Akira Yoshio

Ne vous fiez pas aux apparences ! Au plus profond de toi, l’un des derniers mangas de Akira Yoshio n’a rien d’une torride histoire charnelle, bien que le titre puisse être tendancieux. Dans ce one-shot, nous laissons place à l’amour, une belle romance comme nous les aimons.



Isshin Natsume est un employé discret, réservé et extrêmement timide. Il n’est pas du genre à se laisser déconcentré par son travail ni même par être apprécié par ses collègues qui doivent le trouver beaucoup trop sérieux.

Le problème quand on est quelqu’un de trop engagé dans son boulot, c’est qu’on s’emploie à détester ceux qui donne l’impression de ne pas s’investir. C’est pour cette cause que Natsume s’est mis à juger l’un de ses confrères ; Masumi Yûki, le fils cadet du président de l’entreprise.

Comme pour le titre de ce manga, il ne faut pas se fier aux apparences. Il a suffi d’un geste, d’une aide pour que Isshin tombe sous le charme de Yûki, honteux d’avoir eu de tel préjugé envers le jeune homme aux cheveux blonds.



Ce secret, il contait le conserver précieusement pour lui. Natsume n’a aucune expérience amoureuse, il n’a même jamais été attiré par des hommes avant le jeune cadet de l’entreprise familiale.

Mais, garder un amour caché sur son lieu de travail se révèle plus difficile qu’il n’y paraît puisque Yûki se rend rapidement compte des sentiments que Natsume lui porte. Lui non plus, n’a jamais été séduit par des hommes, mais le jeune homme manque cruellement, d’amour et ose se lancer dans l’aventure.



Tous deux vont se découvrir et entamer une relation discrète. Mais l’inexpérience et la timidité de Natsume va freiner leur rapprochement physique. Même après deux semaines, aucun baiser n’a été échangé et Yûki commence à trouver le temps long. Le blondinet va donc essayer de creuser les émotions de son petit ami afin qu’il puisse enfin se lâcher et se détendre avec lui.

Petit à petit, Yûki tombe amoureux d’Isshin et s’ouvre à cœur ouvert à cet homme qui semble être moins gêné qu’il n’y paraît quand il s’agit d’amour. Les deux garçons ont finalement un sujet commun : l’abandon de leur famille. C’est ensemble qu’ils vont réussir à percer à jour leur problème respectif et devenir l’un pour l’autre, la famille dont ils ont toujours rêvé.



Nos deux protagonistes s’apprivoisent doucement, tente de surpasser les barrières qu’ils s’étaient imposé et pour moi, c’est le point fort de cette romance.

J’ai découvert Akira Yoshio avec Le fil du destin et encore une fois l’auteure réussit à me transporter dans son histoire et me faire ressentir toute sorte d’émotions. J’ai été saisi par le côté introverti de Natsume et le sentiment d’abandon de Yûki.



J’ai rarement lu un yaoi où le sexe est moins mis en avant que la romance et cela m’a fait beaucoup de bien. Akira Yoshio semble timide dans ses scènes de sexe, déjà dans ses autres mangas (quoique je ne les aie pas tous lus), elle préfère mettre la romance à l’honneur. C’est ce qui fait que nous aimons son contenu, elle nous transporte avec émotions.

De toute évidence, je recommande ce manga à ceux qui veulent se changer les idées et suivre une belle histoire d’amour avec quelques touches d’humour.



L’auteure à une façon d’illustrer ses œuvres qui permet de rapidement reconnaître son coup de crayon. Son graphisme est très beau et agréable, bien que je remarque quelques coquilles comme certains angles du visage où l’œil de profil n’est parfois pas en harmonie avec la physionomie, ou bien dans l’acte sexuel où j’ai eu l’impression que les parties intimes d’un des jeunes hommes étaient si bas qu’on aurait presque cru qu’il détenait un corps de femme.



Outre ce détail, j’ai réellement apprécié ma lecture et l’aspect visuel de ce manga. D’ailleurs, je mets un point d’honneur sur la jacket qui est tout bonnement sublime !

Si vous hésitez encore à vous procurer cette œuvre, foncez sans plus attendre !

