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Critiques de Alan Moore (715)
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Alan Moore présente DC Comics

Ce recueil permet de faire connaissance avec les différentes facettes d’un auteur révolutionnaire. Il s’agit enfin d’une lecture passionnante, émouvante, surprenante et stimulante. Bref, une lecture magique.
Lien : https://www.lescomics.fr/rec..
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Alan Moore présente DC Comics

"Alan Moore présente DC Comics" est une anthologie réussie par sa variété, mais surtout par ce texte et cette proposition de cross-over DC inédit qui nous confirme, s’il le fallait encore, le talent de scénariste d’Alan Moore.
Lien : https://www.avoir-alire.com/..
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Alan Moore présente DC Comics

Je ne vais pas vous reproduire le quatrième de couverture, ce gros volume reprend des récits concernant les héros DC écrits par Alan Moore, le dieu anglais des scénaristes de comics.

Certains récits sont connus des amateurs et ils sont toujours aussi bons, d'autres sont méconnus et plus ou moins inégaux.

Outre les récits sur Superman et Mogo, qui sont à mon goût les meilleurs, ce lourd volume vaut surtout par la publication inédite en entier en français du maxi projet "Twilight of the Superheroes" où l'on retrouve tout le génie d'Alan Moore et où on espère qu'il existe un futur antérieur parallèle où ce projet fut une réalité.
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Alan Moore présente DC Comics

C’est donc un moment particulier de la carrière d’Alan Moore que l’on retrouve dans cet album. Plus qu’une curiosité : un traitement des héros classiques de chez DC souvent inattendu. Il faut parfois s’accrocher.
Lien : https://www.actuabd.com/Alan..
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Alan Moore présente DC Comics

Urban Comics regroupe dans ce volume des récits courts (parfois très courts) écrits par Alan Moore alors que ce dernier n'avait pas encore livré les chefs-d'œuvre qui allaient faire sa renommée mondiale.
Lien : https://actualitte.com/artic..
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Anarchy Comics

Sans trahir l'esprit libertaire de rigueur, le rédacteur en chef était arrivé à tenir une ligne éditoriale ouverte et exigeante. Trente ans après les faits, Anarchy Comics n'a rien perdu de sa furie et de son énergie.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
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Batman : Le chevalier noir

Tout commence par une émeute meurtrière à l’asile d’Arkham, suivie par des massacres sanglants. Tandis que Gordon fait face à la police des polices et que la vie sentimentale de Bruce Wayne sombre, Batman se retrouve à suivre un mystérieux Lapin Blanc tout en luttant contre ses propres peurs.



Comme toujours avec Batman, il y a beaucoup de violence et d’introspection, au point que parfois ça finit par être un peu répétitif, même si les auteurs font de leur mieux pour trouver de nouveaux angles d’approche, ce qui est toujours intéressant. On explore les relations que le personnage entretient avec les autres, mais aussi avec lui-même et avec ses démons. On a également l’occasion de développer le background de certains méchants. Le reproche que j’aurais à faire à ce comics, c’est qu’après une première intrigue très prenante, on passe à une autre tout aussi prenante, mais qui laisse la résolution de la précédente en suspens. Alors que la couverture annonce un « récit intégral », il semble y avoir un tome 2.



Pour ce qui est du dessin et de la mise en couleurs, ça fonctionne bien, comme toujours il y a un jeu sur l’ombre et la lumière qui correspond bien à Batman. J’ai préféré le travail de certains dessinateurs, même si les styles se fondent bien les uns dans les autres et se complètent bien, le tout forme un ensemble cohérent. J’ai un gros bémol, cependant: les personnages féminins sont très sexualisés, avec des tenues plus que légères et des attributs physiques fortement mis en avant. Ce sont les dessins les plus précis et détaillés dans le comics.



Pour résumer, une bonne lecture malgré quelques défauts. Mais un gros agacement et une grande lassitude face au sexisme récurrent du genre.
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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Batman : Le chevalier noir

Batman ne craint rien ni personne...à l'exception près de la peur...

Confronté aux versions Dc Comics des protagonistes d'Alice aux pays des merveilles et surtout à l'Epouvantail, il va devoir lutter contre ses démons intérieurs pour sauver ce qui peut l'être de Gotham...

Noir au possible, ultra violent et tellement beau visuellement !!!
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Batman : Le chevalier noir

Batman et la peur: thème central de ce volume qui contient deux histoires distinctes, dont une non terminée, et ça c'est dommage.

