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Citations de Camille Andrea (84)


Dieu ce que j’ai vécu ! Jusqu’à maintenant j’ai sauté de métier en métier, de pays en pays, comme ce jour-là j’ai sauté d’attraction en attraction. Considère ta vie comme un manège dans lequel tu n’as droit qu’à un seul tour, voilà le secret de la vie et du bonheur éternel.
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J'ai été au départ attirée par cette jolie couverture rose gourmande...mais dès les premières pages, j'ai vite déchanté : loufoque, incongru, désordonné....voici mon ressenti en démarrant ce livre! Qu'est-ce que c'est que ça ? Ou l'auteur veut-il nous amener? Un boulanger doué, reconnu...qui fréquente et tutoie Madonna...et se retrouve face à un vendeur ambulant lui vantant son café comme "le café du bonheur"....avec ça si vous ne trouvez pas ce livre "étrange ".
J'ai pourtant tenter d'avancer me disant que ça va évoluer...mais non passé 40 pages pas beaucoup plus d'avancées...bien dommage et bien déçue !
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Le bonheur, ce n'est pas quand on ne manque de rien mais quand rien ne nous manque. En réalité, se contenter de ce que l'on a.
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J'ai compris que les racistes ne le sont pas contre une couleur ou une nationalité définie, mais contre tout ce qui n'est pas comme eux.
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Depuis longtemps, Noah faisait croire à son père qu'il adorait les jeux vidéo afin que celui-ci continue de le menacer de l'en priver. Tant qu'il le privait de Nintendo en croyant que cela l'affectait, il ne le privait pas d'autres choses plus vitales pour lui, à savoir les livres, les journaux, les sorties, et la glace au chocolat et aux noisettes.
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tu as envie de lui acheter des croissants, toi, à ce type-la? Moi je l'embaucherais plutôt pour zigouiller ma belle-mère...
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Suffisait-il d'oublier une maladie pour qu'elle disparaisse ? Peut-être après tout. Penser à une maladie revenait à lui donner de l'importance. Et, c'était bien connu, il suffisait de donner de l'importance à quelqu'un pour qu'il grandisse, devienne fort. La maladie n'était pas différente, et, en l'oubliant, il l'avait humiliée, il l'avait tuée.
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Quand on m'a offert ce roman, je me suis doutée, au vu du titre et de la couverture, que ça n'allait pas être de la grande littérature. Qu'à cela ne tienne, ce roman pouvait tout de même être divertissant et permettre de passer un bon moment....quelle déception !!! J'ai cru que je n'arriverai jamais à le finir tellement la lecture était pénible. C'est niais, complètement cliché, tous les personnages sont carricaturaux, les dialogues sonnent faux...alors c'est peut-être sensé être drôle? Je ne sais pas, je n'ai jamais ri... c'est peut-être sensé être du second degré ? Je n'en suis pas sûre et même si c'est le cas, ce roman n'apporte rien qu'une LONGUE série de "conseils de vie" extrêmement niais. Bref, un très mauvais moment de lecture... jusqu'à la dernière ligne...d'une très grand prétention!!
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Notre futur est un livre dont on écrit les pages chaque jour.
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Considère ta vie comme un manège dans lequel tu n'as droit qu'à un seul tour, voilà le secret de la vie et du bonheur éternel
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Une porte
Août 1992
— Merci, dit Noah lorsque la gigantesque porte s’ouvrit devant lui, en employant le même mot qu’il avait prononcé lorsque la gigantesque porte de chacune des cinq maisons de l’allée auxquelles il avait frappé auparavant s’était ouverte.
Telle était la stratégie qu’il avait mise au point après avoir passé la journée précédente à se prendre des portes en bois, en métal, blindées, en verre, en grillage de cage à poules, de toutes sortes, en pleine figure à peine son « bonjour » prononcé. C’était une évidence, de par son âge, on le prenait pour un élève d’une école du coin et on s’attendait à ce qu’il sorte de derrière son dos un calendrier deux fois plus grand que lui ou un paquet de coupons de tombola multicolores, pour pouvoir payer à sa classe un voyage de fin d’année en Californie ou en Floride, et aller voir les dauphins, animaux que l’on apercevait rarement dans le coin, en plein cœur du Tennessee.
Enfin, cela, c’était dans le meilleur des cas. Car le petit garçon était noir, et dans ce quartier résidentiel, les gens n’avaient pas l’habitude de voir des petits garçons noirs sonner à leur porte. Et dans ce quartier, les gens n’étaient pas curieux de savoir si ce petit garçon noir sortirait de derrière son dos un calendrier deux fois plus grand que lui, des coupons de tombola ou un pistolet automatique pour les braquer. Dans ce quartier, on ne semblait guère aimer les tombolas, ni les calendriers, et encore moins les pistolets automatiques. Ou tout simplement les enfants qui se payaient des voyages de fin d’année en Californie ou en Floride avec l’argent d’une tombola à laquelle on ne gagnerait (si jamais l’on gagnait) qu’une brosse à dents électrique, un porte-clefs ou deux verres gratuits de cet infect punch que la directrice de l’école aurait sûrement concocté pour l’occasion, dans la bassine où elle avait l’habitude de prendre des bains de pieds ou de tremper ses varices.
