Alice Colin

L'histoire d'Alice débute lorsqu'elle a 17 ans, et que le COVID fait son apparition. Tout semble aller bien dans sa vie, mais voilà : le confinement va donner plus de place à la dépression qu'Alice portait avec elle, qui déjà était présente bien que silencieuse.



Elle donne un visage à sa dépression, j'aime beaucoup cette idée et quand les auteurices anthropomorphisent plus ou moins les maladies mentales ; dessinant l'invisible pour le rendre visible. Cela permet de montrer au lecteur que même si une maladie ne se lit pas sur le front de la personne concernée, elle est bien là, quelque part.



Alice aborde la santé mentale et notamment la dépression avec douceur et humour, son dessin est léger dans le style webtoon, offrant une lecture simple et rapide. Un témoignage touchant et sincère, qui parlera à celleux qui ont eu une expérience similaire avec l'annonce du premier confinement en mars 2020 ; période étrange pour les ados et jeunes adultes qui les ont beaucoup marqués dans le développement de leurs comportements sociaux.

Une adolescente un peu fragile au niveau de la santé mentale, va subir de plein fouet les effets de la pandémie COVID. Quel impact le confinement a-t-il eu sur nos adolescents déjà mal dans leur peau ? Le roman graphique aux jolis dessins, assez simples, en noir et blanc, aborde le sujet compliqué, mal compris et souvent stigmatisé qu'est la dépression.

J'ai beaucoup aimé et pense que cela pourrait aider de nombreuses personnes éprouvant ce type de mal-être.

(LX971) - Cet album autobiographique d'une jeune autrice sur sa dépression déclenchée lors du confinement lié au Covid (sans en être évidemment la seule raison) est touchant par sa sincérité et sa simplicité. Cela étant, au bout d'une centaine de pages, on a la désagréable impression de tourner en rond sans qu'on puisse véritablement en apprendre davantage sur les méandres de la dépression. Sa thérapie produisant des effets positifs, j'aurais aimé que l'autrice puisse prendre un peu de hauteur, en croisant par exemple son ressenti avec le regard de son entourage sur sa propre santé mentale. le récit a tendance à rester à l'état de journal intime et manque de recul et de décentrement (pas simple, j'en conviens). Cela étant, il parlera sans nul doute au jeune public, en particulier lycéen souvent en demande d'informations sur la question de la santé mentale, à un âge où la chimie du corps et celle des événements s'entrechoquent parfois avec pertes et fracas. Plutôt oui pour la sélection du Prix BDz'îles en lycée.

(SCO971) La lecture de cet album m'a laissé un peu sur ma faim, j'avoue avoir eu un peu de mal à vraiment m'attacher au personnage. Et puis il y a beaucoup à lire ... A voir pour la sélection 2024

(ALF971) Histoire autobiographique où l'autrice nous raconte sa vie en commençant un peu avant le confinement. Elle comprend qu'elle est en dépression et elle nous raconte son cheminement pour comprendre son état et raconter sa thérapie. Un grand oui pour la sélection lycée.

(MAB971) Oui pour la sélection lycée.

Une très bonne lecture pour les ados qui souffrent de dépression ou qui veulent en savoir un peu plus sur cette maladie.



J'ai trouvé ce roman graphique autobiographique très touchant, brute, vrai. Il raconte à cœur ouvert l'histoire d'Alice, mais jamais sans tomber dans le dramatique. J'ai vraiment aimé que l'espoir et l'optimisme ressortent de cette lecture. Toujours avec des petites touches d'humour qui viennent alléger le propos, mais sans

non plus l'effacer.



Néanmoins j'ai ressenti le jeune âge de l'autrice (par rapport à moi) et j'aurais apprécié que le sujet soit encore plus approfondi. Mais cela n'enlève en rien le plaisir que j'ai eu à lire

ce roman graphique.



***



Les + :

- L'histoire est racontée de manière très vraie et brute

- Les touches d'humour et de second degré

- Le côté vulgarisation de la maladie, très instructif pour celles et ceux qui la connaissent mal



Les - :

- J'ai senti que l'autrice est très jeune (par rapport à moi évidemment)


Lien : https://www.instagram.com/mo..