Ne vous fiez pas au titre ni à la couverture ! On pourrait croire que le manga va être très érotique, alors qu’en réalité pas du tout. Il y a bien des scènes sexuellement explicites, mais uniquement à la fin du manga. Il s’agit plutôt d’une belle histoire entre deux collègues de travail solitaires.



Peu apprécié dans l’entreprise, le timide Natsume est froid envers les autres. Jusqu’à présent, il ne voyait pas l’intérêt de s’intéresser à qui que ce soit, jusqu’à ce qu’il rencontre Yûki, qui s’installe sur le bureau à côté du sien. Très sociable et provocateur, Yûki est tout ce que déteste Natsume, mais il se rend compte que son collègue joue un rôle alors qu’en réalité il semble profondément triste. Natsume finit par tomber amoureux de lui et, quand il finit par l’avouer à Yûki, ce dernier accepte immédiatement de sortir avec lui. Ils apprennent tous les deux à connaître l’autre, et à mesure que le temps passe, Yûki se rend compte que lui aussi éprouve des sentiments à sa plus grande surprise.



Jusqu’à présent, je n’ai pas été déçue par les mangas d’Akira Yoshio, et celui-ci ne fait pas exception. J’ai beaucoup aimé ma lecture ! Le titre est sorti il y a un moment au Japon, en 2017, aussi je suis bien contente qu’on puisse enfin le lire.



L’histoire n’est pas du tout originale, ça n’a pas vocation à renouveler le genre. Mais il s’en dégage beaucoup de douceur et la complicité des personnages fait plaisir à lire. J’ai été vraiment surprise par le contenu, vu que je m’attendais à quelque chose de très érotique. C’est une histoire légère, mais bien exploitée, qui suit ces deux collègues qui se découvrent dans leur relation et qui s’attachent l’un à l’autre en se rendant compte qu’ils sont très seuls et qu’ils se ressemblent. Le couple est vraiment touchant et ses personnages attachants.



Le dessin est toujours aussi superbe. On reconnaît le trait de la mangaka et je ne peux être qu’admirative devant la façon qu’elle a de dessiner les émotions !



C’est donc un très bon one-shot et une agréable lecture que j’ai beaucoup appréciée. Je suis contente de voir que, petit à petit, les mangas d’Akira Yoshio finissent par sortir chez nous !

Depuis que Zaizen a acheté la liberté d’Asuka, ce dernier est un peu perdu. Il n’est plus surveillé, il peut faire ce qu’il veut et il n’a plus à vendre son corps. Mais comme tous ses repères se sont envolés (pour le mieux), il ne sait pas trop quoi faire de lui-même ni des sentiments qu’il éprouve pour Zaizen. C’est alors que la famille de Zaizen débarque. Ces derniers, bienveillants et au courant de sa situation (le petit-frère est excellent !), vont l’aider à se reconstruire et à choisir une voie.



Le tome est un peu court, mais intéressant. Asuka va mettre beaucoup de temps à guérir, en même temps après ce qu’il a vécu je le trouve déjà plutôt en forme ! J’ai aimé le fait que l’histoire soit plus centrée sur Zaizen. Aux yeux d’Asuka, il apparaît comme un sauveur, or on oublie facilement que s’il a pu revenir dans sa ville natale c’est parce que son père est décédé. Le personnage s’étoffe alors ici, ce qui le rend encore plus appréciable !



Même s’ils se rapprochent, la relation entre les deux n’évolue pas du tout. On sent qu’ils éprouvent des sentiments l’un pour l’autre, mais chacun estime ne pas être à la hauteur. Aussi, ils se contentent d’être amis et pour l’instant ça semble leur convenir, malgré quelques ambiguïtés. Sans doute que cela changera dans la suite.



Ce tome est totalement soft vu qu’il ne se passe rien entre les personnages. Aussi, le chapitre en fin, qui continue l’histoire de ce one-shot commencé au tome précédent, est clairement là pour ajouter le quota érotique du livre. Je trouve toujours les personnages mignons et drôles, mais il faut reconnaître que ce passage n’apporte strictement rien à l’histoire…



Même si j’aurais apprécié qu’il soit un peu plus épais, j’ai également bien aimé ma lecture de ce tome. Les personnages sont toujours aussi charismatiques et la famille de Zaizen est intéressante. Il y a pas mal d’humour aussi, ce qui tranche beaucoup avec la noirceur du début du tome précédent. Par contre, je sens qu’il va falloir être très patient pour pouvoir lire la suite !

