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Critiques de Cam Kennedy (10)
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The Punisher - 100% Marvel, tome 8 : Les Ru..

Ce tome contient les épisodes 19, 27 à 32, initialement parus en 2003, tous écrits par Garth Ennis.



Épisode 19 : dessins et encrage de Steve Dillon, couleurs de Matt Milla. Grièvement blessé, Frank Caste marche dans une forêt du Vermont, en perdant beaucoup de sang : son intervention dans un deal de drogues a tourné au carnage du fait de l'irruption imprévue d'un troisième groupe de trafiquants, des russes. Il finit par tomber et rouler au bas d'une pente, s'écroulant inconscient, juste à côté d'une petite maison. Joan est en train de donner à manger aux canards de la petite mare, suivie par son chien Frankie. Elle trouve la force de tirer Frank jusque sur un lit, de l'y installer, de lui enlever sa tenue de Punisher et de panser sa blessure. Il se recoud lui-même une déchirure au bras. Il sait que les russes vont rappliquer d'ici quelques heures, un jour ou deux tout au plus. Il n'est pas en état de se déplacer. Il lui faut se préparer.



Les auteurs réalisent une histoire en 1 épisode, en ramenant un personnage de Punisher Bienvenu, Frank (2000/2001) : la petite Joan, surnommée la souris. L'histoire est simple et linéaire : Frank est alité, Joan n'a rien d'une combattante et est frêle. Comme à son habitude dans cette série, Frank Castle est premier degré et efficace face à des gugusses qui au mieux font l'erreur d'hésiter ou d'avoir trop confiance en eux, au pire ne sont pas compétents. Steve Dillon se fait plaisir avec les expressions de visage : Punisher inexpressif ou grimaçant dans l'effort, Joan jetant des regards en dessous, plein de modestie et de tendresse, les ennemis agressifs ou atterrés en comprenant qu'ils vont mourir dans la seconde qui suit. Le tandem réalise des moments d'anthologie : Joan comprenant que Punisher vient de s'écrouler inconscient dans sa mare aux canards, Stalin le chien de Josef, avec la bave aux lèvres, le même chien Stalin qui vient de se faire avoir par Frankie le chien de Joan (petit mais teigneux), Punisher tenant dans sa main un couteau de poche avec une lame de 3cm qui s'approche d'un ennemi neutralisé pour l'achever. Ennis marie moments de farce avec une pseudo histoire romantique qui n'existe que dans la tête de Joan : c'est sympathique mais vite oublié.



Épisode 27 : dessins et encrage de Tom Mandrake, couleurs de Matt Milla. Punisher est en planque devant le petit immeuble où Figsy Goleano est en train de faire ses comptes. Il s'apprête à l'abattre avec un fusil à longue vue. Alors qu'il commence à appuyer sur la détente, quand il aperçoit le scintillement d'une lame au travers de la lunette. Une femme habillée de rouge s'est introduite dans la pièce et tue Goleano en lui enfonçant un saï dans l'oreille gauche. Un épisode de récréation pour Garth Ennis : Punisher planifie plusieurs missions et se retrouve à passer juste après Elektra, pour finalement intervenir en même temps qu'elle. Tom Mandrake revient dessiner un épisode et s'en donne à cœur joie : silhouette très massive de Frank Castle (en particulier la largeur d'épaule et la musculature), silhouette très sexualisée pour Elektra avec un tour de poitrine très impressionnant. Il fait un usage très libéral des aplats de noir pour les ombres, et s'abstient de donner dans le gore pour les cadavres. L'intrigue est minimale : une succession de missions avec Elektra qui a précédé Punisher, pour un dessin final en pleine page où Castle a une gueule d'ange et Elektra est réduite à une bimbo, pas une grande réussite.



Épisodes 28 à 31 : dessins et encrage de Cam Kennedy, couleurs du studio Avalon. Frank Castle, en civil, se retrouve dans une petite ville du Texas, à devoir louer un véhicule et il n'en reste plus qu'un au loueur. Bien obligé de faire avec ce qu'il a, il accepte et conduit le pick-up qui a connu des jours meilleurs pour se rendre à la ville de Branding, également au Texas, qui compte 989 habitants. Il se rappelle comment il en est arrivé là : tout a commencé alors qu'il interrogeait Rich, un de ses indicateurs. Celui-ci l'a dirigé vers une vente de drogue à Harlem. Punisher s'est vite aperçu qu'il ne s'agissait pas de drogues, mais d'armes militaires, vendues par une équipe très professionnelle. Après l'échauffourée meurtrière, Punisher est retourné interroger Rich et lui a dit sa façon de penser sur ses informations incomplètes. Résultat : une défenestration et l'information que le trafic d'armes trouve sa source à Branding dans le Texas.



