait pas vraiment attention aux deux agents. Ou ne semblait pas le faire. Ty poussa un autre bouton et monta le son. Zane appuya à nouveau sur le premier bouton, mais ne toucha pas le volume. Cameron pencha la tête pour regarder la réflexion de Zane dans le rétroviseur. Il n'en était pas sûr, mais il lui semblait qu'il y avait un sourire sur les lèvres de Zane.

– Depuis combien de temps êtes-vous partenaires tous les deux? demanda-t-il.
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-Pourquoi une boussole, demanda Ty. Il ne quittait pas Zane des yeux.

Zane sourit et passa son pouce sur le pendentif.

-Parce que tu m'as donné la direction quand j'étais perdu. Tu m'as montré le chemin.

Il leva les yeux pour rencontrer ceux de Ty.

-Tu es comme ma propre boussole.
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« — Et aujourd’hui, tu dois tranquillement rentrer à la maison avec moi.
— Non, rétorqua Ty d’un ton sérieux.
Il s’arrêta et se retourna pour fixer Zane avant de continuer :
— … je ne dois pas rentrer à la maison avec toi.
Perplexe, Zane haussa un sourcil et pencha la tête.
— Je ne comprends pas.
— Il ne s’agit pas d’une obligation, je crève d’envie de rentrer à la maison avec toi. Même si c’est juste pour me coller le cul sur le canapé et regarder cette émission débile qui te plaît tellement, je m’en fous. Ce que je fais n’a aucune importance, ce qui me plaît, c’est d’être avec toi.
Zane était conscient de sourire comme un imbécile heureux. Aujourd’hui encore, Ty le surprenait parfois en se montrant romantique ou sentimental. »
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— Si la CIA, Preston et tout le reste tentent de le sauver et pas de le tuer, pourquoi ne pas tout simplement le conduire à Langley et tout cela sera fini ? dit Zane en ayant l’air presque excité.

Julian secoua la tête.

— S’il te plaît. Si tu me livres à eux, ma vie est terminée. Que je sois vivant ou mort, ils vont me posséder à nouveau.

Ty croisa les yeux de l’Irlandais, un sentiment de familiarité lui traversant le corps. Il connaissait ce que l’on ressentait face à cette claustrophobie. Personne ne méritait d’être forcé à reprendre du service.

— Ne peut-on pas ... disparaître ? demanda Cameron.

Ils le regardèrent tous avec le même mélange de tristesse et de mépris. Vous ne pouviez pas disparaître si vous aviez quelque chose que la CIA voulait.
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Zane le fixa du regard, ses yeux sombres prenant presque une apparence de chocolat fondu. Le souffle de Ty se coinça dans sa gorge alors qu’il essayait sans succès de continuer à parler. Deuce lui avait demandé une fois ce qui l’avait d’abord attiré chez Zane. C’était alors un homme brisé, un toxicomane qui était irrémédiablement perdu dans le passé, à la dérive dans une vie solitaire, avec très peu d’espoir et encore moins de foi que cela pourrait s’améliorer

