Il y a encore peu, j'étais du côté de ceux qui attrapent les criminels, et me voilà sur le point de prendre part à un crime comme si de rien n'était.
Ici, il n'y a ni loi ni droit.
La justice qui existe dehors ne s'applique pas entre ces murs, ici, on ne pense pas avec sa tête, mais avec ses trippes.
Tu n'as rien écouté,
Qui sème le vent récolte la tempête.
Ils peuvent me prendre pour un dingue, ça ne me fait ni chaud ni froid
Les enquêteurs, les jurés, personne ne m'a cru.
Rien n'est comparable au désespoir que j'ai ressenti
C'est déplorable...
Enfeindre la loi alors qu'on en est le serviteur.
Je refuse qu’on soit séparés. Je souhaite l’accompagner.
J’ai envie de partir avec lui.
Est-ce que tu veux partir avec moi ?
Je serai tes bras et tes jambes Yûto.
Il est si près de moi et pourtant son cœur reste loin.
J’ai besoin de personne pour me protéger.
Yûto.
-c'est la première fois ... qu'il m'appelle par mon prénom-
Je suis heureux que tu sois revenu.
Ne te fous pas de moi. Je ne suis pas Homophobe et je n’ai aucun préjugé concernant la sexualité de qui que ce soit.
Ca suffit. Cette discussion est trop sérieuse pour le repas. Elle rend cette bouffe encore plus mauvaise.
- Être la victime ne t'évitera pas les sanctions. Les surveillants n'aiment pas les problèmes, un point c'est tout. (Dick à Yuto)
- J'arrive à faire entrer plein de choses sous le nez des matons. Des magazines pornos, des couteaux. De la came. Ce genre de choses. Dites-moi ce que vous voulez, je peux tout avoir. Sauf des femmes.
- Je vois... (Yuto)
"Je me disais bien qu'il était trop gentil. Les nouveaux prisonniers font de nouveaux clients." (in petto)
Pourquoi tu fais ton timide ? On dirait une fille qui vient de se faire piquer son soutif.
Cette homme se cache dans la foule des détenus, tel un corbeau tapi dans le noir.