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Citations de Antonin Varenne (274)


Les paysans savent à quelle vitesse leur trace s’efface. La terre est un outil de travail qui donne tant qu’on a la force de le faire. Il reconnaissait que les dégâts mécaniques risquaient de pourrir la vie, mais la nature (...) n’avait pas besoin qu’on la défende. Elle nous boufferait tout cru si on lui tournait le dos quelque temps.
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C’est l’intérêt, le besoin et parfois le manque qui décident de vos choix. L’homme parfait, pour une junkie, c’est un dealer. Avoir ce dont on a besoin, ne jamais manquer. Les amis, les connaissances, tous ont à voir avec ce qu’on veut obtenir.
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Sur ses épaules, malgré ses fringues de chasseur anglais et ses grands airs, la courbure du paysan.
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Les plus belles alliances sont des promesses de guerre.
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- Vous ne savez même pas si vous cherchez une mort ou une vie honorable, monsieur Bowman. Il faudra bien que vous finissiez par choisir mais tant que vous ne l'aurez pas fait, vous n'aurez pas votre place ici, ni nulle part sur cette terre.
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La nature n’est pas un point de vue à envisager selon différentes perspectives, c’est un bien commun et ce qui se passe chez un privé affecte tout autant ceux qui vivent autour et qui n’ont rien demandé.
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C’est l’intérêt, le besoin et parfois le manque qui décident de vos choix, L’homme parfait, pour une junkie, c’est un dealer. Avoir ce dont on a besoin, ne jamais manquer. Les amis, les connaissances, tous ont à voir avec ce qu’on veut obtenir.
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On est comme les chiens avant les tremblements de terre, les premiers à partir avant que personne ait rien senti encore.
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Le sel, qu’il a dit, c’est pour que la vie ait toujours du goût, et le pain pour que tu manques jamais de rien.
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Quand on revient d’un enterrement, on n’a pas tellement envie de parler.
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La nature, c’était une idée différente pour un fils de paysan comme lui. Les paysans savent à quelle vitesse leur trace s’efface. La terre est un outil de travail qui donne tant qu’on a la force de le faire. Il reconnaissait que les dégâts mécaniques risquaient de pourrir la vie, mais la nature, avait toujours pensé Rémi, n’avait pas besoin qu’on la défende. Elle nous boufferait tout cru si on lui tournait le dos quelque temps
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L’alcool, ça amortit les coups, mais le lendemain ça fait quand même mal. Et puis c’était pas un truc de pochtrons, c’était de la rage.
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Ce n’est pas parce qu’il y a du boulot qu’il n’y a plus d’adolescence. Et s’il n’y avait pas grand-chose d’autre comme injustice que l’ordre établi, ça suffisait bien à mettre quelques têtes brûlées en colère.
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- Dors. La fatigue est le monde des esprits trompeurs.
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Fin juin, la température avait continué à grimper et la Tamise s'était épaissie au point de devenir une lente coulée de lave putride. Les déchets des usines, déversées dans les mêmes égouts ou directement des berges, s’accumulaient en nappes noires et grasses. Les rejets des abattoirs flottaient à la surface du fleuve solidifié. Des carcasses de vaches et de moutons, engluées dans la boue, passaient lentement devant le nouveau Parlement de Westminster.
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Les sous-officiers, sur un vaisseau de guerre à la veille d'une attaque, n'avaient pas plus le droit qu'un simple soldat de voir les cartes militaires. Jeter un œil dessus, même par inadvertance, pouvait mener au bout d'une corde ou dans la mer avec les requins.
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Aujourd'hui, il avait besoin de les voir en face, ces flics qui l'avaient choisi comme bouc émissaire de leur maladie: l'illusion, crétine ou hypocrite, de vivre dans la merde sans en prendre l'odeur.
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Avant même de discerner les tatouages sur le crâne rasé, le visage couvert de lignes tribales et percé d'anneaux, John avait reconnu Alan, aussi déplacé dans ce décor naturel qu'un ukulélé sur la banquise. A mesure qu'il s'était approché il l'avait entendu adresser des insultes aux arbres, aux chemins de terre qui dégueulassaient les chaussures et aux connards qui vivaient dans la forêt. Alan Mustgrave avait balancé un coup de pied dans une bassine, où trempaient les slips et les chaussettes de John.
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Il avait plu cette nuit et jusque tôt ce matin. Une pluie lourde annonçant le printemps. La tache rose avait grandi, améthyste vivante, pouls minéral des victimes décédées dont on étendait dans les combles les vêtements ensanglantés. Des pièces de dossiers qui dégageaient en été une odeur insupportable.
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Roman, Savane, et Berlion. Aux Homicides, faire du bon boulot n'excluait pas la possibilité d'être débile. Ils en étaient la preuve par trois.
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