Anne Damour

Il est des auteurs que je prends toujours plaisir à retrouver. Parce que leurs livres m’ont marqué, ému, plu ou encore parce qu’ils ont accompagné une grande partie de mes pauses lecture, j’aime - à chaque fois - me plonger dans leur nouveau roman.



Les livres de Mary Higgins Clark font partie de cette seconde catégorie : ils ont accompagné - en partie - mes années lycée, période à laquelle je lisais principalement des romans policiers.

Et, c’est à la sortie de « Meurtre à Cape Cod » que j’ai eu envie de me plonger - à nouveau - dans l’univers de la reine du suspense.





« Meurtre à Cape Cod » est un recueil de dix nouvelles piochées tout au long de la carrière d’écrivain de MHC.

Je me suis replongée avec plaisir (et nostalgie) dans ces nouvelles déjà lues pour certaines et complétement inédites pour d’autres !



J’ai apprécié retrouver certains des personnages récurrents de l’auteure tout comme son écriture fluide, son rythme vif et ses scénarii bien ficelés avec juste ce qu’il faut de suspense bien distillé et le happy end incontournable.



J’ai passé un agréable moment de lecture avec ce recueil pour lequel les nouvelles se picorent selon les envies du lecteur et où les pages semblent se tourner toutes seules.

En somme, il est le livre idéal pour ces week-end d’hiver - entre deux romans de la rentrée littéraire - pour qui veut passer un bon moment de lecture, emmitouflé dans un plaid.




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A l’annonce du reconfinement, j’ai fait quelques achats de livres, juste au cas où je serais venue à bout de ma pile à lire. (Je lève les yeux au ciel en écrivant cette phrase, j’ai tout de même un peu honte, d’autant que j’ai continué à travailler… au milieu de livres.) Parmi ces quelques achats plutôt compulsifs il y avait De si belles fiançailles de Mary Higgins Clark et Alafair Burke. Une petite lecture doudou, on ne sait jamais.



Dans De si belles fiançailles, on retrouve Laurie Moran qui est la productrice de Suspicion, une émission de télévision qui revient sur des affaires criminelles classées afin d’y apporter un nouveau regard et qui sait, permettre de les résoudre. Là, elle est contactée pour enquêter sur la mort d’un médecin par les parents de la victime. Eux sont persuadés que c’est leur belle-fille qui a fait le coup. En parallèle, Laurie, qui cherche un appartement pour y aménager avec son fiancé, va se retrouver en danger, comme souvent lorsqu’elle se lance dans une nouvelle enquête.



De si belles fiançailles n’est pas le meilleur roman de Mary Higgins Clark et Alafair Burke – déjà que je trouve que les romans qu’elles ont écrits ensemble sont en-dessous de ce que pouvait faire seule Mary Higgins Clark -, mais enfin, ce n’est pas désagréable à lire. L’intrigue se tient et Laurie est sympathique. J’ai toujours la sensations que les personnages de ces romans sortent tout droit des années quatre-vingt-dix, mais c’est aussi ce qui me plaît en me plongeant dedans. Bref, ce n’est pas un titre inoubliable, mais il permet de passer le temps.
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🕵️‍♀️MARY À TOUT PRIX🕵️‍♂️

Mary Higgins Clark, disparue le 31 janvier dernier, tient une place essentielle dans notre bibliothèque. On peut même dire qu'après Agatha Christie, Éllery Queen et Boileau-Narcejac, elle a été l'une des premières maîtresses du thriller moderne. On l'a découverte comme beaucoup avec "La maison du guet" paru en 75 et "La nuit du renard" en 77, deux chef-d'œuvre du genre. On a dévoré ses romans, sortis avec régularité chez Albin Michel et dont on attendait chaque parution avec impatience. Et puis peu à peu, on peut bien vous l'avouer, on a délaissé son univers un peu trop féminin, un peu trop policé, pour des thrillers plus dark, plus tortueux, plus vicieux, moins prévisibles...