Celui-ci aussi, je l’ai pris un peu au hasard sur les étagères de la bouquinerie. J’avais envie de lire un Yaoi, mais pas quelque chose de graphique ni de problématique et j’ai bien fait de choisir celui-ci ! On suit deux anciens amis d’enfance lors de leurs retrouvailles. L’un d’eux découvre alors l’impensable, le père de son ami le prostitue contre de l'influence dans son entreprise. Il est hors de question de rester les bras croisés et notre protagoniste décide de tout faire pour sortir son ami de cet enfer.

Comment défier le destin ? dessiné par Yoshio Akira et publié par les éditions Hana.



⚠️ Tout ce qui est dit ici n'est que mon avis personnel et n'engage que moi. ⚠️



🗺️ Un monde moderne, on est au Japon au XXIe siècle.



👥 Deux personnages qui veulent défier le destin. Désolé pour eux, mais ils ne sont pas vraiment marquants.

➡ Kaoru, un personnage qui se veut désinvolte, mais qui est toujours en quête d'attention et d'amour. Il est jaloux de la vie de son jumeau.

➡ Hara, lui, est un personnage très discret, en apparence, timide, qui se transforme en homme dominateur dès qu'ils passent au lit.



🖊️ Comme malheureusement beaucoup de yaoi, la romance arrive très vite et elle est induite par les relations sexuelles. Ce n'est pas vraiment très vraisemblable, bon, c'est pourtant un tome 1, en tout cas au Japon 2 autres tomes sont sortis. Cependant, la relation est traitée comme si c'était un tome unique.



❤️ C'est loin d'être un coup de cœur, j'ai lu d'autres yaoi sur le thème du fil du destin, que j'ai préféré, notamment le tome principal "le fil rouge". Puisque "comment défier le destin" en est le spin-off. Une des choses que je reproche, c'est que le thème n'est là que "différencier" le livre, mais en réalité, c'est toujours la même histoire, avec toujours les mêmes personnages. Une morale, un peu douteuse sur le consentement également.

petite histoire romantique qui met en scène un sujet assez fort l’absence d’amour paternel accentuée par un côté très déshumaniser d’un homme utiliser pour son corps a des fin financier- relationnelle.

rencontre de son ami d’enfance qui lui fera gentillement découvrire les petits plaisir de la vie.

Au plus profond de toi, de par sa rapidité et le classicisme de son histoire, n'est pas le genre de yaoi qui laissera un souvenir impérissable, mais sa lecture n'en reste pas moins sympathique.
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Pour une raison qui m’échappe (sans doute une question de droits), certains éditeurs aiment bien publier le spin-off avant l’histoire principale.



C’est le cas ici avec Kiss to Snow White qui est le spin-off de Goshujinsama wa ouji ga wo suki (My sweet Master), un one-shot qui n’est pas encore paru en France. Ce serait donc bien qu’il sorte aussi chez nous, afin qu’on puisse mieux comprendre l’univers et surtout les personnages secondaires !



Mis à part ce point, j’ai été agréablement surprise par ma lecture. Pour l’instant, il y a deux tomes qui sont sortis chez nous, mais la série est toujours en cours de publication au Japon au moins pour un troisième volume.



Asuka est un élève parfait. Président du conseil des élèves de son lycée très select, il a de brillants résultats et sa famille possède beaucoup d’argent. Cependant, lorsqu’il doit s’occuper du nouvel élève, il se rend compte qu’il connaît Zaizen, ils étaient amis enfants avant que ce dernier ne doive quitter la ville. Zaizen, qui est revenu pour finir ses études et reprendre l’entreprise familiale, est très surpris de ce qu’est devenu Asuka. Mais lorsqu’il apprend que son père le méprise et l’oblige à se prostituer, Zaizen décide de tout faire pour l’aider.



