AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Anne Rabinovitch (187)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Le Livre d'Hanna

Le livre d'Hanna est une oeuvre de fiction inspirée par la vraie histoire d'un manuscrit Hébreu connu sous le nom de Haggadah de Sarajevo.



La Haggadah de Sarajevo découverte en Bosnie en 1894, manuscrit orné de magnifiques enluminures.



Son histoire à travers les siècles.



L'histoire d'Hanna, aussi, jeune restauratrice passionnée de manuscrits anciens.

Hanna qui préservera l'art et un élément du patrimoine culturel mondial.



Au fil des pages se dénouent les secrets de ceux qui ont tenu cet ouvrage sacré entre leurs mains.



Des caractères très fins, tracés en caractères arabes révèleront l'artiste qui a peint d'un ton à peine plus foncé que le safran de sa robe les hachures minuscules qui font la particularité de cet ouvrage .

La femme au safran :

"Zahra bint Ibrahim al-Tarek, dite al-Mora à Séville"

al-Mora - ça veut dire la Mauresque.



Intrigue intéressante qui fait des allers retours à travers les siècles, une partie pour ma part qui m'a moins intéressé, mais dans l'ensemble j'ai apprécié.









Commenter  J’apprécie          315
Le Livre d'Hanna

C'est un beau voyage à travers le temps et des lieux que je connaissais mal. Instructif.
Commenter  J’apprécie          00
Le Livre d'Hanna

Hanna, jeune australienne spécialisée dans la restauration et l'expertise de livres anciens, se voit proposer un travail sur la Haggadah de Sarajevo, magnifique livre qui présente la particularité d’être illustré alors que les manuscrits religieux juifs ne l’étaient pratiquement jamais. De minuscules indices trouvés dans le livre, un fragment d’aile de papillon, une tache de vin, des cristaux de sel, sont autant de prétextes à imaginer l’histoire de ce livre qui a traversé des siècles et des pays pour arriver à Sarajevo et y survivre à la guerre.

Sous forme de longs chapitres qui alternent le présent avec Hanna et le passé avec différents épisodes où le livre entre en scène à Sarajevo en 1940, à Vienne en 1894, puis à Venise et à Tarragone entre autres, l’auteur retrace cinq siècles de persécutions religieuses et d’intolérance : Inquisition, nazis et nationalistes serbes sont ainsi la preuve que la guerre, en particulier pour des prétextes religieux, peut survenir n’importe où, même si parfois c’est inimaginable. Un personnage fait ainsi remarquer qu’à Sarajevo, où les communautés vivaient en bonne entente, où beaucoup d’habitants ne pratiquaient pas leur religion d’origine, où existaient beaucoup de couples mixtes, la guerre n’était pas pensable et pourtant…

L’histoire de ce livre est passionnante pour qui s’est parfois posé la question de savoir entre les mains de qui tel ou tel livre ancien est passé, et pour qui aime les livres tout simplement.

J’ai un peu du mal à parler du style car je l’ai lu en anglais, mais la construction est tout à fait fascinante, car elle remonte le temps en arrière en donnant la parole à différents protagonistes qui ont possédé et souvent protégé ce livre. J’aurais peut-être préféré que les choses soient un peu moins explicites parfois, et laissent un peu plus de place à l’imagination du lecteur. La partie contemporaine, avec Hanna, m’a un peu moins intéressée, mais elle permet une respiration dans la lecture et réserve des surprises au bout de quelques chapitres. Il est difficile de toute façon dans un tel livre de provoquer un intérêt constant chez le lecteur qui a affaire à de nouveaux personnages presque à chaque chapitre et donc s’attache plus ou moins à l’un ou à l’autre. J’ai eu pour ma part un petit faible pour le personnage du jeune illustrateur de cette merveille bibliophile qui existe d’ailleurs et est réellement conservée au Musée de Sarajevo.


Lien : http://lettres-expres.over-b..
Commenter  J’apprécie          40
Le Livre d'Hanna

Au départ, la lecture est très ardue, même inintéressante. Elle est très descriptive et axée sur les propriétés physiques et chimiques d'un livre, je n'accrochais pas du tout. J'avais 30 pages lues et je voulais juste en finir.



