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4/5 (sur 3 notes)

Nationalité : Canada
Biographie :

Bethany-Kris est une auteure de romance canadienne, maman de quatre jeunes enfants, un chat et trois chiens. Elle se sent chez elle dans la petite ville de l'Est du Canada où elle est née. Malgré ses 4 enfants qui la suivent partout, son chat qui adore se lover dans les bras, ses chiens qui ne cessent d'aboyer, et son mari qui la sollicite beaucoup, elle est presque toujours en train d'écrire. Enfin, quand elle en trouve le temps!

Elle a notamment écrit Duty et Vow, les deux tomes d'une romance sur la mafia qui a été lue par plus de 150 000 lecteurs outre-Atlantique.

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Bibliographie de Bethany Kris   (3)Voir plus

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Citations et extraits (78) Voir plus Ajouter une citation
Elle l’attrapa assez fermement, au point de pouvoir le faire jouir si elle continuait, mais elle avait autre chose en tête. Il réduisit la distance qui les séparait, et écrasa sa bouche sur la sienne. Il n’en pouvait plus de la façon dont cette femme l’embrassait, complètement sauvage et sans honte. Comme si elle n’en avait jamais assez et qu’elle avait besoin de lui autant que de respirer, comme si elle essayait d’aspirer l’air dans ses poumons juste pour respirer. Entre ses cuisses, sous sa culotte en dentelle, il trouva sa chatte chaude et humide. Elle haleta quand ses doigts passèrent le long de sa fente, puis elle lâcha le gémissement le plus sexy qui soit quand il laissa deux de ses doigts se glisser sous la dentelle pour trouver son sexe. Humide. Doux. Chaud. Serré . Ses hanches se penchèrent vers l’avant pour renforcer l’action de sa main à la seconde où il enfonça ses doigts, les parois se serrèrent autour de lui, et un frisson traversa son corps.
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Les queues étaient des queues.
Elles n’étaient pas particulièrement belles, ou quoi que ce soit de ce genre. Elles étaient utiles et faisaient bien leur travail. Et pourtant, elle aimait celle d’Andino, chaque centimètre de cette chair douce, veloutée et mouillée tout au bout. Elle sentait son cœur palpiter, et sa queue tressauta dans ses mains quand elle la caressa plus fort.
— Merde, siffla-t-il, laisse-moi…
Il reprit les choses en main pour enfiler le préservatif. Puis, il l’attira sur ses genoux. L’une de ses mains ouvrit sa chemise, sans se soucier du fait qu’elle avait fait sauter trois boutons, et ils roulèrent sur le sol. Elle voulait juste le toucher, avoir ses mains sur sa poitrine, et sa bouche sur la sienne pendant qu’il la remplissait.
Et c’est exactement ce qu’il se passa.
Peau contre peau.
Sa langue contre la sienne.
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Elle laisserait ses foutus souvenirs et toute sa douleur à New York. Elle se porterait bien mieux loin de ses oreillers trempés de larmes et de ses nuits agitées. Peut-être que si elle mettait un peu plus de distance entre elle et New York, son cœur et ses souvenirs se détacheraient de toutes ces choses qui n’étaient pas censées arriver.
Peut-être qu’elle pourrait l’oublier, lui.
Andino Marcello.
Elle soupira et se débarrassa de ce sentiment pesant. Plus elle restait plantée là à contempler ses cartons, plus elle dépérissait. Elle ne pouvait pas se le permettre, du moins pas pour l’instant.
Elle était toujours responsable.
Toujours raisonnable.
C’était pour le mieux.
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Cette première fois lui fit l’effet d’une injection d’héroïne en intraveineuse, et tout ce qu’il avait fait, c’était de lécher sa fente jusqu’à son clitoris. Elle était douce contre la rugosité de sa langue, et sa saveur inondait sa bouche comme rien d’autre ne l’avait encore jamais fait.
Mais ce n’était pas juste son goût.
Non, c’était elle aussi. Sa façon de gémir en haletant. Ses frissons. Sa main qui lui agrippait les cheveux et le tirait pour lui signifier qu’elle en voulait plus. La façon dont elle enroulait les cuisses autour de sa tête, son cœur qu’il sentait pulser contre ses doigts, là où il lui enserrait la gorge. Bon sang, tout en elle était addictif.
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Mais à la guerre, il y a toujours un perdant. Et cette perte ne signifie pas nécessairement que quelqu’un se retrouve au sommet ou au bas de l’échelle. Cela signifie que chaque partie perdra quelque chose et quelqu’un parce que c’est inévitable.
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Il avait fait son choix. Il avait fait ce qu’on lui avait demandé parce que justement il n’avait pas le choix, et c’était ce qui devait arriver. Et vraiment, la maintenir loin de son existence… loin du merdier qu’était devenue sa putain de vie, c’était la meilleure solution. C’était mieux pour elle.
Même si ça craignait pour lui.
C’est ce qui comptait.
Ça ne signifiait pas qu’il l’avait oubliée. Parce qu’elle occupait toujours ses pensées. Tous les jours, et tous les soirs avant qu’il se couche pour dormir... Haven était la première et la dernière chose à laquelle il pensait, même s’il s’efforçait de ne pas penser à elle.
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L’avenir que je voulais ne m’est plus accessible. On m’a assigné un chemin différent. Donc, peut-être qu’avec toi, j’ai pu oublier les responsabilités liées à mon nom et laisser de côté tous les changements qui se produisaient dans ma vie. Ce qui comptait, c’était juste toi et moi, et ce truc entre nous. Tu n’étais au courant de rien. — Et tu aimais ça. — Tu peux le dire, ouais. — Tu aimais que je sois naïve… — Tu n’as rien de naïf, Haven. — Je l’ai été avec toi. Il secoua la tête. — Tu savais qu’il y avait quelque chose, quoi que tu en dises. Tu savais, mais tu as choisi de fermer les yeux ou de trouver des excuses.
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Ce fut le paradis quand il glissa à l’intérieur d’elle. Il la remplit et l’étira pour l’ouvrir. Elle était si mouillée que sa queue émit un son délicieux quand il s’agrippa à ses hanches, et commença à la baiser sauvagement.
Avec un rythme rapide.
Dur et brutal.
Chaque poussée de son corps contre le sien faisait frotter son clitoris contre ses muscles durs. Des frictions qui la rendirent folle. Comme la façon dont ses doigts creusaient dans son cul et la piquaient. C’était une douleur agréable. Ses nerfs fondaient comme si quelqu’un avait versé de l’or liquide sur sa colonne vertébrale.
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Elle n’avait pas besoin d’énoncer son nom à voix haute. Ça lui pesait d’autant plus parce qu’il y avait tellement d’aspects qu’Haven aimait et adorait chez cet homme. Mais d’un autre côté, certains de ses agissements lui donnaient l’impression d’être reléguée au second plan et d’être indésirable.
Elle avait travaillé trop dur et elle s’aimait trop pour accepter d’être la cinquième roue du carrosse de qui que ce soit. En même temps, une partie d’elle voulait lui donner une chance, lui donner l’opportunité d’arranger la situation.
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À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire.
Haven Murphy avait lu la citation sur le mur du bureau d’un conseiller d’orientation quand elle avait multiplié les inscriptions à l’université, et ces mots étaient restés gravés en elle.
C’était il y a huit ans, elle n’avait alors que dix-huit ans. Aujourd’hui, à vingt-six ans, elle comprenait la signification de cette citation, mais peu de choses avaient changé pour elle depuis. Elle avait pris les mots à cœur ce jour-là, et tous les jours qui avaient suivi.
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