Bruno Maïorana

BD très agréable à lire, par le scénario qui revisite les contes de fées: ogre gentil, princesse désobéissante, prince crapaud voulant redevenir crapaud, princes stupides ou arrogants... jusqu'aux seconds rôles qui sont soignés aussi, à la shreck, comme cette

dame de compagnie alcoolique et sans illusions...c'est drôle, animaux et êtres humains interagissent et ils ont à apprendre l'un de l'autre...le dessin est bien fait aussi, la première page fait penser à des cadrages de cinéma.

Que ce deuxième tome est brouillon ! Autant j’avais eu un véritable coup de cœur pour le tome 1 de cette trilogie vampirique et historique, autant ce 2nd tome m’a fait l’effet d’une douche froide. Je ne reviendrais pas sur les dessins absolument superbes du 1er tome, ni sur le caractère des personnages, si bien exprimés par leurs traits expressifs et de savoureux dialogues. Dans ce tome 2, tout est fouilli. J’ai eu du mal à m’y retrouver entre les différents protagonistes, tant ils changent vite d’une page à l’autre. Alors certes l’histoire avance bien, peut-être même un peu vite, cependant cela se fait au détriment du développement des personnages et surtout des relations qu’ils nouent entre eux. Pour moi il y a un vrai problème de rythme dans ce tome-ci et je vais rapidement lire le tome 3 afin de ne pas rester sur cette note mitigée.

Une bande-dessinée très décevante dans laquelle je me suis rapidement perdue dans le fil de l’histoire du fait des nombreux angles de vue donnant l’impression de ne pas avancer dans le scénario, et des personnages insipides n’offrant pas de quoi s’accrocher.


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J’ai profité de l’édition d’un coffret reprenant les trois tomes de cette saga dont le titre, beaucoup trop court, est introuvable via la plupart des moteurs de recherche, pour m’attaquer à cette revisite du mythe de Dracula par les auteurs de l’excellent « Garulfo ».



Ce premier tome plonge le lecteur au sein de la haute société victorienne et invite principalement à y suivre les pas de Richard Drake, un aventurier haut en couleurs qui se mêle à la bourgeoisie afin d’y conter ses exploits et afin d’y trouver des mécènes acceptant de financer ses prochaines expéditions. C’est lors d’une de ces réceptions huppées, qu’il tombe sous le charme de Catherine Lacombe, mais le chasseur doit malheureusement laisser filer sa proie à un mystérieux dandy aux longs cheveux… qui s’avère également être un dangereux prédateur !



Les dialogues proposés par le scénariste de « De cape et de crocs » sont une nouvelle fois savoureux et contribuent à installer une ambiance british très distinguée, mais non dénuée d’humour. L’auteur a également la bonne idée de laisser les vampires en arrière-plan, conservant ainsi une grande part de mystères autour de ces créatures connues de tous et laissant la place à d’autres personnages particulièrement attachants. Du banquier s’improvisant chasseur de vampires à la charmante Catherine, Ayroles propose en effet une galerie de personnages particulièrement réussie.



Visuellement, Bruno Maïorana délaisse les animaux cartoonesques et l’ambiance féérique de « Garulfo » pour s’attaquer à un tout autre registre. Que ce soit au niveau des personnages, qu’il met en scène avec beaucoup de brio, ou au niveau de l’atmosphère victorienne, dont il restitue les décors avec minutie, il livre un travail irréprochable.
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Pour donner briévement mon avis, j'ai préféré ce troisième tome au deuxième, car on y retrouver des révélations sur les personnages. Malgré tout j'aurais voulu une saga plus longue pour en apprendre davantage sur les personnages et l'univers.

Malgré tout j'ai apprécié cette découverte et si vous chercher une saga qui ne s'éternise pas de trop et sans trop de détails celle-ci vous conviendra tout à fait !
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Une lecture en demie-teinte pour moi et malheureusement très mitigée. Je trouve que l'histoire va trop vite, peut-être est-ce dû qu'aux (seulement) 3 tomes que contient cette saga. Mais je pense que les auteurs auraient très bien pu faire un 4e voir un 5e tome pour cette saga.

J'ai été totalement largué, trop de personnages et une rapidité immense. J'étais sceptique quand je me suis aperçue que la saga ne contenait que trois tomes et je pense avoir eu raison.



Sinon les planches sont toujours aussi belles !


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La boucle est bouclée, c'est le cas de le dire. Une série en 3 tomes qui vaut vraiment le coup.

Les auteurs de Garulfo ont [...] parfaitement menés leur récit [...]. Côté dessins, Maïorana continue son sans faute. À commencer par la couverture, envoutante, attirante, qui nous incite à prendre l’album en mains, à le feuilleter, à l’acheter.
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D pourrait en fait se résumer par la couverture de ce troisième et dernier tome : d’un style unique, qui n’hésite pas à se faire radicale et qui met au cœur de l’intrigue l’identité du mystérieux D.
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La délicate plume d'Ayroles et le dessin élégant de Maïorana s'unissent pour nous livrer une fable humoristique délivrant une morale frappante de vérité !

Les auteurs revisitent avec brio le mythe de Dracula. Ils se le réapproprient pour nous en livrer une version étonnante. Le scénario est d’une finesse littéraire comme seul Alain Ayroles en est capable. Avec un humour irrésistible, il s'attaque aux mœurs de la société victorienne. Quant au dessin, il est à la fois élégant, sombre et envoûtant. Les traits sont comme aiguisés et accentuent la sensation de peur, l'atmosphère de danger. Une belle réussite !

Nous retrouvons Richard Drake dans la traque de Lord Faureston. Cathrine Lacombe voit sa santé physique et mentale se décliner mais Richard et sa famille veillent sur elle... Mais qui est Lady d'Angerès ? Pourquoi s'intéresse-t-elle à Richard et à Catherine ?



