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Citations de Aurelia Jane Lee (49)


Ce n'est qu'une petite écorchure. Pas la première, pas la plus profonde.
Saigner, aussi peu, c'est être vivant. Plus, ce serait mourir.
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Il était exactement comme une corde de guitare : comme une chose infime qui, à sa juste position, bien accordée, participait d'une harmonie qui la dépassait et pouvait produire de la musique.
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L'amour impliquait le dialogue, la recherche d'un accord ; il devait être sans cesse réajusté et nourri par des expériences communes, ou personnelles mais partagées. L'amour était lui-même exigeant, difficile, mais gratifiant. Il était en fait très semblable à l'art, si ce n'était que la matière travaillée, en amour, était humaine, vivante, vulnérable, douée de conscience, et qu'il y avait entre elle et vous un attachement réciproque dont il fallait tenir compte. C'était l'art le plus difficile, en somme, et le plus beau. La jouissance et les déceptions, le doute et la joie : tout y était plus fort.
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De sa longue vie, Don Isaac Perez Munoz avait retenu une chose : il existe peu de véritables problèmes, et les solutions sont le plus souvent intérieures, et non immédiates, car se changer soi-même prend du temps.
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Pouvait-on vivre sans se poser de questions ? D'où venait-on, que faisait-on sur Terre, quels choix fallait-il faire, comment aimer, ne pas souffrir ? Et pourtant, songea Juan, la religion semblait pour certains être justement la disposition inverse : il y avait des gens qui ne se posaient pas de questions, qui semblaient croire qu'ils avaient trouvé en Dieu la réponse définitive à tout et vivaient leur foi non comme un questionnement fécond, mais comme une certitude stérile.
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Le premier consistait à voyager, à aller à la rencontre des autres, à suivre leurs enseignements, à lire et à être sans cesse curieux. Le second consistait à s'isoler, à plonger en soi-même, au coeur de ses émotions, à écrire - ou peindre, ou crier, ou danser, marcher, s'asseoir, ne rien faire d'autre parfois que respirer, écouter et fermer les yeux.
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Il se rendait compte à présent que l'univers était vaste et qu'il y avait deux moyens de l'explorer.
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Certes c'était peut-être bien ça l'amour : prendre et accepter ce qui naissait de soi. Aimer et peindre étaient définitivement liés.
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Si être mère pouvait causer bien des douleurs, il n'avait jusqu'alors pas vraiment envisagé que ne pas être mère pouvait être douloureux également.
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Toucher et regarder sont deux façons très différentes d'appréhender les choses, même si, le plus couramment, ces deux perceptions sont liées et influent l'une sur l'autre.
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Maintenant, c'étaient les chevaux qui lui enseignaient la patience, la douceur, l'écoute et la confiance.
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Le bonheur n'était-il pas qu'une tournure d'esprit, que l'on pouvait finalement adopter quoi
qu'il arrive ?
Etait-il possible de devenir un être humain bon, sain, sans impact négatif sur l'existence des autres ?
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Les femmes n'avaient pas l'air aussi tourmentées par leur organe génital.
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Les gens têtus sont les plus difficiles à aider, quelle que soit l'amitié qu'on éprouve pour eux.
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Se pouvait-il qu'un simple geste, une heure dans une vie, une décision prise un peu trop vite, pût ainsi mener toute une existence dans une impasse ? Et faire souffrir tant de personnes ?
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Il était bien placé pour savoir que si l'on a trahi ou abandonné quelqu'un, cela ne se rachète en aucune façon. Cela dure forcément toute une vie, quoi que l'on fasse.
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Il était de ces hommes que les femmes excusent d'avance et dont elles rêvent d'être le parfait complément.
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Il était persuadé que c'était en attendant le moins qu'on recevait le plus.
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C'était comme ça dans le monde. Quand venait l'été, ce n'était plus le printemps, même s'il en restait le souvenir, même si l'un avait amené l'autre, même s'il y avait des ressemblances entre les deux.
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Un peintre pouvait exposer ses toiles, mais les toiles exposaient aussi le peintre.
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