La dépression, un sujet délicat qui est ici abordé avec douceur, peut-être même un peu trop.

Ici Alice Colin, autrice et narratrice, parle de son expérience pendant l'épidémie de covid, du diagnostic de sa dépression et rapidement de son écoanxiété.

L'aspect biographique de ce roman graphique était intéressant. Néanmoins, ce livre plein de promesse était un peu trop superficiel à mon gout, j'aurais aimé plus de profondeur.

J'aimais beaucoup la personnalisation de la dépression par ce nuage noir trop collant, mais j'ai trouvé les dessins beaucoup trop amateurs.

Ça ne m'a pas assez touché, mais c'est sûrement très adapté pour un public plus jeune, d'autant plus avec les quelques passages de vulgarisation scientifique.

Livre reçu dans le cadre d’une masse critique privilégiée, merci @babelio_ et @hachetteromans !



Lorsque l’on me l’a proposé, j’ai vite lu le résumé et pensé que ça allait être une histoire liée au covid mais c’est bien plus que cela ! Cette histoire est auto-biographique et raconte ce que l’autrice a vécu à la fin de son année de terminale et son entrée à l’université donc on découvre des problématiques qui sont liées à cela. Et tout autour gravite la dépression car oui, c’est ça le sujet principal de cette histoire.



J’ai trouvé le sujet très bien abordé, sans faire de généralité ni d’exagération. L’autrice nous livre ce qu’elle, elle a vécu. La façon dont son entourage l’a perçu, ses combats pour en venir à bout, la difficulté pour mettre le doigt sur ce qui n’allait pas, … Mais ce n’est pas une histoire sombre, l’humour est constamment présente en petite touche et la BD sous forme d’illustrations libres non définies par des cases apportent beaucoup de fluidité et de légèreté au récit.



Les dessins sont simples mais font vraiment bien leur boulot. On voit que l’autrice a déjà trouvé son style. Même si on reste dans des nuances de gris, du noir et du blanc, les illustrations arrivent à partager les ressentis des personnages. Et il est très facile de s’identifier à Alice et à certaines choses qu’elle vit.



Un très bon roman graphique qui fait du bien à lire.

Ce roman graphique est très réconfortant, j'ai beaucoup apprécié le côté optimiste qui assure que ça va aller, tout va passer.



Plusieurs sujets sont évoqués tels que : la dépression, l'importance de prendre soin de sa santé mentale, les relations amoureuses et amicales, les ruptures, le syndrome de l’imposteur, la procrastination, etc.



Ça va aller est écrit avec une douceur et une bienveillance qui touche. J'ai également ri grâce à la touche d'humour apporté par l'autrice ! Ce fut une très belle découverte !

Je voulais absolument lire cette bande dessinée car elle parlait de deux sujets très importants : la dépression et le confinement.



C'est un récit autobiographique, mais ce récit aurait pu être celui de n'importe qui. L'autrice arrive à retranscrire parfaitement ce que l'on peut ressentir lorsque l'on fait face à ce magma noir qui ne veux pas nous quitter.



Les dessins sont simples mais réalistes. La touche d'humour est tout de même bienvenue puisque le sujet abordé peut prendre vraiment aux tripes et même mettre à mal le lecteur.



Je terminerais ce court avis en indiquant que si l'on est nous même dans une phase s'apparentant à ce qu'a ressenti l'autrice, il faut peut-être différer la lecture de cette bande dessinée.

Merci à Babelio pour cette masse critique privilégiée.

J'avoue ne pas lire très souvent des romans graphiques et des romans jeunesse. Je pensais, vu le résumé, qu'on aborderait davantage le contexte du covid, mais pas vraiment. On se focalise plus sur la dépression d'Alice, et tout ce qui tourne autour, les symptômes, l'entourage etc. Ce livre est informatif et utile pour les plus jeunes, à comprendre l'intérêt de demander de l'aide quand ça ne va pas. Un peu simpliste parfois mais on est dans la peau d'une adolescente et on vit avec elle ses dramas du quotidien.