Tome un peu répétitif, pas d'action et peu d'intrigue. Dommage.
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Batman : The Killing Joke

Je lis très peu de comics, mais je me suis laissée séduire par le duo mythique que forment Batman et le Joker. A travers une histoire vibrante de folie qui revient par flash-back sur la genèse du personnage du Joker, on suit l'affrontement des deux personnages. De beaux graphismes, une belle mise en scène et un scénario très prenant. Gros plus pour les répliques du Joker dont l’excentricité morbide fait sourire autant qu'elle fait froid dans le dos.
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Batman : The Killing Joke

"Se souvenir n'est pas sain. Le passé est un endroit riche en tracas et complications. "Le passé simple" ça n'existe pas !"

Le passé du Joker n'est pas simple, pour lui tout s'est joué sur un mauvais jour et il est devenu un criminel fou, enfin, c'est ainsi que lui voit la chose car pour Batman, son ennemi juré, il n'en est pas de même et son voire même ses mauvais jours ne peuvent lui servir d'excuses ni de justificatifs.



Pour cet opus de Batman, Alan Moore a décidé de revisiter les origines du Joker et de le confronter une nouvelle fois à Batman, confrontation qui laissera des traces puisqu'il paralyse Barbara Gordon en lui tirant dans la colonne vertébrale et capture son père, le commissaire Gordon, pour tenter dans le rendre fou dans le parc d'attractions qu'il vient d'acquérir, après s'être une nouvelle fois échappé de l'asile d'Arkham : "Mesdames et messieurs ! Vous en avez entendu parler dans les journaux ! Maintenant, tremblez alors qu'apparaît devant vos yeux ébahis l'une des plus lamentables erreurs de la nature ! Voici l'homme ordinaire ! Ordinaire physiquement, mais affligé d'une moralité difforme. Voyez comme la foi en l'humanité est enflée, l'odieuse bosse que forme la conscience sociale, la décoloration de l'optimisme flétri ... âmes sensibles s'abstenir.".

Choix judicieux que de montrer au lecteur le passé du Joker, avec des planches en noir et blanc qui se colorisent au fur et à mesure mais uniquement avec un rouge qui devient de plus en plus dominant, d'autant plus que l'auteur ne cherche pas à excuser ou faire aimer son personnage.

Le Joker reste un personnage fou à lier et détestable, avant de plonger dans une cuve de produit chimique il était même plutôt un raté, un homme qui s’apitoyait sur lui-même et incapable de gagner sa vie et de s'occuper de sa famille.

Il était absurde, tout comme la mort de sa femme avec un chauffe-biberon l'est, mais sa nouvelle situation lui a ouvert une autre voie dans l'absurde : celle de la menace qu'il représente par ses pulsions meurtrières mais surtout sa folie : "Les souvenirs forment une foire perfide. Elle vous entraîne des pommes d'amour de l'enfance aux montagnes russes de l'adolescence, états d'âme doux comme la barbe-à-papa mais soudain, vous prenez un virage malheureux et vous retrouvez dans les ténèbres froides, sales et ambiguës de ces souvenirs que vous auriez préféré oublier. [...] Mais peut-on vivre sans eux ? Les souvenirs sont la base de notre raison. Refuser d'y faire face, c'est nier la raison elle-même. Quoique, pourquoi pas ? Nous ne sommes pas tenus de garder la raison. Il faut savoir raison perdre !".

La colorisation faite par Brian Bolland est une franche réussite, il n'hésite pas à utiliser des couleurs tranchantes, comme le jaune du chemisier de Barbara, avec des nuances plus sombres pour le Batman, l'homme chauve-souris qui agit la nuit.

Mais l'opposition entre Batman et le Joker ne se limite pas qu'aux couleurs caractérisant ces personnages, ils ont une vision diamétralement opposée de la vie et de ses aléas, ainsi pour le Joker : "Tout ce en quoi nous croyons, ce pour quoi nous luttons ... ce n'est qu'une horrible, monstrueuse farce !" alors que pour Batman c'est l'inverse qui est vrai.

Pourtant, la fin est des plus surprenantes, comme un pied de nez à cette guerre à la vie à la mort entre ces deux personnages.



