Alix Garin

Ne m’oublie pas, c’est l’histoire de Clémence, dont la grand-mère est atteinte de la maladie d’Alzheimer et a dû être placée en EHPAD. Un jour, alors qu’elle lui rend visite, elle décide de l’enlever et de s’enfuir avec elle sur la route à la recherche de la maison d’enfance de sa grand-mère. Cette dernière en parle tout le temps, mais Clémence ne peut se fier qu’à sa mémoire défaillante et ne sait pas si elle existe réellement.



Ce road trip vers cette hypothétique maison d’enfance est l’occasion pour Clémence et sa grand-mère de se retrouver, de se rapprocher et de se préparer à se dire adieu.

C’est à la fois l’histoire de leur voyage en voiture et l’histoire d’un voyage intérieur pour Clémence qui va se replonger dans ses souvenirs afin de savoir où elle en est et peut-être de se trouver elle-même au bout de ce voyage.



C’est une histoire très touchante, qui m’a énormément émue.

J’ai beaucoup aimé le thème tout d’abord, ces moments de partage et de confidences entre une grand-mère et sa petite-fille m’ont beaucoup touchée. Les illustrations traduisent bien l’amour, la tendresse mais également la pudeur qu’à Clémence face à sa grand-mère.

J’ai aussi aimé les retours dans le passé, les moments d’introspection et où Clémence donne son point de vue sur l’enlèvement de sa grand-mère. Ils nous permettent de comprendre son ressenti et ce qui se joue pour elle au cours de ce voyage.

Enfin, j’ai aimé les illustrations. La couverture est très belle, tout comme les illustrations à l’intérieur, principalement dans des tons de bleu et d’orange, d’une grande douceur et qui soulignent le côté poétique du récit.

C’est vraiment un très beau livre que je vous recommande !



En quelques mots : amour, famille, femmes, road trip, maladie, Alzheimer, souvenirs, quête.
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Beacoup d emotion a suivre cette Clemence qui refuse de voir partir sa mamie, de l'abandonner dans cette hospice. Clemence que l'on voit subir moultes péripéties (sans en dire trop, le sort s'acharne sur elle), et s'interroger sur son passé avec sa mamie, sa propre mère et sur elle même.

Beaucoup d émotions, et un dessin, certes simple, mais complètement en phase pour suivre avec intérêt, et émotion, cette histoire.

Très recommandable, même si, le récit se laissant aller aux errements de sa protagoniste, n'évolue pas rapidement a proprement parler.

Waow. Quel coup, quelle émotion que ce roman graphique. Un vrai coup de poing dans les tripes, à en remuer le coeur et pleurer les yeux.

Je m’y attendais un peu lorsque j’ai lu le résumé. Une grand-mère qui a l’Alzheimer. Une petite-fille qui aime énormément sa grand-mère… “On dirait moi” me suis-je dit avec un sourire aigre-doux.

Sauf qu’ici, la grand-mère est au home, dans un stade avancé de la maladie et que Clémence, notre héroïne, a un instant de folie et de révolte. Ne supportant pas de voir sa chère grand-mère enfermée dans ce home qui lui donne des calmants “pour avoir la paix”, Clémence la kidnappe et décide de prendre la route ! Pour aller où ? Dans l’hypothétique maison d’enfance de sa mamie.



Un récit qui prend au cœur tant il foisonne de “petits moments” tour à tour doux, poétique ou douloureux. Ce récit, c’est aussi celui de Clémence, perdue dans sa vie, perdue dans sa famille et dans ses choix. Une histoire qui commence comme celle-ci, on sait qu’elle ne peut pas bien finir et pourtant, on ne peut qu’espérer. Espérer un miracle, qu’un souvenir fasse surface, que les choses changent…

Mais la vie ne fonctionne pas comme ça malheureusement. Ce roman graphique fait vibrer et, autant vous le dire, il fait surtout vibrer la corde sensible. C’est vraiment rare qu’une histoire me tienne au bord des larmes et celle-ci m’a vraiment frappé en plein cœur. Déjà parce que j’aime énormément ma mamy ! Mais aussi parce qu’Alix Garin parvient, parfois avec quelques traits, à éveiller beaucoup d’émotions.



Bref, un très très gros coup de cœur que je vous conseille pour son émotion, ses nombreux thèmes (que ce soit la maladie, l’identité ou l’amour) et le dessin exceptionnellement parlant d’Alix Garin.

Je lis très rarement des bd car je n’en ai pas la culture. J’ai découvert la 4ème de couverture de cet album lors des prix Babelio & ça m’a attirée.

Merci Alix GARIN d’avoir mis en image ce road movie des temps modernes. Chacun pourra retrouver la chaleur des souvenirs que nos mamies nous ont laissées en héritage. Ça fait monter les larmes aux yeux et toucher du doigt la chance de les avoir vécus. 💕

Clemence n’en peut plus de voir sa grand-mère atteinte d’alzheimer enfermée dans une maison de retraite. Elle décide de lui rendre sa liberté et de prendre la route direction la maison d’enfance de sa grand-mère.

Venez découvrir ce roadtrip émouvant entre Clémence et sa grand-mère.

L’auteur nous montre dans cet ouvrage toutes les difficultés et parfois l’espoir que peut apporter cette maladie. C’est également un hymne à l’amour familiale et à l’acceptation de soi.

Avec Ne m’oublie pas, qui est son premier livre, la bédéaste Alix Garin met la barre très haut et offre un road trip plein d’émotions
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Parmi les nombreuses œuvres graphiques récentes le mettant en scène, deux d’entre elles offrent un regard parfois drôle, jamais moqueur, souvent touchant, sur la dépendance.
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Avec un dessin très léger et précis, Alix GARIN nous offre une histoire forte. Son histoire, leur histoire... une histoire émouvante et marrante. Même si "Ne m'oublie pas" est une fiction, il n'en reste pas moins que la grand-mère de Clémence a été malade...
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Alix Garin publie un premier roman graphique, « Ne m’oublie pas », tout en émotion et fragilité, où l’humain s’affiche sous son meilleur jour : faillible et joyeux.
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La première oeuvre de la jeune Alix Garin frappe par son scénario aussi sensible que construit, et son dessin tendre.
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S’inspirant de sa propre histoire avec sa grand-mère, Alix Garin raconte l’échappée belle d’une vieille dame atteinte d’Alzheimer en compagnie de sa petite-fille
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La grand-mère de Clémence souffre de la maladie d'Alzheimer. Face à son désespoir, elle prend la décision de l'enlever de la maison de retraite et de prendre la route en quête de l'hypothétique maison d'enfance de sa mamie. Une fuite, une quête, un égarement, l'occasion de se retrouver ? À moins que ce ne soit plutôt des adieux…
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Initiatique pour l’une, mémoriel pour l’autre, ce voyage est celui d’une vie. Il ne peut pas laisser le lecteur indifférent.
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Pour un coup d’essai, c’est déjà un coup de maître ! Ne m’oublie pas s’attache à conter un road-trip ayant comme sujet principal la maladie sans tomber dans le pathos, ce qui est souvent un exercice difficile à réussir.
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On reste sur l’humour, le trait délicat, simple, vivant de ce délicat hommage à ce que ne devrait pas être une fin de vie.
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