J'i un peu mieux apprécié ce second tome même si je n'arrive pas à apprécier le style graphique. Je pense que ce qui m'a fait le lus apprécier ce tome est la touche de mystère que suscite Lady d'Angerès et les quelques réponses que le lecteur obtient sur le passé de Richard..... Je ne suis pas sûre de lire la suite.

Richard Drake est un explorateur qui vient de rentrer d'Afrique. Il tombe amoureux de Catherine Lacombe lors d'une réception mais il s'aperçoit qu'elle n'est pas insensible à la présence de Lord Faureston qui devient son rival amoureux .... mais ce n'est qu'avec l'intervention de mister Jones, un employé de banque que Richard se rend compte de la dangerosité de Lord Faureston .... mais qui est-il ?



Je n'ai pas particulièrement aimé le graphique de cette BD, ni accroché avec l'histoire ... peut-être parcequ'elle représente une sorte de reprise de l'histoire de Dracula ... La seule chose qui m'ai intéressé a été la découverte du passé de Richard, ou du moins la curiosité que ce passé m'a inspiré...

Il était une fois dans le royaume de Brandelune, au bord d’une mare, une grenouille prénommée Garulfo. Cette grenouille, qui était un mâle – car les grenouilles ne sont pas les femelles de crapauds – rêvait d’une improbable destinée… Garulfo voulait devenir un homme ! Sa condition de grenouille ne lui offrant que désillusions successives, c’est donc armé de ses seuls verbe et courage qu’il part à la conquête de son humanité… Son destin est en marche lorsqu’il est capturé par un sbire de « Madame la fée… »…



S’inscrivant dans les codes des contes et de la fantasy féérique, partant d’une morale simpliste (la nature face à l’humanité), le premier cycle de Garulfo est constitué des deux premiers volumes d’une série qui en compte six. Ce livre premier est un récit délirant, une farce s’amusant avec nos souvenirs d’enfance pour mieux faire rebondir l’histoire dans d’improbables retournements et quiproquos. Le moteur principal du récit est ce décalage permanent entre réalité et conte de fée, entre dialogues où tournures de vieux français et argot s’affrontent, entre la naïveté du héros et sa situation. Tout est ainsi prétexte au burlesque surtout lorsque les grandes figures du genre apparaissent (le chevalier, la princesse, le roi, les fées…). Alain Ayroles prend un plaisir certain dans cette forme de dérision. Pour sa part, Paul voit même en Garulfo une sorte de Candide moderne sans la portée philosophique mais avec cette part d’humanisme.



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EXTRAIT "Voilà bien longtemps que j'avais entendu parler de cette série sans jamais prendre le temps de l'aborder. Bien mal m'en a pris. Appartenant à la même collection chez Delcourt que De Cape et de Crocs, déjà écrit par Ayroles, Garulfo comporte nombre d'ingrédients similaires à la dite série de cape et d'épée, et c'est un véritable plaisir que d'aborder ce nouvel univers. Humour, aventure, mais aussi regard critique sur les sociétés médiévales, Garulfo est une série incroyablement riche, au rythme particulièrement enlevé."
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Le stéréotype du vampire en BD, deux mâles se partage le cœur d'une jeune fille qui n'a rien d'exeptionnel (pendant la période victorienne les femmes n'étaient pas anorexiques). Le pseudo héros ressemble à un taureau, et le fameux vampire à un top model malade... Pas d'histoire, pas de rebondissement, rien.

EXTRAIT "Une série sur les vampires, rien d'original à priori me direz-vous. Mais pourtant, ce premier tome a une saveur particulière, un petit quelque chose qui le rend un peu différent. Il me semble d'abord que c'est par son personnage principal, Richard Drake. Car s'il apparaît au départ comme la caricature de la brute aventurière, il s'affine tout au long de l'album pour révéler une personnalité riche et complexe."

EXTRAIT "Oui, Ayroles parvient à maintenir intact l'intérêt déclenché par son premier tome, voir même, il l'accentue. A la fois par l'introduction de cette fameuse et mystérieuse Lady d'Angerès, mais aussi par l'ombre qu'il crée autour de son "héros", Richard Drake. On le découvre particulièrement complexe au fil de cet album et l'on peut même s'interroger sur la nature même de ce personnage. Pour ma part, je le pense lié aux vampires d'une manière qu'il ne soupçonne pas"
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C'est une bande dessinée qu'on m'a offert. J'ai bien aimé. Cet album raconte l'histoire d'une grenouille qui voulait devenir un prince. Une fois qu'il le devient, il ne comprend pas vraiment les situations dans lesquels il se fourre... C'est plutôt amusant. Cette bande dessinée est une parodie des romans de contes de fées... C'est très sympa à lire, et à regarder aussi. Les dessins sont vraiment pas mal.

Ce qui m'a attirée dans cette BD, c'est que je suis en plein trip vampires (oui, moi aussi j'ai été mordue), que l'histoire se passe à Londres, au XIXe en plus, et avec un vampire, donc.

Le vampire n'est pas le personnage central de l'histoire, cependant, on ne peut pas dire que sa psychologie soit fouillée ! L'accent est mis sur le personnage de l'explorateur, qui a le défaut aux yeux de la société de ne pas être noble, et, un peu en-deçà, la belle lady Catherine. La BD n'est pas franchement décevante, mais l'histoire n'est pas passionnante non plus, manque d'originalité probablement. J'ai un petit faible pour l'employé chasseur de vampires qui apporte une touche d'humour, mais il faut bien l'avouer, le tout n'est pas très original. Un moment agréable de lecture, cependant, et l'ambiance est bien rendue par les couleurs choisies.