En lisant le résumé, j’avoue que je n’étais très convaincue par le titre. J’avais peur que ça soit bien trop glauque et généralement, je n’arrive pas à accrocher à ce genre d’histoires. Mais beaucoup ont adoré le manga, aussi il n’en a pas fallu plus pour que je me laisse tenter ! Et c’est vrai qu’au début, quand on découvre la vie d’Asuka (le contrôle, la prostitution, les drogues), je me suis demandé comment il pouvait être le meilleur élève de son lycée avec tout ce qu’il subissait. Tout est fait pour nous mettre mal à l’aise et compatir avec lui. Mais on sort vite de cette ambiance à partir du moment où Zaizen intervient. À partir de là, le manga prend une autre direction, plus douce, pour permettre à Asuka de se reconstruire et de découvrir la vie.



Il y a bien une romance entre les deux persos principaux, mais elle est extrêmement lente, c’est surtout de l’amitié qui les lie tous les deux. Asuka est trop traumatisé pour entamer une quelconque relation, c’est ce pense Zaizen qui préfère être un ami et un soutien pour lui qu’autre chose.



À la fin du tome, il y a un one-shot d’un chapitre, intitulé First love glitter, qui n’a aucun rapport avec le titre principal. Habituellement, je suis la première à râler quand ça se produit, je n’aime pas être coupée dans ma lecture par un chapitre qui n’a rien à voir avec le reste. Mais là, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai apprécié ! Les personnages manquent de profondeur, ce qui est normal vu le format, mais c’était vraiment mignon. Je me surprends !



J’ai donc beaucoup apprécié ma lecture de ce premier tome de Kiss to Snow White. J’ai aimé la direction que prend l’histoire et le développement des personnages. Je vais me hâter de lire le deuxième tome pour voir comment la relation entre Zazei et Asuka va évoluer !

Comme il s'agit d'un one shot, je ne mettais pas la barre trop haute. L'idée est vraiment bien trouvée et plutôt bien exploitée avec un belle morale (même si ça aurait pû être plus approfondi). Les sentiments et la résolution des problèmes vont assez vite. Mais je me suis laissée plonger dans ce manga plutôt intéressant avec des dessins agréables et une seule scène osée (à la toute fin).

Un manga sympathique, sans prise de tête mais qui fait prendre conscience que l’amour ne se choisit pas forcément et que surtout, il n’a pas de sexe. Une jolie histoire d’acceptation de soi. J’ai bien aimé le principe du fil rouge et ce qu’il représente.

Un bémol cependant avec le personnage de Hiro, un brin trop rapide sur l’annonce de ses sentiments.

Côté édition, malgré un papier un peu trop transparent on reste sur quelque chose de très honnête, avec une impression correcte, une jaquette proche de l'originale japonaise, un lettrage assez propre, et une traduction convaincante de la part de Delphine Desusclade qui était déjà à l'oeuvre sur Comment défier le destin. Par ailleurs, n'oubliez pas de retirer la jaquette, pour découvrir sur la couverture la postface de la mangaka !
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Kiss to Snow White est un récit qui, petit à petit, parvient à piquer l'intérêt, de par tout ce que l'on cerne des deux personnages principaux et en particulier d'Asuka. (...) Le fond est sombre et dur, mais Akira Yoshio, loin de vouloir exagérer le trait, conserve au contraire un ton assez posé, jusqu'à même éviter de montrer les scènes de sexe auxquelles Asuka est régulièrement obligé de s'adonner.
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J'adore la thématique du Fil du Destin rouge, thème particulier au Japon.



J'ai beaucoup aimé les personnages, même si c'était un peu violent parfois 😂 C'était simple et agréable, tout en étant rapide ! J'adore 🥰



C'était une belle histoire, que j'ai dévorée en très peu de temps 🤭 en plus c'est un One Shot !

L'ouvrage jouit des habituelles qualités de papier et d'impression de l'éditeur, avec également une première page en couleurs.
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⚠ Pour un public averti, contient des scènes sexuelles ⚠



Je remercie les Éditions Boy’s love IDP pour l’envoi du tome Comment défier le destin. Aujourd’hui, je vais vous parler des deux one shots, car ils ont été écrits par la même mangaka et surtout, sont dans le même univers.