Les changements de narrateurs sont laborieux, parce que l'on ne suit jamais les mêmes personnages, sauf Hanna. Il faut donc, à chaque fois, se faire un portrait du personnage que l'on suit et de son lien avec le livre.



La petite idylle amoureuse d'Hanna est complètement stérile et superficielle. on n'y croit pas du tout.



Il y a quelques moments vraiment difficiles qui ont retenu mon attention. La lecture est devenue moins pénible au fur et à mesure que la fin approchait (ça explique mon 2 étoiles).



La finale est surprenante, mais le dénouement de la finale...juste NON

Je ne peux pas concevoir qu'Hanna ait accepté cette mission, je les aurais envoyé (désolé pour mon langage) ch***.
Lien : https://youtu.be/hDJo8Evdby0
Commenter  J’apprécie          10
Le Livre d'Hanna

De mon "premier" Geraldine Brooks, je retiendrai surtout le courage et le dévouement doublé d'acharnement de certains hommes et femmes qui un jour ont décidé de risquer leur vie pour protéger l'héritage de leur religion et leur histoire sacrée.



Le rythme est soutenu et le travail de recherche est époustouflant de justesse. La trame qui alterne les périodes et les personnages est tissée dans un décor vivant, toujours en mouvement.

Les descriptions d'anciennes techniques utilisées par les artisans, relieurs et conservateurs sont toujours passionnantes et attisent la soif d'apprendre, de comprendre.



Le taux d'humidité est parfaitement maîtrisé, la lumière et la température juste parfaites et Geraldine Brooks une conservatrice qui brode sur du vélin.





Commenter  J’apprécie          180
Le Livre d'Hanna

Un bon moment mais j'aurais aimer que l'intrigue soit plus développer et moi de description sur le conflit israelo-palestiniens.

Commenter  J’apprécie          10
Le Livre d'Hanna

C’est romanesque à souhait et je me suis suffisamment bien identifiée à l’héroïne dès le départ pour aimer la retrouver après les plongées dans le passé qui m’ont également envoûtée tant l’imagination de la romancière fait des merveilles en s’appuyant sur des recherches et des détails historiques, d’une grande précision

C’est ainsi que je me suis sentie menacée tour à tour par les nazis en 1940, la censure vénitienne et ses autodafés en 1609, la cruelle inquisition, à Taragonne, en 1492, au moment de l’expulsion des juifs espagnols pour revenir en Australie et à Sarajevo avec les problèmes de ce début de siècle.

C’est une sorte d’odyssée autour d’une œuvre d’art qui est avant tout un objet sacré et c’est très habilement mené. J'ai été embarquée dans cette histoire de la première à la dernière page avec un énorme plaisir et un grand intérêt pour les évocations historiques d’un grand réalisme.

C’est un de ces grands romans plein de souffle et de vues généreuses, comme je les aime. On y parle de tout avec beaucoup de rythme et une grande ampleur de vue. La lectrice en moi aime quand l’auteur sait lui tenir fermement la bride pour le mener où il veut, même très loin, au gré de sa fantaisie à lui, l’artiste.

C'est aussi un livre plein d'humanité, une leçon de tolérance et d'humilité par une romancière dont c'est le 3ème roman.


Lien : http://liratouva2.blogspot.c..
Commenter  J’apprécie          10
Le Livre d'Hanna

Ce livre est un hommage à tout ce que l'on ne saura jamais malgré la science, les recherches historiques et les analyses. Toutes ses vies simples et anonymes qui inscrivent leur empreinte pour participer à l'histoire et qui, malgré tout, resteront dans l'oubli.



Le livre d'Hanna nous rappelle que l'Histoire est simplement et avant tout faite de Vie.



Un beau cadeau !
Lien : http://les-mots-sillons.fr
Commenter  J’apprécie          10
Le Petit copain

Si le début m’a bien plu, la suite m’a assez déçu et notamment la fin. Déjà, je l’ai lu en anglais, ce qui aurait pu être une bonne idée si seulement je n’avais pas de plus en plus de mal à lire dans la langue de Shakespeare, ça m’est tombé dessus comme ça.