Alors c'est avec plaisir et nostalgie qu'on a retrouvé la reine du suspense made in USA dans un recueil de nouvelles. Certes elles sont inégales mais toutes révèlent une part de la personnalité de son auteure. La première par exemple, intitulée "Passager clandestin" et écrite en 1956 n'a que peu d'intérêt en terme d'intrigue policière mais recèle déjà tout ce qui fera son succès : une héroïne trentenaire, courageuse, amoureuse, seule face au méchant. Et puis l'histoire se passe dans un avion, clin d'œil à un des premiers métiers de Mary Higgins Clark qui fut hôtesse de l'air sur la Pan Am de 1959 à 1960.



Mais la nouvelle qu'on a préférée, c'est celle qui donne son nom au recueil et dans laquelle on retrouve ses personnages fétiches Willy et Alvirah, les apprentis détectives. Une nouvelle croustillante qui nous rappelle que l'auteur pouvait aussi avoir beaucoup d'humour...


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Omg quel calvaire cette lecture...

4 nouvelles qui mettent en scène un ancien président et sa jeunette de femme ^^ 2 meurtres, 2 enlèvements...

La première nouvelle était pas trop mal, la dernière aussi. Le reste se passera de commentaire 🤭

Je ne suis pas certaine de retenter un livre de cette auteure pour le moment, je trouve ses histoires tellement clichées.... désolée pour les fans !

Je tiens à remercier Audiolib pour l’envoi de ce roman. S’il y a bien une autrice sure dans les thriller c’est Mary Higgins Clark et j’avais hâte de découvrir celui-ci. Tout commence par un email mystérieux qui dénonce le harcèlement sexuel au sein d’une grosse entreprise audiovisuelle. Gina, une journaliste, commence son investigation et cherche à trouver qui est le coupable et qui sont les victimes pour pouvoir en apprendre plus pour l’histoire. Le soucis c’est que l’histoire dégénère puisque certaines victimes sont retrouvées mortes, souvent des accidents ou des suicides qui maquillent les meurtres. Cette journaliste sait ce qu’elle veut et elle n’hésitera pas par tous les moyens à trouver le fin mot de l’histoire et ici donc le coupable. Elle ira même jusqu’à tirer un trait sur l’homme de sa vie pour accomplir sa quête de vérité. Tout le roman, vous l’aurez compris, traite de la vague MeToo et sur toutes ces victimes qui se succèdent et les auteurs des harcèlements qui sont démasqués tant d’années après à cause de la peur ou bien des arrangements pour que les histoires se taisent. J’ai bien aimé l’héroïne de cette histoire et c’est une enquête assez passionnante avec une chute inattendue et intérressante.



En résumé, En Secret n’est pas mon Mary Higgins Clark préféré mais il n’en reste pas moins intérressant de par son sujet abordé. C’est une histoire plutôt prenante et bien menée qui saura trouver son lectorat !
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Mon premier roman de Mary Higgins Clark, et certainement pas mon dernier (tout comme pour Agatha Christie :)

C'est un recueil de 4 nouvelles qui se suivent dans le temps et aussi avec les personnages.

Des affaires criminelles en pleine période de Noël, et puis un couple important qui les résous ; perso j'adore ;)



C'est un roman qui peut paraître un peu lent, mais qui ne l'est pas du tout.

Ce roman est pas mal dans la description, donc plutôt la lenteur. Mais il y a aussi pas mal d'action et de rebondissements qui casse l'aspect lent du livre, et ça franchement j'adore et je valide
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Je retrouve toujours avec beaucoup de plaisir ces personnages que l'on suite depuis 4 ou 5 romans maintenant, cependant je dois dire que l'histoire est un peu tirée par les cheveux.

Toujours dans un monde de gens fortunés, plusieurs personnages paraissent coupables, et le dénouement se fait d'un coup un peu rapide, et très peu crédible. Quoi qu'il en soit, ça se lit vite, sans prise de tête et même si cette histoire a ses défauts j'ai quand même tourné les pages sans m'arrêter vers la fin pour en connaitre l'issue.

Un bon roman, comme toujours avec Mary Higgins Clark, notre regrettée reine du polar, qui restera toujours dans mes auteurs favoris.

Un roman bien écrit, riche en suspens et en rebondissements ; des chapitres courts et concis, un jeu de ping-pong continu entre la journaliste et la société REAL NEWS très agréable et prenant. Un roman que l'on accroche dès le début, qui captive et que l'on dévore.