Le titre de cette histoire correspond au titre d'une chanson country Streets of Laredo, interprétée par de nombreux artistes comme Johnny Cash, Johnny Western, Joan Baez, Jim Reeves, Roy Rogers, Marty Robbins, Chet Atkins, Arlo Guthrie, Willie Nelson, Waylon Jennings, etc. Le scénariste explicite qu'il s'agit de sa source d'inspiration pour ce western moderne. Frank Castle arrive dans une petite ville et va faire le ménage dans le camp de trafiquants installés à quelques kilomètres de là. Il fait la connaissance de Kim Wells, la très peu farouche tenancière de l'hôtel, et de Steve Southall, le shérif, pour finir par confronter Rachel, la cheffe du gang, dans un duel qui commence dans la grande rue. Il étoffe son récit au travers de quelques personnages : le shérif, la gérante de l'hôtel, le révérend Henry McCarthy. Venu pour une descente dans une organisation de trafiquants, le lecteur découvre que Punisher ne va pas se contenter de foncer dans le tas, et qu'il commence par un repérage qui l'amène à côtoyer les individus du cru. Or comme dans toute petite ville qui se respecte, il y a des tensions sous-jacentes, en particulier quant à la vie sexuelle du shérif et de l'hôtelière.



Pour cette histoire, Ennis et les responsables éditoriaux ont su convaincre un artiste écossais peu prolifique, remarqué par exemple pour ses histoires de Judge Dredd, de Rogue Trooper, son interprétation de Luke Skywlaker dans Star Wars - L'Empire des ténèbres - Intégrale de Tom Veitch, et une histoire de vétéran The Light & Darkness War également écrite par Tom Veitch. Au premier regard, les oreilles décollées de ses personnages et leur visage un peu carré peuvent évoquer les dessins de Mike McMahon, en moins radical. Il réalise des dessins un peu frustes, sans effort pour les rendre jolis, avec une densité d'informations visuelles moyenne. Il lui arrive d'exagérer une expression de visage de temps à autre, ce qui incite le lecteur à ne pas tout prendre au premier degré, un peu en opposition de phase avec l'intrigue. Il sait bien rendre compte de l'environnement désertique, de la simplicité de la ville, et de la force de caractère du shérif, de l'hôtelière et du révérend, chacune différente à sa manière. Le lecteur peut donc s'immerger dans ce western tragique, parfois un peu distrait par les couleurs ou par une expression. Il se dit que le scénariste ne s'est pas montré aussi habile que d'habitude pour son dosage entre action et éléments tragiques, ces derniers semblant parfois trop appuyés (le comportement du shérif) ou caricaturaux (le comportement du révérend). Malgré le récit dans son ensemble tient la route, même si l'écriture d'Ennis s'appuie trop sur des clichés.



Épisode 29 : dessins et encrage de Steve Dillon, couleurs de Matt Milla. Comme à son habitude, Martin Soap passe sa soirée dans un bar à écluser des gorgeons. Il s'adresse à un compagnon de comptoir qui reste hors champ. Il lui raconte sa vie qui a toute suite été placée sous le signe de la chance, enfin la mal-chance, la poisse quoi. Dès sa naissance, la sage-femme l'a laissé tomber par terre sans faire exprès. Toute la suite a été à l'avenant. Le lecteur ne peut pas réprimer un sourire en voyant un épisode consacré au souffre-douleur de Punisher, et en voyant le retour de Steve Dillon. Ce dernier est égal à lui-même avec un détourage propre des silhouettes, des accessoires et des décors, avec un trait fin uniforme. Le lecteur retrouve les formes de visage caractéristiques de cet artiste, leurs expressions parlantes, avec de nombreux plans poitrine et gros plan pour montrer Martin Soap en train de s'adresser à son interlocuteur. Dillon sait montrer l'apparence des décors avec quelques traits, et Matt Milla habille suffisamment les surfaces par des dégradés. L'histoire tient les promesses de la naissance, et plus généralement de ce que le lecteur connaît de Soap : le roi de la guigne, et pas très futé avec ça.



Ennis & Dillon s'en donne à cœur joie pour un jeu de massacre cruel et drôle, aux dépends du pauvre inspecteur de police pas très futé. Le lecteur sourit franchement, rigole parfois, puis se reprend avec un air coupable de rire ainsi des infortunes d'autrui. Mais bon : souffre-douleur à l'école, croiser la route de Punisher, ne bénéficier d'aucune reconnaissance même quand il réussit un cas professionnel. Très en forme les auteurs réussissent des moments Ennis de haut vol : comique outrancier à base de moment horrifique répugnant, comme Soap crachant une dent ensanglantée en ayant conscience que ce n'est pas l'une des siennes, mais celle d'un criminel qui vient de se faire exploser le caisson à moins d'un mètre de son visage. Unique, énorme, pour public averti et consentant.
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Star Wars, L'empire des ténèbres, Tome 2 : Le..