Dans le fil du destin, nous retrouvons Keiji qui est étudiant à l’université. Depuis toujours, il peut voir les fils rouges du destin, qui lie une personne à son âme sœur. Pour l’instant, le sien n’est relié à personne, mais il s’impatiente du jour où cela arrivera. Pourtant, quand ce jour arrive enfin, il réalise que ce dernier est lié à un homme ! Ne voulant pas accepter cette réalité, il va tout faire pour aller à l’encontre de son propre destin.



Puis dans Comment défier le destin, nous retrouvons Kaoru, une personne qui apparaît justement dans le fil du destin. Ce dernier est un jeune adulte qui voit les fils du destin et peut créer une influence dessus. Que cela soit le rouge de l’amour, ou les autres, tout ce qui créer des relations, haine, amour, attachement, etc. Le problème, c’est que lui, n’a pas de fil à son doigt, donc cela veut dire qu’il n’aura jamais d’âme sœur, tel est le sort de certains garçons de sa famille, qui hérite de ce don de génération en génération. Pourtant, un jour, un client va être attiré par lui et va lui demander d’aller plus loin. Mais Kaoru ne veut pas, il ne veut plus tomber amoureux. À quoi bon, si cela est pour voir celui qu’on aime s’en aller, lorsque son fil rouge sera relié à quelqu’un d’autre un jour ?



Les deux relations et histoires sont vraiment adorables et toutes mignonnes. Dans la première, le lien qui se créer entre les personnages prend son temps et j’ai beaucoup apprécié cela. Dans le deuxième, il y a rapidement une relation charnelle entre les deux, mais cela ne pas empêcher pour autant d’apprécier tout autant leur histoire.



En bref, ce sont deux mangas que j’ai adorés en tout point. Cela faisait un petit moment que je n’avais pas lu de Yaoi et ça me fait un bien fou. C’est un genre que j’affectionne particulièrement, car les relations entre les personnages sont souvent bien travaillées et mignonnes comme tout. Exactement ce dont j’avais besoin en ce moment ! 😀
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Ce que je reproche le plus à Le fil du destin, c’est qu’il est trop court ! J’aurais aimé suivre l’histoire de Keiji et Hiro plus longtemps ! Nos protagonistes sont très attachants. Leur histoire d’amour l’est tout autant. D’ailleurs, j’ai été charmée par l’utilisation de la légende du fil du destin dans cette histoire. Il est intéressant de constater que Keiji peut voir ces fameux fils. J’ai apprécié le fait qu’on nous parle à la fois de destinée, mais aussi, d’acceptation de soi. Le manga nous offre une scène osée à la fin du manga. Les dessins et le scénario étaient tous deux très agréables. Bref, je recommande fortement Le fil du destin.



N'hésitez pas à lire ma critique complète ici.

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Selon cette légende d’Asie, celle du fil intangible du destin, un fil rouge normalement invisible relie ceux qui sont destinés à se rencontrer.

J’adore.



Keiji peut voir les fils. Et quelle surprise pour Kei quand ENFIN son fil se lie à quelqu’un. La poitrine gonflée d’espoir, priant pour que son fil le mène au petit doigt de la fille dont il est amoureux, Kei le suit dans les couloirs de son univerité. En suivant celui-ci, Kei ne découvre pas exactement ce à quoi il s’attendait. Son fil le relie à Hiro, un garçon.



J’aime la légende, et j’aime comment elle est traitée dans ce titre.



Pour ne pas être trop confus il faut savoir que la légende repose généralement sur l’idée des âmes-soeurs et du coup de foudre, ce pourquoi Hiro est si vite épris de Keiji. Malheureusement Kei semble refuser le destin et remet en question le fil…



Les personnages sont adorables et très mignons, le dessin est très fin, seul bémol : ce titre est trop court. Il aurait vraiment mérité quelques longueurs supplémentaires
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Une histoire assez classique mais plaisante, qui tire assez bien parti du concept de fil du destin qu'e la mangaka se réapproprie avec application.
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