Pourtant je ne mets que quatre étoiles. Pourquoi ? ...

Parce que le surnom donné à la source anonyme m'a dérangé, je le trouve déplacé et malsain étant donné le contexte de l'histoire. Et parce que la fin m'a laissée sur ma faim. Je l'ai trouvé trop brutale, trop net, trop rapide, peut-être un peu précipité donc déçue et frustrée.

Je garde donc un bon ressenti général de ce roman mais il ne fera pas parti de mes préférés de M.H.C.

Dans ce livre, quatre courtes enquêtes menées avec brio par un couple fort sympathique. Ce sont eux les personnages principaux, ils sont tellement attachants qu'on les suit avec plaisir dans ces petites enquêtes.

Un bon moment de lecture.





lu en 2013.

L'auteure surfe sur la mode Metoo pour concocter un polar sur le harcèlement. L'histoire se laisse lire sans vraiment beaucoup de suspense mais la manière dont l’héroïne mène l'enquête est intéressante.

La nuit des lucioles

Julia GLASS



Christopher (dit Kit) et sa femme Sandra élèvent leurs jumeaux de 9 ans dans une harmonie familiale un peu déséquilibrée car Kit est sans emploi.

C’est pourtant un enseignant très spécialisé mais qui n’a jamais rendu sa thèse.

Un jour sa femme lui demande de partir et de régler ses questions sur son passé.

Ce qui signifie de trouver qui est son père puisque cette question posée maintes fois à sa mère Daphné est toujours restée sans réponse.

Et pour une fois Kit va prendre les choses en main et se rentre chez son beau-père afin d’obtenir de l’aide dans ses recherches.

Nous faisons alors connaissance avec Jasper et un de ses fils.

Mais aussi les employés de Jasper.

Ce dernier va nous permettre de rencontrer Lucinda la « grand-mère secrète » de Kit et sa famille.

Et comme ça de fil en aiguille nous découvrons chaque personne qui gravite autour de Kit.

De moments joyeux en moments tristes...



Un roman qui ne m’a pas convaincue.

J’avais pourtant beaucoup aimé « Jours de juin ».

Les personnages principaux de « Jours de juin » deviennent des personnages secondaires dans « La nuit des lucioles » et j’ai eu du mal à raccrocher les wagons.

Et puis honnêtement ça manque de dialogues pour moi.

Mais surtout je n’ai pas ressenti d’émotions particulières et ça c’est toujours dommage pour moi.



Mention spéciale à l’illustrateur Gallmeister R.Ricardo pour cette magnifique couverture.

Pas un de ses meilleurs

je lisais tout de l'auteur... Avant puis je suis passée à autre chose. Alors pour sa dernière sortie pourquoi pas.

MHC a surfé sur la vague #metoo pour nous écrire ce nouveau roman. Un livre dénonçant le harcèlement d'une vedette télévisée enfin pas que... Quand une journaliste d'investigation reçoit un email d'une victime elle commence à creuser, à la rechercher malheureusement elle est décédée lors d'un accident.

Hasard ?

Pas vraiment lorsqu'une deuxième victime est retrouvée "suicidée".

La journaliste décide d'enquêter et de faire tomber le prédateur.

Un seul ?

La chaîne de télévision n'est pas prête à lyncher son présentateur vedette et le défend bec et ongles, à croire que la tête pensante de la chaîne a quelque chose à se reprocher

Tout le monde savait.

Tout le monde se tait.

Le monde des paillettes se serre les coudes, de peur de voir sa suprématie s'écrouler.

À la recherche de la vérité notre journaliste a mis les pieds dans un panier de crabe, où l'argent n'est que vices.



Une intrigue simple et efficace, bien maîtrisée, des chapitres courts qui nous font tourner les pages, le suspens est bien présent. Un livre qui se lit vite. Mais voilà je n'ai pas été transportée, une sensation de déjà vu. Les fans adhèreront.


Lien : https://evasionpolar.wordpre..

Ce n'est pas de la grande littérature mais ça reste un court thriller efficace. On se doute rapidement de l'identité du ravisseur et d'ailleurs, en tant que lecteur, nous l'apprenons avant les personnages et ça gâche -un peu- la chute finale.