Toute personne ayant un peu de jugeote l’aurait évité. Mais dès le premier instant où Ty avait vraiment regardé dans les yeux de Zane, il avait vu au-delà d’eux l’homme qu’il était capable d’être. Il avait vu un phénix attendant de renaître de ses cendres, et c’était encore le cas. Chaque fois qu’il regardait en Zane, il voyait quelque chose d’extraordinaire.
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Ty lui lança un sourire mélancolique en lui serrant la main. C’était dommage qu’ils ne puissent pas sortir et se tenir la main comme ça à la maison. Vraiment dommage. Mais ils ne pouvaient pas risquer d’être reconnus et démasqués au travail. Dès qu’ils prendraient tous les deux leur retraite, par contre, Ty avait l’intention de tenir la main de Zane partout où ils iraient.
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« — Quels sont vos projets pour aujourd’hui ?
— Eh bien, justement, répondit son fils, j’ai décidé de lui faire visiter le Texas. Nous irons donc à San Antonio, où nous rendrons visite au bureau local du FBI. Et nous passerons la nuit… à Beaumont, ajouta-t-il, en jetant un coup d’œil vers la porte.
Ty se frappa le front et détourna la tête.
Surpris, Harrison fronça les sourcils.
— À Beaumont ? s’étonna-t-il. Pourquoi ? Il n’y a rien à voir dans ce patelin !
— Je sais, reconnut Zane avec un sourire.
Harrison sentit que la réflexion de son fils avait un sens caché qui lui échappait, mais, en y réfléchissant, c’était peut-être aussi bien. »
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« — Je t’aime, dit Ty, les mots calmes dépourvus de toute conscience de soi ou de ses fanfaronnades habituelles. Et je n’ai jamais été capable de le dire auparavant avec une telle conviction. Je n’arrive pas à me souvenir de l’époque où tu n’étais pas la première chose à laquelle je pensais, et je veux passer le reste de ma vie avec toi. Je me fiche de ce qui se trouve sur notre chemin.
La respiration de Zane s’altéra et il tendit la main vers son compagnon. Il lui prit doucement le visage entre ses mains et l’embrassa, l’attirant jusqu’à finalement abandonner ses lèvres pour frotter son nez le long de la joue de Ty. Ce dernier ferma les yeux, sentant le calme que le contact de Zane installait toujours en lui l’envahir. Il poussa son nez contre celui de Zane alors qu’il glissait ses doigts dans ses cheveux. Si Zane et lui avaient leur mot à dire dans le fonctionnement du destin, son compagnon serait la dernière personne qu’il toucherait comme ça. »
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« — Je pense que tu dois faire avec ce qui te permet de dormir la nuit.
— C’est toi, Zane.
Zane sourit faiblement alors qu’il attrapait le savon.
— Je ne te parle pas de celui qui te baise la nuit, je veux dire ce avec quoi tu peux dormir. Ce qui apaise ton esprit.
— J’ai compris ce que tu voulais dire.
Le cœur de Zane fit un soubresaut alors qu’il croisait le regard de Ty. Il ne se lasserait jamais de moments comme celui-ci, quand Ty prouvait sans l’ombre d’un doute qu’il était la chose la plus importante dans son monde. »
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« Il tendit le bras et posa à nouveau sa paume contre la joue de Zane. C’était comme s’il ne pouvait pas s’en empêcher.
— J’ai essayé de te réveiller, vraiment. Je t’ai même secoué !
— Tu m’as secoué.
— Eh bien… je t’ai légèrement bousculé.
— Ty !
— Je sais ! Tu dormais si profondément et… Tu avais l’air heureux, en sécurité, alors je t’ai laissé dormir.
— Je l’étais, dit Zane, un peu trop fort et Ty jeta un coup d’œil autour de lui.
Zane s’arrêta et serra les dents avant de continuer d’une voix plus modérée.
— Je l’étais. Et puis je me suis réveillé. »
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— Tu m’as fait peur, Ty. Tu m’as fait peur, répliqua sèchement Zane, suffisamment fort pour que les gens commencent à les regarder.
— Je sais, dit Ty, toujours aussi calme. Je suis désolé de t’avoir fait peur. Je suis désolé de m’être enfui sans rien dire. Je suis désolé d’être parti quand tu avais besoin de moi. Si je pouvais revenir en arrière, je ferais les choses différemment. Mais je ne suis pas désolé de m’être éloigné. Nous savons tous les deux que j’en avais besoin. Et quelque part en toi, tu sais que je devais le faire seul.
— Je ne t’aurais pas arrêté, dit Zane d’un ton plus contrôlé.
— Je sais, Zane.
— Alors pourquoi diable ne m’as-tu pas réveillé ?
— Je craignais... Je craignais que si je te réveillais et que je te regardais dans les yeux, je ne sois pas capable de partir. Et je devais partir, Zane, je le devais.
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Il tendit la main pour caresser du bout des doigts les lèvres du bel endormi. Zane plissa le nez et s’écarta avec un grognement. Ty se mordit la lèvre pour ne pas éclater de rire, puis il recommença. Cette fois, Zane chercha carrément à le frapper, manquant de peu sa main, avant de changer de position, les lèvres frémissantes.
Ty attendit un moment pour toucher à nouveau sa bouche, dans la plus douce des caresses.
Zane grommela et chercha à lui donner une autre tape, mais il se claqua le nez, ce qui le réveilla en sursaut avec un cri surpris. Ty enfouit le visage dans son oreiller pour tenter de cacher le rire qui lui secouait les épaules.
Il sentit Zane bouger et lui jeta un coup d’œil par endessous. Dans la lumière matinale, son amant le fixait, ses yeux d’obsidienne encore ensommeillés.
— Tu es un vrai chieur, marmonna Zane.
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— Seigneur, je croyais que nous étions rassasiés, murmura Zane en fermant les yeux un instant alors que son ventre se contractait sous le désir.
Ty l’embrassa de nouveau, le tirant jusqu’à ce que leurs corps se touchent de partout.
— Nous pouvons être silencieux.
Zane dut étouffer son rire dans le cou de Ty.
— Non, nous ne le pouvons pas, murmura-t-il avec une certitude absolue.
Ty se recula et le regarda avec un sourcil haussé.
— Pas même un peu ? demanda-t-il avec une véritable déception.
— Un peu ? Tu crois que je vais arrêter à ‘un peu’ ?
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Je veux dire que toutes les expériences dont j'ai entendu parler dans ma vie...Je veux les vivre avec toi.
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You shot me, Zane.
-Baby, if I’d shot you, you wouldn’t be alive complaining about it, Zane said, then leaned sideways to check the backyard.
-Well, someone shot me. It’s upsetting.
Zane glared at him before rolling his eyes.
- Kelly had the beanbags, you can talk to him about it later.
- It’s very upsetting, Ty repeated, pressing his hand to his chest.
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- Can I start calling you hubby?
- Do it and die.
- Snookums, then.
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Zane ce demande vaguement quel était ce bruit retentissant avant de réaliser qu'il s'agissait de son propre cœur battant dans ses oreilles.
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- Vous faisiez connaissance?
Zane secoua la tête
- On s'est prévu un rendez-vous galant pour plus tard dans la nuit.
-Ah oui? demanda Ty, d'un ton, aussi détendu que celui de Zane. Eh bien ce qui se passe à la Nouvelle-Orléans...s’appelle revient avec une MST.
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