Le bouquin est un sacré pavé avec d’énormes longueurs, le style de l’auteur trop riche en détails et les chapitres trop longs m’ont fait passer pas mal de pages. C’est un peu le problème du livre, le milieu des chapitres ne sert pas à grand-chose et j’ai donc vite pris l’habitude de ne plus les lire pour me soulager d’un poids. Côté thriller psychologique il fait l’affaire, on a bien un tueur qui s’en prend à un enfant en bas âge et une histoire de vengeance mais venant d’une gamine de douze ans, l’enquête n’est pas très crédible à mes yeux. A aucun moment j’ai eu de l’empathie pour ce qui est arrivé à Robin, ni pour la jeune Harriet, ni pour aucun des personnages, ils sont fades et manquent de profondeur. L’histoire aurait pu être intéressante si seulement elle n’avait pas été mené par une enfant qui à lu quelques bouquins avec des détectives célèbres.



Je ne lui trouve aucun point positif, et même si je l’avais lu en français, je pense que j’aurais fait la même chose, j’aurais passé les longueurs sans une once de remord.

Commenter  J’apprécie          50
Le Petit copain

J'aime toujours autant l'écriture fine, saturées de petits détails, d'impressions, de sensations gustatives ou olfactives de Dona Tartt. Ce roman est tout à fait dans le ton du "Chardonneret" que j'ai lu juste avant d'entamer celui-ci.



Un livre qu'on referme tout doucement en ayant l'impression de quitter des personnages auxquels on s'est attachés. Un curieux sentiment de présence de ces personnages qui perdure même lorqu'on a tourné la toute dernière page...
Commenter  J’apprécie          110
Le Petit copain

Après le maître des illusions que j'ai tellement apprécié, quelle déception! La quatrième de couverture était pourtant alléchante et le début prometteur, mais je me suis rapidement ennuyée avec ce bavardage incessant qui ne mène à rien. C'est insipide, tiré par les cheveux, je ne le recommanderais pas!
Commenter  J’apprécie          10
Le Petit copain

Après la lecture de ce deuxième livre de Donna Tartt, on regrette que celle-ci n'écrive qu'un livre aux 10 ans. Ce sont tous de gros livres pleins de rebondissements et qui nous tiennent en haleine tout le long. Belle lecture quand on a le temps.
Commenter  J’apprécie          10
Le Petit copain

Abandonné à 290 pages.

Le roman commence plutôt bien mais s'enlise très vite. Pas d'action, pas de suspense abandon par ennui.

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Commenter  J’apprécie          10
Le Petit copain

Une écriture captivante !
Commenter  J’apprécie          00
Le Petit copain

Un grand merci a Michemuche qui m'a indiqué ce livre et m'a donné envie de le lire , et j'ai pris un grand plaisir avec cette histoire profonde , intelligente , forte , dans le sillon de Faulkner . Le propos est engagé ici , d'une pertinence rare . Ce n'est jamais misérabiliste , toujours d'un haut niveau littéraire , on ne peut plus lacher cette histoire une fois qu'on l'a commencer . Un vrai régal que je conseille à tous ! Merci Michemuche ! :-)
Commenter  J’apprécie          42
Le Petit copain

Voici un bon livre, vraiment bon, mais trop long, c'est juste cela mais c'est beaucoup parce que j'ai eu envie de sauter des pages. J'attendais beaucoup de cette lecture mais je ne peux que partager une certaine déception comme la plupart des lecteurs, alors que j'ai adoré « le chardonneret ».