Première incursion réussie dans l'univers de Batman avec "The killing joke", album qui s'est offert Alan Moore pour un scénario ciselé, Brian Bolland à la colorisation, ce dernier offrant également une histoire courte inédite "Un parfait innocent" en fin d'album ainsi qu'une série d'esquisses.
Lien : http://lemondedemissg.blogsp..
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Batman : The Killing Joke

Commençons par une remarque sur la forme avant d’entrer dans le vif du sujet. Cet album, édition anniversaire (aussi appelée DC Deluxe), est disponible en deux versions, l’une en noir et blanc (fidèle à l’album original) et une autre entièrement colorisé par Brian Bolland. J’ai les deux versions en stock et même si le trait N&B de Bolland est sublime, j’ai finalement opté pour la version colorisée.



À défaut de connaître l’album je suis familier de l’univers d’Alan Moore, scénariste du cultissime Watchmen (que je dois impérativement relire avant de vous proposer une chronique à la hauteur de l’œuvre), mais aussi de V For Vendetta, La Ligue Des Gentlemen Extraordinaires, Constantine ou encore From Hell.



J’en vois déjà quelques-uns (si, si… là-bas, au fond à gauche) soupirer d’aise avant de se vanter d’avoir vu les films… Taisez-vous malheureux ! Ne parlez surtout pas des adaptations cinématographiques de son œuvre à Alan Moore, il n’y a rien de mieux pour le faire sortir de ses gonds. Vous verrez alors ses yeux se révulser, une écume verdâtre sourdre au point des lèvres…



Alan Moore évoque rarement son travail sur Killing Joke, il faut pourtant bien avouer que son histoire est bien ficelée et met parfaitement en exergue la folie du Joker et l’opposition / attraction entre lui et Batman. Force m’est toutefois de constater qu’après The Dark Knight Returns, on se retrouve dans une intrigue plus classique du Batverse et surtout nettement moins étoffée. D’un autre côté Frank Miller a pu s’épancher sur 240 pages alors que ce pauvre Alan Moore a dû se contenter d’une cinquantaine de pages. Et il s’en tire fichtrement bien mais on aurait apprécié que certains points soient plus étoffés.



Le dessin de Brian Bolland est juste irréprochable, qu’il s’agisse des personnages (son travail sur les mimiques du joker est exceptionnel) ou des décors. Là encore on aurait aimé une petite rallonge au niveau du nombre de pages afin d’exploiter au mieux l’aspect lugubre de ce parc d’attractions à l’abandon qui sert de repaire au Joker et à ses freaks.



Ce qui m’a motivé à opter pour la version colorisée de l’album sont les flashbacks qui nous font (re)découvrir la genèse du personnage du Joker. Ils sont tout en nuances de gris avec quelques touches de couleur (essentiellement dans les tons rouges) qui donnent plus d’impact aux images.



Pour ce qui est de l’intrigue actuelle de l’album, Brian Bolland opte pour une palette plutôt sombre qui colle parfaitement au scénario d’Alan Moore.



Un seul mot me vient pour qualifier le final de cet album : brillant ! Les lecteurs sont libres de l’interpréter comme ils l’entendent, soit Batman agit « dans les règles », suivant les recommandations du commissaire Gordon, soit il opte pour une solution plus définitive.



Cette version anniversaire s’ouvre sur une préface de Tim Sale (un illustrateur du Batverse et plus généralement de l’univers DC Comics) et se termine (ou presque) par une postface de Brian Bolland. Deux textes qui nous en apprennent un peu plus sur la genèse de cet album.



J’ai indiqué que la postface termine presque le présent album parce qu’elle est suivie par une histoire inédite d’une dizaine de pages, Un Parfait Innocent, qui nous fait partager le délire d’un jeune gars plutôt sympa qui rêve de faire le mal une fois dans sa vie, mais de taper haut et fort avant de retrouver une vie normale.



Je pense que si j’avais lu Killing Joke avant The Dark Knight Returns j’aurai peut-être été plus enthousiaste sur ma note finale amis là malgré une intrigue rondement menée ça a vraiment goût de trop peu.
Lien : https://amnezik666.wordpress..
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Batman : The Killing Joke

Remarquable, classique ou culte, les mots manquent pour qualifier l’énorme impact de The Killing Joke (1988) sur l’univers de Batman. Créé par l’illustrateur Brian Bolland (Couverture de Batman : Gotham Knight, Judge Dredd…) et le scénariste Alan Moore (Watchmen, V pour Vendetta…), The Killing Joke revit aujourd’hui chez Urban Comics en édition Deluxe, pour notre plus grand plaisir...
Lien : http://bullesdeculture.com/2..
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Batman : The Killing Joke

L'un des récits les plus emblématiques sur l'affrontement incessant entre Batman et le Joker est proposé ici en version recolorisée et agrémenté de pages bonus.