Je n'ai pas forcément trop aimé les planches de dessins et l'écriture en gras.

Lu d'une traite, je suis entrée immédiatement dans l'ouvrage, captivée peut être plus par les dessins, que par l'histoire, quoique ! comme c'est écrit page 154, "tous les sujets sont sensibles" et ils m'ont intéressée, centrés sur l'humain,  faisant parfois écho à des expériences personnelles...

Les différents sujets abordés sont : le confinement, l'amour,  la rupture, l'amitié, la dépression, les anti-depresseurs, le corps ,le théâtre, les différentes thérapies..

Un livre qui a surtout comme fil conducteur l'état intérieur d'Alice et

"C'est imprévisible , comme des montagnes russes émotionnelles".

Oui, un livre qui suinte la vie, dans les traits du crayon et dans le langage familier...et le noir et blanc apporte de la sobriété,  de la simplicité,  nécessaire à dire l'essentiel qui habite une personne, ici Alice..

Impressionnée par les dessins du corps entier de Alice , qui expriment des émotions.

Je trouve aussi que ce livre est pédagogique à traiter la dépression si simplement et à dire qu'on en sort, même si "Pas de résolution magique, pas de conclusion définitive, parce que c'est comme ça que ça se passe dans la vraie vie."

Pertinentes les deux pages sur les différentes thérapies...

Livre optimiste, Alice éprouve, réfléchit, à des liens , elle avance tout de même...



C'est ma première expérience de livre graphique et j'ai maintenant envie de réitérer l'expérience de ce type d'ouvrage.

Une BD autobiographique sur la dépression, un thème qui intéressera beaucoup de monde. Cette adolescente (en terminale au début du récit) va ensuite rentrer à la fac en double licence. Le confinement COVID couplé d’un chagrin d’amour vont avoir raison de sa santé mentale. Elle devient triste, incapable de se concentrer sur ses cours... Le psychiatre lui prescrit des anti-dépresseurs, qui l’aideront à remonter la pente, tout comme ses débuts dans la BD avec la publication de ce premier récit.



Agréable à lire, on s’identifie facilement à cette jeune femme.

Une BD qui s'adresse aussi bien aux adolescents à partir de 15 ans qu'aux adultes.

Merci à l’équipe de Babelio de m’avoir donné l’opportunité de découvrir ce roman graphique grâce à l’opération « masse critique » !



Pour commencer, j’aimerais souligner la beauté du graphisme. J’ai beaucoup aimé le coup de crayon de l’auteure qui nous emmène directement dans son monde avec ses planches animées.



L’histoire est un condensé d’émotions, d’humour et d’enseignements psychologiques. À travers son propre récit de vie, Alice évoque l’épisode dépressif en faisant constamment le lien entre son vécu et les termes utilisés par les spécialistes. Pour cela, je trouve que ce roman peut avoir une portée éducative pour les adolescents, il peut les aider à garder espoir grâce à la morale qu’en tire l’auteure.



L’humour présent apporte de la légèreté au récit plus que bienvenue pour ne pas nous laisser engloutir par le mal-être de l’héroïne. Elle-même le dit, il y a des moments où elle régresse et des moments où elle progresse. Ça prouve combien l’être humain est fluctuant et pluriel.



L’idée de rendre cet épisode dépressif quasi « humain » avec la présence de cette substance collante m’a plu. On se rend davantage compte de la puissance de ce trouble, ça le rend concret. Encore une fois, ce choix peut davantage parler au public visé.



En résumé, ce roman graphique a été une belle découverte. J’ai apprécié de me plonger dans ce récit à la fois drôle, touchant, important aux messages forts et significatifs.