Pas du tout un roman d'enquête donc, mais le portrait d'une pré ado Harriet 12 ans et la chronique d'une ville dans le Sud des Etats Unis où l'apartheid existe toujours, où certains Blancs pauvre se vengent sur les Noirs de leur propre médiocrité. Il y a 11 ans, Robin, le petit frère d'Harriet et Allison a été retrouvé pendu à un arbre dans la cour. Meurtre jamais résolu qui a fait entrer la mère Charlotte en dépression, le père s'est enfuit dans une autre ville et fait des apparitions à Noel. C'est Ida une domestique de couleur qui va élever les deux petites filles. Il y aussi les incroyables tantes, Edi, Tat, Adélaide et Libby, mais rien ne filtre sur ce qui a pu arriver à Robin et Harriet qui s'ennuie ferme et voue un culte à ce petit frère disparu, va se mettre en tête que le coupable est Danny Ratliff. Avec l'aide de Hely, petit copain fasciné par l'imprévisibilité et la force de caractère d'Harriet, ils vont tenter de faire leur propre justice. Mais le monde adulte est très complexe et celui de la famille Ratliff constitué de bons à rien, encore plus. Tableau fouillé de ces familles de conditions différentes qui se croisent sans se connaître, vies parallèles si opposées. Il y a des scènes mémorables notamment le lancé... de cobra. Encore une fois, les personnages sont attachants, très riches psychologiquement, notamment Harriet bien sûr, mais aussi Hely, Edie, Allison, Libby, Ida etc…Donc un roman qu'il faut déguster. A prendre et reprendre peut-être, pour en goûter toutes les saveurs.

Commenter  J’apprécie          20
Le Petit copain

Cette femme écrivain est un phénomène. Elle est, à mes yeux, l’une des plus brillantes romancières de la littérature contemporaine. Dix ans séparent chacun de ses trois livres, trois sommes dépassant les 800 pages, trois pavés aussi passionnants que brillants.



Le Petit Copain est le second de ses trois romans (après le Maître des illusions et avant le Chardonneret). Il est peut-être aussi, avouons-le, le moins addictif des trois. mais si sa lecture s’est avérée moins vibrante que celle de ses deux autres opus, il reste un livre-monde passionnant, une plongée suffocante et fascinante dans le grand sud américain et un magnifique livre d’adieu à l’enfance.



Le Petit Copain, c’est un peu comme si Lewis Carrol et son bestiaire onirique s'acoquinaient avec l’âpre réalisme de William Faulkner. Le grand écart entre ces deux pôles paraît impossible et pourtant, que cela fonctionne bien ici!



Harriet, 12 ans, vit dans le grand sud américain, entourée d’un voile de souffrance rentré depuis l’assassinat inexpliqué de son grand frère, retrouvé pendu à un arbre, alors qu’elle n’était qu’un bébé. Sa mère n’est plus depuis que l’ombre d’elle même, son père a quitté le domicile familial, sa soeur est une énigme qui garde pour elle bien des secrets et notamment les souvenirs de ce jour atroce où leur frère a été assassiné. Harriet est une tête de mule, fonceuse, rêveuse avec un caractère bien trempé. Durant l’été, alors que le sud profond est accablé par une chaleur et une moiteur étouffantes, elle décide de résoudre l’énigme de la mort de son frère. Son enquête la conduira à se confronter à quelques monstres qui la changeront à jamais.



Attention, ce livre est une fausse enquête policière, un faux ‘’club des cinq’’, si je puis dire, car l’auteur se moque comme d’une guigne de résoudre le mystère de l’assassinat du frère. Ne chercher pas le polar, il n’y en a pas. Ce qui intéresse Donna Tartt, c’est la peinture du petit monde clos que constitue la bourgade sur les bords du Mississippi où se situe son intrigue, avec sa profusion de moiteur, de serpents, de prédicateurs fous, de rapports de classes (et de couleurs) entre les employés blancs et leurs rejetons et les nounous/femmes de ménage noires qui les servent… C’est aussi une hallucinante plongée dans l’esprit de détraqués de l’Amérique ‘’White Trash’’ et un terrible récit initiatique qui amènent à la perte de l’innocence. Le livre ne cesse de jouer à la frontière en réalisme cru et onirisme cauchemardesque avec un admirable brio. Le monde qui entoure Harriet est un monde rugueux, violent, désespéré, peuplé de monstres et d’atrocités et même une dure à cuir comme notre héroïne va, en s’y frottant, y perdre beaucoup de plumes...



