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Citations de Camille Andrea (84)


C’est incroyable mais on préfère le confort de notre malheur au risque de notre bonheur. Tu n’as qu’à regarder autour de toi. Combien se complaisent dans un métier qui ne leur apporte rien? Dans une relation qui ne leur apporte rien? L’être humain a peur du changement parce que, pour changer, il doit se remettre en question, tout effacer pour recommencer.
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Prendre des risques sans faire n’importe quoi non plus. Car on peut toujours sauter d’un avion sans parachute. Mais on ne peut le faire qu’une seule fois dans sa vie…
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On a du bon et du mauvais en chacun de nous. Et il faut apprendre à vivre avec. Même si c'est dur.
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A partir de quel âge devenait-on vieux ? Il y avait des enfants déjà vieux, et des vieux jeunes. Ce n'était qu'une question d'état d'esprit et non d'âge après tout.
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Rien n'est écrit. Et il suffit de le comprendre assez tôt pour ne pas subir sa vie, mais au contraire le construire. Notre futur est un livre dont on écrit les pages chaque jour, par nos actes. Des jeunes issus de milieux riches tournent mal aussi. Et c'est ce que j'aime de la vie, que l'on soit maître de notre destin. Même si nous naissons avec de mauvaises cartes. Quelquefois, la pioche est bonne, et alors tout bascule. On gagne la partie. En outre, je crois que nous devenons ce que nous nous efforçons de devenir. Certains doivent juste s'efforcer un peu plus que d'autres. Il faut se battre. Toujours.
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L'inconvénient d'oublier, c'est que l'on oublie toutes les choses importantes de notre vie : le nom des gens qui comptent, leur visage, les beaux moments que l'on a passés avec eux. Et puis, au contraire, on n'oublie jamais les choses insignifiantes, on n'oublie jamais ce qui ne sert à rien. Cela reste à tout jamais ancré dans ton cerveau.
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Personne n'est irrécupérable. Clochard, délinquant. Personne n'est irrécupérable car nous naissons tous pur et innocents et c'est la vie qui nous change.
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C'est un crime que de passer ses 20 ans assis sur un trottoir à attendre que l'on veuille bien vous glisser une pièce d'un demi dollar dans votre gobelet, alors qu'il y a des jeunes de 20 ans malades qui ne peuvent pas bouger de leur lit et qui n'ont rien demandé, qui rêvent chaque jour et chaque nuit d'avoir 2 bras et 2 jambes valides pour courir, pour travailler, et avoir une femme qu'ils pourront aimer, des enfants qu'ils pourront chérir.
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Pleurer et se plaindre n'a jamais fait avancer les hommes.
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Même si nous ne naissons pas avec les mêmes chances, on peut toujours changer. Il suffit juste de faire plus d'efforts que les autres.
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Un humain, c'est comme un moteur, cela possède une mécanique et une force prodigieuses, et il suffit juste d'une étincelle pour le faire démarrer.
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Il faut toujours être ambitieux et viser haut pour avoir un peu moins.
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Il faut toujours se fixer des objectifs dans la vie pour avancer.
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Quand on a un rêve, il faut aller jusqu'au bout, indépendamment de ce que disent ou pensent les personnes. Indépendamment des barrières et des limites de chacun.
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C'est incroyable, mais on préfère le confort de notre malheur au risque de notre bonheur. Tu n'as qu'à regarder autour de toi. Combien se complaisent dans un métier qui ne leur apporte rien ? Dans une relation qui ne leur apporte rien ? L'être humain a peur du changement parce que, pour changer, il doit se remettre en question, tout effacer pour recommencer.
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L’échec est une deuxième chance de faire les choses bien.
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(Les premières pages du livre)
J’ai appris très tard que mon nom de famille était le nom d’un village du cœur de l’Italie dans lequel s’était réfugié un grand nombre de juifs. Persécutés, nombre d’entre eux durent se convertir au catholicisme pour ne pas être tués. On baptisa ces premiers avec le nom de l’endroit où ils habitaient. Voilà comment mes ancêtres s’appelèrent Andrea. Cette histoire familiale est, sans nul doute, à l’origine de ce roman.