Malgré des dessins toujours aussi moches (quelle colorisation horrible !) et des personnages toujours aussi mal fait (je n’arrive toujours pas à reconnaître Leia ou Lando Calrissian, et pour les autres !?!), le récit est plus intéressant que le premier album.

Je regrette que l’histoire de ce second tome est fait un bond dans le temps (il y a un résumé au début du Comics qui relatent les événements qui se sont déroulés entre le premier et le second tome mais : dans un autre comics ? Dans un roman ?). Du coup on se retrouve avec de nouveaux personnages, un Palpatine revenu au meilleur de sa forme… Bref, on est un peu perdu au début de l’histoire. Le narration est toujours aussi terne mais le récit est plus énergique grâce à une alternance entre plusieurs histoires très intéressantes : la recherche de nouveaux Jedi du côté de Luke ; l’organisation d’une attaque surprise de la base impériale par les rebelles, la recherche d’une Jedi du côté également de Leia et Han et enfin de Palpatine qui se constitue une équipe de Jedi noirs pour le servir dans sa conquête de la galaxie et surtout dans la capture des enfants de Leia.

En somme, sans une narration pénible et des dessins affreusement moches, cette série pourrait être une bonne surprise.
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Star Wars, L'empire des ténèbres, Tome 1 : La..

Six ans ont passés depuis la bataille d’Endor et la guerre n’est pas terminé. A cause des guerres intestines entre les restes de l’Empire, la Nouvelle République n’a toujours pas rétabli la paix dans la galaxie. De plus, un danger imminent atteint la jeune République…

Sans trop spoiler, . Ensuite le rythme du récit est passablement lent avec peu de dialogues et beaucoup de descriptifs dans les bulles. Pourtant il y a de nombreuses scènes de combats mais le principal défaut de ce Comics c’est le dessin. Mais qu’est-ce que c’est moche le choix de cette colorisation sur ton bleu, rouge et vert. Et les dessins ne sont pas terribles non plus. Même les personnages sont difficilement reconnaissables, surtout Leia complètement inexpressive (enfin ça va pour l’ensemble des personnages en fait).

Il y a quelques clins d’œil à la trilogie qui sont sympathiques mais cela ne suffit pas à rendre le récit plus convaincant. J’attends la suite pour me faire une véritable idée de cette trilogie…
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Star Wars, L'empire des ténèbres, Tome 1 : La..

Après la défaite du Grand Amiral Thrawn, il n'y avait plus beaucoup d'espoir de voir renaître l'Empire. La Nouvelle République était à un pas de la victoire. Malheureusement, une nouvelle vague impériale encore plus agressive est arrivée. Elle était entourée d'une grande aura du Côté obscur. Luke est emporté dans la tourmente et voit son pire cauchemar se produire. L'empereur est encore vivant. Il avait une réserve de clones de lui-même prêts à recevoir son esprit. Il est donc quasi-immortel. Luke succombe au côté obscur car il croit que c'est la seule façon de tuer son ennemi. Malheureusement pour lui, c'est le mauvais choix. La seule personne qui peu le secourir c'est sa soeur Leia. Sera-t-elle capable de le faire?



J'ai peu de bonne chose à dire sur cette bande dessinée. L'idée de l'Empereur ressuscité est à mon avis une fausse bonne idée. Elle brise toute l'idée de la rédemption d'Anakin Skywalker. De plus. comment Luke peut-il succomber aussi facilement au côté obscur après avoir vu les ravages sur son père. Pour moi, le concept de la BD est complètement stupide.



Un autre point négatif est le côté artistique. Les dessins sont vraiment laids et très chaotique. Les couleurs sont vraiment minimalistes et viennent gâcher mon plaisir de lire cette BD.



Pour moi, Dark Empire I est loin d'être une réussite. C'est plutôt un grand échec.
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Star Wars, L'empire des ténèbres, Tome 2 : Le..

Même souci qu'avec le premier tome, je ne parviens pas à accrocher aux dessins et aux coloris. J'ai essayé d'en faire abstraction pour m'intéresser à l'histoire mais, comme il s'agit d'une transition vers le dernier tome, c'est un récit incomplet et je doute d'acheter le dernier tome.

Merci
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Star Wars - L'Empire des ténèbres, tome 4

Pour ne pas changer le dessin est moche mais on commencerait presque à s’habituer au bout du quatrième tome.