Une étude des plus sérieuses a démontré que l’on se fait une idée des gens en quatre secondes et cinquante centièmes. Celle que l’on se faisait de ce petit garçon, malgré son costume et sa cravate, malgré ses cheveux bien peignés en boule et ses airs de bonne famille, ne devait pas être des meilleures, car c’était à peu près le temps que les gens mettaient à lui claquer la porte au nez. Quatre secondes et cinquante centièmes. Noah avait compté dans sa tête. Même si les centièmes de seconde, ce n’était pas très pratique à compter dans une tête de petit garçon. Quatre secondes et cinquante centièmes, c’était juste le temps de faire un beau sourire, juste le temps que les muscles zygomatiques majeurs et mineurs s’activent, et puis les gens refermaient amicalement cette maudite porte en accompagnant le geste de formules diverses, polies, mais toujours humiliantes. « Désolé mon garçon, mais je n’ai pas de monnaie », « Cela ne m’intéresse pas », « J’ai déjà donné ». On le refoulait comme un vulgaire marchand de tapis. Si seulement on lui avait laissé une petite chance de s’exprimer, il aurait pu expliquer qu’il ne voulait pas d’argent, qu’il ne voulait rien vendre. Il aurait pu expliquer que ce n’était pas lui qui avait besoin d’eux. Mais eux qui avaient besoin de lui. Car il allait bientôt devenir leur président. Le président des États-Unis.
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Un sourire a le double avantage d’avoir un grand pouvoir sur celui qui le donne mais aussi sur les autres. Les gens agissent envers toi tel un miroir. Comme le vie. Si tu lui souris, elle te sourira. Si tu souris aux gens, ils seront plus enclins à t’adresser la parole ou à t’aider en cas de besoin. En souriant, tu deviens sympathique, bon, généreux, parce que tu offres quelque chose. Les gens ont tendance à sous estimer le pouvoir magique d’un sourire. En plus il est prouvé que les personnes qui sourient sont plus belles que celles qui ne sourient pas.
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Il était arrivé comme un petit homme, il repartait comme un enfant.
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La vérité sort de la bouche des enfants(…)
Les enfants ne sont pas représentés au gouvernement, or, nous sommes concernés par les décisions qui sont prises aujourd’hui, car elles auront des conséquences demain .
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Un nom ne sert à rien pour écrire un livre.
Seule une bonne histoire compte.
Je vous aime tant. Vous êtes ma raison de continuer à me lever le matin pour lier les mots sur le clavier d'un ordinateur, ma raison de rêver, de créer.
Pour tout cela, merci.
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Mais ce matin-là, au coin de cette rue, il découvrit une évidence sur la nature humaine. La liberté n’était pas une vérité tangible, une valeur immuable, uniforme, elle était subjective et revêtait de nombreuses formes, dont celle de l’aveuglement. Sinon comment expliquer qu’un homme dormant dans la rue sur un morceau de carton et ne mangeant pas à sa faim pût se penser libre ? Et puis il sut que l’on ne change pas le monde si personne ne veut le changer. Que l’on ne change pas un monde qui ne veut pas changer. Qu’il y a des choses qui sont extérieures à vous, vous échappent, et que vous n’y pouvez rien.
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Considère ta vie comme un manège dans lequel tu n'as droit qu'à un seul tour, voilà le secret de la vie et du bonheur éternel. (page 67)
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Tu as choisi de me mettre dans ta vie, que tu le veuilles ou non. Et quelles qu'elles soient, souviens-toi toujours qu'il ne faut jamais regretter d'avoir de connu de nouvelles personnes et de les avoir mises dans ta vie. Car les bonnes personnes te donneront du bonheur et les plus mauvaises t'auront donné une leçon. Tu n'as rien à perdre. Tout est bénéfique. Et puis, les grandes histoires commencent toutes par un petit bonjour, n'est-ce pas ?
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" Toi, tu deviendras un grand pâtissier, ou un grand homme d'affaires ", m'a dit un jour mon père, et comme je suis ambitieux, je devins les deux. Plus tard, il me conseilla d'ouvrir une boulangerie-pâtisserie près de la tour Eiffel. Il m'assura que le monde entier viendrait à moi, comme ce jeune homme qui, au lieu de se lancer à l'aventure dans le monde pour se trouver une femme, avait passé ses journées à attendre sur la tour qu'elle vienne à lui. Tout le monde va, au moins une fois dans sa vie, à la tour Eiffel, m'a dit mon père. Je me rappelle lui avoir répondu que je préférais aller à la rencontre du monde, que je préférais le mouvement à l'attente.
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Considère ta vie comme un manège dans lequel tu n'as droit qu'à un seul tour, voilà le secret de la vie et du bonheur éternel.
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