Mr J. s'échappe une énième fois d'Arkham, s'en prend odieusement aux Gordon, le père commissaire de Gotham ainsi que sa fille Barbara, avec à la clef l'un des plus affreux actes perpétrés par le Joker.

Un must have !!!
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Batman : The Killing Joke

Un indispensable pour les fans du chevalier noir et de Alan Moore.
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Batman : The Killing Joke

Un des albums culte d'Alan Moore avec l'antagoniste de Batman en figure de proue, le Joker. Son passé, ses actions, ses pensées, son "freak show" glauque et flippant, sa folie.

L'histoire se concentre sur le destin de comédien raté, le bouleversement de la famille Gordon, notamment Barbara, qui raccrochera son costume après le cauchemar qu'elle a vécu avec le Joker qui la laisse traumatisée et paraplégique.

Terrifiant et imprévisible, un ennemi historique du Chevalier Noir ... Très beaux dessins servi par une mise en page aux petits oignons, on en redemande !
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Batman : The Killing Joke

Avec Alan Moore comme scénariste on devait s'attendre à un bon comics, et je dois dire que c'est réussi.



The Killing Joke nous plonge dans les origines du pire ennemi du chevalier noir. Un régal pour les fans de Batman.
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Batman : The Killing Joke

Le Joker s’est encore une fois fait la malle de l’asile d’Arkham. Alors que Batman est à sa recherche, notre taré préféré s’en prend au commissaire Gordon et à sa fille. Torture psychologique, humiliation, coups et blessures sont au programme…

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Une plongée dans la folie abyssale du Joker, un récit divinement bien mené, des dessins à la fois parfaits et propres, mais aussi glauques et sales. Une bonne lecture donc dans l’ensemble.

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Ce n’est toutefois pas un coup de cœur car le récit est vraiment court. C’est frustrant ; une cinquantaine de pages en rab auraient été nécessaires pour une immersion.

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Un bon point selon moi ; le Joker n’est pas sexualisé. Parce qu’il faut le dire ; ce personnage n’est pas supposé être un sex symbole… Arrêtons de le rendre physiquement désirable dans le but de faire vendre messieurs dames les éditeurs svp 🙂

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Cette histoire, qui est à priori un incontournable, aura toutefois fait le job et j’avoue l’avoir plusieurs fois feuilletée pour le plaisir des yeux depuis que je l’ai terminée.
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Batman : The Killing Joke

Un scénario solide, très adulte, magnifié par un graphisme net sur des visages expressifs font de ce récit un classique intemporel racontant la guerre éternelle entre le Chaos et la Loi et plaçant la folie comme seule échappatoire au Réel.
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Batman : The Killing Joke

Alan Moore est un génie. Bon, ok, c'est peut être galvaudé mais en tout cas c'est un très grand scénariste de comics. A tel point qu'après ce "Killing Joke" Brian Bolland n'a jamais plus travaillé avec aucun scénariste. Comme il le dit lui même, quand on a travaillé avec le meilleur...



Alors quand Alan Moore décide d'explorer la relation trouble qui lie Batman et son Némésis, le Joker, forcément, on obtient un morceau d'anthologie.



En s'en prenant au commissaire Gordon et à sa fille Barbara (qui deviendra Oracle suite à ces événements) le Joker espère prouver qu'une simple mauvaise journée peut rendre fou n'importe qui.



Et le récit est justement centré sur le Joker et son passé. Comédien à la petite semaine, il accepte de porter le masque du Red Hood le temps d'un cambriolage pour gagner un peu d'argent. Tout ne se passera pas comme prévu et nous découvrons tout au long de flashbacks les origines du Joker telles que Moore les a imaginées.



Ce récit est une des meilleures analyses de la relation Batman / Joker et leur dynamique si particulière. Un Joker prêt à tout pour prouver son point de vue et Batman prêt à tout pour l’arrêter mais lui offrant encore une fois son aide pour le réhabiliter. Comme le souligne le Joker, les deux sont fous et enfermés dans leur propre folie et il leur est impossible d'en sortir.



Mais comme le disait Alan Moore lui même, la meilleure blague du récit est sans doute que personne n'ait compris que le titre venait du fait que cette fois, Batman choisit de sortir de ce cercle vicieux.
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