Un album avec des Jedi et des Jedi noirs (je n’aime pas ce terme utilisé, peut-être encore une erreur de traduction car l’Empereur a en principe une sainte horreur du mot Jedi). Malheureusement les combats sont loins d’être intéressants, vite bâclés et de toute façon moches à cause de la colorisation et du dessin.

L’histoire reste intéressante même si elle manque de punch, on est entre l’histoire racontée et la BD ce qui rend le récit un peu fade. Dommage car c’est plutôt une bonne idée de suite de la trilogie originelle avec cet Empereur revenu à la vie, qui a retrouvé sa jeunesse et qui possède de nouveau une arme diabolique et des apprentis Sith.
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Star Wars, L'empire des ténèbres, Tome 1 : La..

Pas évident de donner une suite à une telle saga, on s'en rend compte avec les épisodes VII et VIII au cinéma, soit c'est trop copié, soit c'est trop en rupture. Ici, on retrouve les personnages emblématiques de la saga 10 ans après la mort de l'empereur Palpatine. Cette série de BD a été écrite avant la sorties des derniers films, elle contient donc l'un des futurs possibles. De nombreux clins d’œils à la trilogie originale, on reconnait le caractère des personnages, mais (et c'est un gros mais pour une BD), je n'ai malheureusement ni apprécié le dessin, ni la colorisation.

Merci
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Star Wars, L'empire des ténèbres, Tome 2 : Le..

Après les aventures du premier tome, l'Empereur envoie des gens pour aller chercher Leia et ses enfants et en même temps, ils doivent tuer Luke Skywalker. Luke est à la recherche d'anciens Jedi qui auraient survécu à la purge après la Guerre des Clones.



J'ai détesté le premier tome à cause de sa mauvaise histoire et des mauvais dessins. Pour celui-ci, l'histoire est encore pire. Au niveau de l'art, c'est toujours aussi laid. C'est un style très minimaliste mais ça ne va pas très bien avec l'univers de Star Wars qui est reconnu pour l'inverse.



Je ne recommande la série Dark Empire à personne à l'exception des fans finis et des complétistes comme moi.
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Star Wars - L'Empire des ténèbres, tome 3

Encore une histoire intéressante dans ce troisième tome où tout le monde se pose la question de la vie ou de la mort définitive de l’Empereur...

On retrouve dans cette histoire des élèves justement de l’Empereur Palpatine aux prises avec Luke et son premier élève Jedi (et d’ailleurs ancien élève de l’Empereur - ce qui contredit encore une fois Obi-Wan, on peut finalement revenir du côté obscur).

Je n’arrive pas à savoir si cette histoire peut s’intégrer à l’univers étendu des romans, mais j’ai l’impression que l’univers étendu en comics suit à peu près la même chronologie générale mais en modifiant quelques peu l’histoire.
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The Punisher - 100% Marvel, tome 8 : Les Ru..

Cet album qui reprend trois histoires indépendantes du Punisher signées Garth Ennis, regroupe les épisodes US #19, #23 et #28 à #31 de la sixième série du Punisher, parus entre janvier et novembre 2003.



La première histoire ("Des souris et des hommes") se situe chronologiquement avant le début du tome précédent et permet de retrouver Joan, l’ancienne voisine du Punisher. Tout comme lors de la trilogie «Punisher versus Ma Gnucci», on retrouve une jeune femme amoureuse de Castle, qui le soigne et lui apporte des cookies. Cette histoire n’apporte pas grand-chose à la série, mais entretient parfaitement le côté burlesque/satirique insufflé par le duo Ennis / Dillon à cette saga.



La deuxième histoire ("Les rues de Laredo") constitue le plat principal de ce huitième tome et propulse Frank Castle dans un trou perdu au fin fond du Texas, en compagnie d’un shérif gay. J’ai particulièrement apprécié de retrouver le Punisher au sein d’une ambiance western spaghetti, au milieu du désert texan. Le scénario, basé sur un trafic d’armes, est certes assez classique, mais ce changement de décor est intéressant, tout comme le fait de mettre en scène un shérif homosexuel dans le Sud des States. Personnellement, je ne suis pas trop fan du dessin un peu trop caricatural de Cam Kennedy, même si le style sied finalement assez bien au genre western spaghetti.



La troisième histoire ("Le Calmar") se situe chronologiquement entre les deux histoires du tome précédent et est également illustrée par Dillon. Personnellement, je n’ai pas trop apprécié cette histoire impliquant des fantômes, ainsi qu’une pieuvre géante qui signe la chute peu probable de cette histoire burlesque.
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