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Citations de Ann Brashares (613)


Parfois la seule solution est de laisser la realité vous surprendre
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Quel drame d'etre insupportable avec les autres pour finalement se retrouver tout seul à se detester plus que quiconque
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Quel malheur, que l’on ait tendance à être odieux quand on est triste, mal, qu’on a désespérément besoin d’être aimé. Quelle tragédie que tout le monde vous évite, vous fuie, juste au moment où vous auriez besoin d’être entouré
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Le silence creait des liens encore plus forts que des milliers et des milliers de mots
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Mais parce que tu sais par experience que lorsqu'on rit d'un bonheur intense, on s'expose en meme temps à une souffrance immense
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Les reves devenaient bien moins agreables quand ils n'avaient aucune chance de se realiser
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La reussite d'une soiree dependait de ce qu'on en attendait
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La voix du sang parle peut etre plus fort que les autres, mais rien ne vaut celle de l'amitié
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Brian ne craignait pas d’envisager l’avenir, sûr qu’elle en ferait partie. Il parlait de quand ils auraient trente ans aussi facilement de quand ils en auraient vingt. Il parlait bébé et se demandait si leur enfant hériterait du long doigt de pied du milieu de Tibby. Il rêvait de tout ça. Et il n’avait pas peur de le dire. Il aimait lui parler de ses rêves et il rêvait toujours en « nous ». […] Ça ne pouvait pas continuer à être aussi bien, de mieux en mieux, même, se disait Tibby. Impossible. C’était contre les lois de la physique. Sans rire, ces choses-là étaient régies par une sorte de loi. L’arithmétique du bonheur. La quantité de bonheur existant dans l’univers était constante et, pour en avoir davantage, il fallait bien le prendre quelque part. Et ils en consommaient plus que leur dû.
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Comme la mère de Carmen aimait à le rappeler, les adolescents et les bébés qui commencent à marcher ont beaucoup de points communs. Ils aiment quitter leur mère à la seule condition qu’elle ne bouge pas. Mais la mère de Carmen bougeait. Elle avait la bougeotte. Pour Carmen, « la maison » c’était une époque, plus un endroit. Elle ne pouvait plus y retourner. Du coup, pour elle, il devenait beaucoup plus difficile de partir et de se situer dans le monde. Durant les sept premiers mois de l’année universitaire, rien ne lui avait semblé familier, rien ne lui avait semblé réel. A part peut-être la nourriture. Elle avait l’impression d’être tombée dans une faille spatio-temporelle. Elle regardait la vie se dérouler, sans y prendre part. Elle se contentait d’attendre, en se demandant quand son existence à elle reprendrait.
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Mais ce soir, c'était différent. Nous nous retrouvions pleines d'histoires à raconter et d'émotions à partager. J'avais un peu peur, d'ailleurs, de livrer au regard de mes amies cette expérience qui n'appartient qu'à moi. Si je la leur racontais, elle serait alors figée dans le réel. Alors que ce que j'avais vécu, je ne le voyais qu'à travers mes yeux, les faits s'étaient mêlés à mes rêves, à mes désirs, à mes craintes. Mais qui sait où est la vérité? Dans les faits bruts tels qu'ils se sont déroulés ou dans la manière dont on les a ressentis?
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On retrouve toujours ce qu'on a perdu au dernier endroit où l'on cherche. Sinon, on serait encore en train de chercher.
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L'amour, c'est une moto-neige fonçant à travers la toundra qui fait soudain un tonneau et se retourne sur vous. Il fait nuit noire. Les belettes des neiges arrivent...
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Par principe, je n'en ai pas.
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Des fois, t'es le pare brise ;
des fois, le moucheron.
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Il existe de fugitifs moments de bonheur que l’on se doit de faire durer en prévision des mauvais jours.
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-Tu aimes tes souvenirs, mais c’est ton amie que tu dois aimer. Tu te souviens de ce qui est perdu, et tu oublies ce que tu as sous les yeux.
-Si j’oublie, qui se souviendra ? S’enquit-il avec une irrépressible mélancolie. Cela n’existera plus.
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Quelle piètre mémoire que celle qui ne puise que dans le passé.
(Lewis Carroll)
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A chaque passant, il sursautait violemment, s’attendant chaque fois à ce que ce soit elle. Au bout d’une heure, il avait bien fallu qu’il se calme. Au moins pour la bonne raison que son corps était en panne d’adrénaline.
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Sans mon nom, mon histoire ne serait rien qu’un long écheveau inextricable de souvenirs.
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