Et bien que je ne me sente ni juif(ve) ni d’aucune autre religion, d’aucun peuple, bien que je ne me sente tout simplement qu’humain(e), d’une seule planète, la Terre, bien que ma culture soit multiple et s’inscrive dans tous ces mélanges qui m’ont engendré(e), je souhaitais dans le présent roman rendre un hommage à ce petit bout d’histoire qui est le mien, à cette petite goutte de sang qui court dans mes veines comme dans celles de millions de juifs dans le monde.
Je souhaitais également aborder des questions plus philosophiques. Peut-on changer ? Peut-on punir un vieil homme pour quelque chose qu’il a fait dans sa jeunesse ? Cela a-t-il une quelconque utilité ? Je ne juge pas, je m’interroge. Ce roman ne pourra y répondre, car je n’y ai moi-même pas trouvé de réponse. Peu importe, après tout. Le principal est de s’être posé la question, d’avoir vibré avec Noah, d’avoir tremblé en apprenant le terrible secret de Jacob.
Vous ne savez toujours pas qui se cache derrière le pseudonyme de Camille Andrea, et vous continuez cependant à lire mes histoires. Ce sont elles qui, derrière le masque, importent vraiment et sont les plus sincères.
Un nom ne sert à rien pour écrire un livre.
Seule une bonne histoire compte.
Je vous aime tant. Vous êtes ma raison de continuer à me lever le matin pour lier les mots sur le clavier d’un ordinateur, ma raison de rêver, de créer.
Pour tout cela, merci. Camille Andrea

Lundi
Je n’ai jamais bien compris pourquoi les gens n’aiment pas les lundis. Je n’ai jamais aimé les jugements gratuits non plus, faits à l’emporte-pièce. Les préjugés. On dit qu’il y a des jours qui valent moins que les autres, puis on dit qu’il y a des sous-hommes, des sous-races. On vilipende le lundi, et puis on finit par vilipender les gens. Qu’ont de moins les lundis, je vous le demande ? Molière disait, dans la bouche de son Dom Juan, que les débuts ont des charmes inexprimables. Or, le lundi est le début de la semaine. C’est le moment où tout est encore possible, où tout reste à faire. La jeunesse de la semaine, dirais-je si j’étais poète. Et la jeunesse, Dieu ce qu’on la regrette quand on arrive à l’hiver de notre vie, vous verrez ça, et bien plus tôt que vous ne le pensez. Lorsqu’il n’y a plus rien à regarder devant, qu’il ne nous reste plus qu’à regarder au-dessus de notre épaule, tous ces souvenirs, ces regrets laissés derrière. Quand on est au lundi de notre vie, tout est à venir. Au lundi de notre vie, tiens, voilà que je continue à faire de la poésie.
Quoi qu’il en soit. Les plus belles choses de ma vie se sont produites un lundi. Enfin, je crois, si la mémoire ne me fait pas défaut. Elle a tendance à s’effriter un peu dernièrement. Il serait peut-être temps que je vous raconte cette histoire, avant que je ne l’oublie.
L’histoire d’un lundi merveilleux. D’un lundi inoubliable.
L’histoire de ce plus beau lundi de ma vie qui, c’est un comble, tomba un mardi.
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En souriant et en disant bonjour à quelqu' un que tu croises dans la rue, au supermarché, à la laverie automatique - cela ne risque pas de t'arriver -, tu choisis de le mettre dans ta vie. Tu agis sur le monde, tu ne le subis plus. Tu ne subis pas une rencontre, tu la provoques. Tu crées une opportunité. Tu provoques le destin !
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Le bonheur ce n’est pas quand on ne manque de rien mais quand rien ne nous manque. En réalité, se contenter de ce que l’on a. se contenter de son joli petit jardin sans envier le potager du voisin. Il est naturel d’envier le beau et luxurieux potager du voisin mais de son côté celui ci envie votre joli petit jardin. Les gens s’envient mutuellement.
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Le bonheur c’est comme la cuisine. C’est un peu comme si l’on vous donnait à votre naissance tous les ingrédients dont vous avez besoin pour être heureux, mais qu’on omettait de vous donner la recette. Vous devez la trouver par vous même. C’est beaucoup plus amusant. On essaye des choses avec plus ou moins de succès, et puis à force d’expérience ou de chance, un jour on réussit le plat. Certains n’y parviennent jamais. Peut-être parce qu’ils ne cherchent pas vraiment, parce qu’ils essayent toujours la même recette qui ne marche pas. Ils n’essayent pas de la changer.
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