Joyeux Noël, merry Christmas de Mary Higgins Clark est un court recueil de 4 nouvelles mettant en scène Sandra, "Sunday", et son époux Henry, ex-président des États-Unis. Dans chacune des nouvelles ils vont se retrouver, d'une façon ou d'une autre à enquêter sur une affaire en jouant aux apprentis détectives.



J'ai trouvé que l'auteure adoptait ici un style un peu différent de ce qu'elle a l'habitude d'écrire, sans doute un peu plus sur le ton des livres qu'elle écrit en collaboration avec Carol Higgins Clark et les livres mettant en scène le personnage d'Alvirah. En soi, cette ambiance plus "légère" n'a rien pour me déplaire, mais là j'ai trouvé que c'était trop poussé. À titre d'exemple, dans la première nouvelle, un ancien ami du couple est accusé de meurtre. Quand ils l'apprennent, ils s'affolent et décident immédiatement de partir le rencontrer pour le soutenir... mais attention : avant d'y aller, petite séance jacuzzi... Je pense que la notion de priorité est à revoir. J'ai quelque fois bien levé les yeux au ciel, je dois l'admettre.

Au-delà de ça, les nouvelles se laissent lire mais n'ont rien de transcendant. La dernière était la seule à capter un peu plus mon attention. C'était d'ailleurs la seule ayant un rapport avec Noël. La deuxième aurait également pu être plus intéressante. Sandra y est enlevée par un ravisseur qui a des exigences bien précises. Mais les réactions de Sandra lors de sa captivité, étaient si peu crédibles que je n'ai pas réussi à accrocher.



Encore un livre de Mary Higgins Clark qui n'aura pas franchement retenu mon attention.
Lien : http://chroniquesdunedevoreu..

Le suspens est rapidement éventé. La cas de Paul, l'enfant retrouvé, aurait pu être intéressant dans ses rapports avec ses anciens parents : au lieu de cela, l'auteur nous sert une explication à partir d'un traumatisme visuel qui se dénoue tout à coup par une image mémorisée. L'incendie final (quelle originalité !) est tout sauf crédible : matériellement le fils aurait dû mourir dans les flammes puisque la mère a été sauvée in extremis.

Un ensemble médiocre dont on peut faire l'économie.

Alvirah a tendance à se mêler de tout. Une nouvelle voisine s'installe et elle la reconnaît. Celle-ci a été accusée du meurtre de son beau-père et sort de 12 ans de prison. Alvirah décide de l'aider à prouver son innocence en montant un plan démoniaque mais non dénué de danger. Petit livre sympa qui se lit rapidement.

Un petit garçon de quatre ans a disparu, laissant orphelin une famille unie.

Onze années ont passées, le petit garçon devenu adolescent réapparaît suite au décès de la dame qui l'a enlevé. La famille orpheline est à nouveau réunie.



Toutefois l'ombre du mari de la ravisseuse plane toujours. Veut il toujours du mal à l'enfant? Pourquoi l'enfant est il si peureux? Si malade? Il y aurait il autre que chose que le traumatisme de l'enlèvement.



Roman policier digne d'un téléfilm. Comme d'habitude avec Patricia MacDonald, on connaît le coupable à l'avance, cela gâche un peu la lecture mais bon cela se lit vite et cela permet de passer un bon moment.

Oufff... Pas vraiment la meilleure lecture dans mon palmarès, mais pas la pire non plus.



Je n'ai pas été particulièrement ensorcelée par l'histoire, mais c'est une lecture simple et fluide. Les personnages sont intéressants et l'histoire est correcte.



J'ai deviné la fin avant la moitié du livre, même s'il y avait très peu d'indices nous y amenant, tout simplement parce que je ne voyais pas qui d'autre pouvait être responsable de tout cela...

J'ai découvert MHC lorsque j'étais lycéenne et j'ai toujours aimé ses intrigues. On devine en général assez rapidement le coupable mais ce sont des policiers qui se lisent bien.

Nous avons ici plusieurs histoires autour de l'ex-président des Etats Unis, Henry et sa femme Sunday.

On ne peut pas dire que ces histoires sont palpitantes et le suspens insoutenable, les intrigues sont courtes donc pas menées et exploitées comme pour un seul roman.

Néanmoins, la lecture reste divertissante et agréable.