Le sujet de la dépression déclenchée lors de la crise du Covid, chez une jeune fille en proie aux doutes, dans une société très anxiogène,

Un sujet traité avec de l'humour et de la pudeur, à travers un graphisme très doux. C'est drôle et touchant. Un peu de société patriarcale, de l'éco-anxiété, de questionnement amoureux : ces sujets toucheront de nombreux jeunes et moins jeunes.

Alice a 17 ans et elle vient de changer de lycée pour sa terminale, elle souffre déjà de dépression sans que celle-ci soit encore diagnostiquée quand intervient la pandémie de Covid-19. Le confinement la fragilise énormément et elle ne parvient même plus à suivre les cours en ligne. Malgré la consultation de deux psychologues qui établissent un diagnostic de dépression, Alice attendra encore plusieurs semaines avant de consulter un psychiatre qui confirme le diagnostic et lui prescrit un traitement médicamenteux. Sous la pression, notamment de ses parents, Alice intègre alors la Sorbonne pour une double licence, droit et sciences politiques. Elle vit successivement deux histoires d’amours malheureuses et notamment la première avec un jeune homme souffrant d’addiction aux drogues.





Une jeune femme, Alice Colin, livre ici un journal autobiographique sous la forme d’un roman graphique. Dans un style épuré avec des dessins simples au feutre noir, elle s’adresse à ses pairs afin de parler de sujets importants pour cette génération, la santé mentale, les troubles de l’humeur et l’errance diagnostique et thérapeutique dans ces pathologies mais aussi la fragilité d’une génération marquée par les pandémies, les guerres et surtout les menaces de la fin de l’humanité et peut-être même du monde en raison d’un désastre écologique. C’est bien évidemment cette honnêteté autobiographique qui frappe avant tout et il est amusant de retrouver même Cécile Terouanne, la directrice éditoriale de Hachette romans dans l'œuvre. Nous regretterons simplement l’absence de correction après relecture qui aurait permis d’éviter quelques coquilles. Il s’agit enfin d’un nouveau titre dans cette nouvelle collection Hachette romans graphiques après le phénomène éditorial de Heartstopper d’Alice Oseman.

Je remercie Babelio et les éditions Hachette pour l'envoi de cette BD dont le sujet m'intriguait.

Alice Colin se propose en effet de mettre en scène la dépression, challenge s'il en est.

Elle adopte une stratégie assez répandue en littérature jeunesse : personnifier "le mal". Et cela fonctionne plutôt bien. Tout comme l'humour dont elle fait preuve en s'affublant de lunettes et d'une blouse quand elle s'essaie à la vulgarisation.



Cependant, deux choix m'ont gênée.

L'écriture inclusive à géométrie variable pour commencer : présente dans le texte mais pas dans les remerciements (pourquoi ?).

Ensuite, Alice Colin fait ce qu'elle veut avec ses cheveux et avec ses poils, mais je ne vois pas bien l'intérêt d'en ajouter sur les jambes et des sous les bras de son double de papier.



Ces deux points révèlent peut être une trop grande différence de génération et n'enlèvent rien à la qualité générale de cette BD.

Mais je n'en ai pas vu l'intérêt scénaristique, alors qu'ils m'ont fait sortir de l'histoire à plusieurs reprises.



Heureusement, le reste (et donc l'essentiel) est plutôt réussi. Les doutes quant au diagnostic (pourtant posé par quatre professionnels différents), les hauts et les bas de cette maladie, l'influence des évènements extérieurs (confinement, rupture), le regard des autres... Le ton est très juste et fait de cette BD un livre à offrir à l'entourage peu compréhensif d'une personne dépressive. Le parallèle avec le handicap page 164 est particulièrement parlant.

Alice a 17 ans et mène plutôt une belle vie. Une belle vie, en apparence seulement, car depuis qu'elle a changé de lycée, qu'elle est en classe de terminale, elle essaie de se convaincre que tout va bien. Et puis il y a le Covid, les confinements. Au début, Alice voit ça comme des vacances, mais elle vit finalement mal la situation. Tristesse, perte de poids, fatigue, après avoir consulté à plusieurs reprises, tous s'entendent pour dire que l'adolescente souffre de dépression.