Le récit est servi par un style superbe, fouillé et exigeant. La profusion de détails et de personnages est parfois un peu déstabilisante et rend l’avancée du récit assez lente, mais qu’importe quand cela est fait avec autant de talent! La fin du livre, sans rien en dire, réserve quelques moments d’anthologie qui restent longtemps dans la tête. Bref, chapeau bas!



Le Chardonneret, son troisième roman (et grand chef d’oeuvre!) est sorti en 2014. Plus que sept ans avant de retrouver cette - décidément - très grande dame des lettres !








Lien : http://coincescheznous.unblo..
Commenter  J’apprécie          60
Le Petit copain

Ce livre est une déception. J'avais adoré le chardonneret le maitre des illusions mais là j'ai du "lâcher l'affaire" à la page 189. Je me suis perdu dans cette lecture. Pas passionné par l'histoire. Le livre est bien écrit mais le récit se perd dans des disgressions. C'est dommage car je retrouvais dans le personnage d'Harriet celui de SCOUT dans "ne tirez pas sur l'oiseau moqueur". La lecture est un plaisir lorsqu'elle devient un pensum je passe à autre chose.
Commenter  J’apprécie          10
Le Petit copain

Excellent, un régal
Commenter  J’apprécie          40
Le Petit copain

J'avais bien aimé le Chardonneret mais lui avais reproché la longueur du texte ; à mon goût, il aurait fallu supprimer deux cents pages. J'ai lu que certains babélionautes avaient abandonné la lecture du « Petit copain » et je le comprends, j'ai failli en faire autant. Je me suis souvent demandé où Donna Tartt voulait en venir. L'histoire est très lente à se mettre en place.

Une étrange famille que celle d' Harriet : un frère mort de façon inexpliquée lorsque celle-ci n'était encore qu'un nourrisson, une mère et une soeur dévastées par cette perte, un père qui a fui, des grand-tantes toutes célibataires ou veuves assez farfelues. Seule Harriet semble « normale », si tant est que cela signifie quelque chose, mais en revanche elle a une obsession : trouver et punir l'assassin de son frère. Elle a l'intuition que c'est l'un des frères Ratliff bien qu'elle n'en ait aucune preuve, que rien ne vienne étayer la conviction de cette fillette de 12 ans.

Qui sont donc les Ratliff ? Donna Tartt a écrit des pages entières sur les relations au sein de cette famille composée de jeunes adultes instables, passés par la case prison, d'un jeune garçon mentalement handicapé, d'une grand-mère qui sert de ciment à cette famille de « rednecks », comme on appelle aux USA des pauvres blancs de la campagne des états du Sud et que nous, Européens, appellerions des « ploucs ».

J'ai eu du mal à trouver un lien entre ces frères qui se querellent en permanence voire sont prêts à s'entretuer et le décès non expliqué de Robin, le frère aîné d'Harriet.

Il m'a fallu lire 4 à 450 pages pour accrocher à ce roman de 846 pages, à savoir au moment où les deux héros, deux enfants, Harriet et son copain Hely, entrent vraiment en action. Ils n'ont pas été sans évoquer pour moi Huckleberry Finn et Tom Sawyer. Alors, les évènements se sont enchaînés, suivis par des pages entières sur le chagrin de la jeune Harriet suite au décès de sa grand-tante Libby. En fait, c'est ce que Donna Tartt sait bien décrire (on l'avait vu dans le Chardonneret ) : la solitude et la peine d'un enfant qui a presque tout perdu, notamment un parent. Ce sont pour moi ses plus belles pages, à se demander s'il n'y a pas un caractère autobiographique à ces sentiments.

Les babélionautes ont attribué de 1 à 5 étoiles à ce roman, je me situe au milieu. Des qualités mais trop de longueurs, pour faire bref !

Commenter  J’apprécie          70




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Anne Rabinovitch (1971)Voir plus

Quiz Voir plus

ADJECTIFS peu communs

infantil(e) : adjectif qui se rapporte à ....

l'enfant
l'infanterie

20 questions
143 lecteurs ont répondu
Thèmes : jeux , vocabulaire , mots , signification , expressions françaises , culture générale , expressionsCréer un quiz sur cet auteur

{* *}