Avec « Ça va aller » paru aux éditions Hachette, Alice Colin nous livre une BD autobiographique. Quel meilleur sujet en effet que soi-même dans le domaine de la bande dessinée ? Comme bon nombre d'auteurs, Alice personnifie la dépression dans son livre pour mieux faire comprendre au lecteur ce qu'elle endure. C'est aussi un bon moyen pour vulgariser la maladie et rendre ses propos accessibles au plus grand nombre.

Malgré un dessin épuré et une écriture assez soignée, quelques coquilles persistent et le récit tourne en rond. Y aurait-il eu un souci de relecture ? De correction ? Le récit aurait pu être aisément raccourci d'un tiers pour éviter les répétitions. Saluons tout de même ce premier roman graphique de l'autrice qui laisse présager de bonnes choses pour la suite.

Ça va aller » est une bande dessinée d’Aline Colin qui traite de la dépression.

Pour la dessinatrice, sa dépression a commencé pendant le confinement. Une rupture amoureuse et l’isolement ont entraîné une grande tristesse pour cette jeune femme ainsi qu'une perte de poids importante. Elle avait aussi du mal à se concentrer en licence et a dû abandonner une partie de ses études. Heureusement elle a pu trouver du soutien auprès de l’université et de ses proches.

Non seulement cette bande dessinée a de très beaux dessins mais elle est, de plus, assez instructive sur les symptômes de la dépression, les professionnels qui peuvent nous aider et sur les symptômes et aides médicamenteuses de celle ci. Elle peut aider les jeunes à mieux comprendre ce qu’est cette pathologie mentale.

C’est par les réseaux sociaux qu’Alice Colin s'est fait connaitre et on lui souhaite un grand succès avec cette bd.

Cette bande-dessinée est un récit autobiographique qui met l’accent sur la dépression de l’auteur pendant la fin de ses années lycée et le début de ses années étudiantes. Cette dépression prend racine dans un malaise qu’elle ne comprend pas et aussi dans une éco-anxiété. Le récit se concentre ainsi sur le ressenti et le quotidien de l’héroïne.

J’ai trouvé qu’il faut beaucoup de courage pour se raconter et se mettre à nu comme le fait l’autrice, avec autant d'honnêteté. Et je pense que ce livre peut aider les parents d’adolescents à comprendre le mal-être de leur enfant (car même à la lecture de l’ouvrage, pour des gens qui n’ont jamais ressenti ça, ça reste assez incompréhensible), ou aussi des adolescents en mal-être à se sentir compris.

Je n’ai pas été particulièrement émue par les dessins, même si on sent que le trait s’affine au fur et à mesure de la BD et l’autrice étant elle-même en formation, il sera sûrement amené à se modifier. Il y a par contre une très grande fluidité du propos et une maîtrise de l’utilisation de l’espace offert par la page.

Petite BD sympathique avec un style graphique assez simpliste, qui rappelle pas mal Heartstopper. Le sujet de la dépression y est traité avec un peu d’humour.



Ceci étant dit, je n’ai pas été plus emballé que ça par cette lecture. J’ai trouvé que le sujet était traité de manière assez superficielle, et j’aurais aimé en apprendre un peu plus sur le sujet. Pour le coup, on est plutôt sur un récit de tranche de vie avec assez peu d’informations concrètes sur la dépression.

Un véritable voyage dans la tête d’Alice, et tout simplement dans la tête d’un étudiant pendant le confinement et tout ce que cela pouvait impliquer.

Alice partage son vécu pour faire sauter certain tabou et mettre des mots sur la souffrance de beaucoup de jeune. Le tout expliqué de manière simple et non culpabilisante.

Difficile pour ma part de ne pas m’identifier à Alice pour avoir vécu de mon côté presque la même chose : rupture, dépression, maladie, scolarité chaotique pendant le confinement.

Ce roman graphique me permet de mettre un point final sur toute cette période et à cette épopée cataclysmique !

Même si on y croyait plus, on a survécu car finalement…

Ça va aller !