Citations de Carol Higgins Clark (144)
Mon prof dit qu'il faut savoir se mettre en avant si on veut réussir dans le métier.
C'est bon, ce sentiment de paix qui vient avec le coucher du soleil. Quel bonheur de se la couler douce après une journée palpitante et pleine de défis, à crapahuter dans la montagne ou apprendre un nouveau pas de danse !
La plupart des gens ont une trouille bleue des taxis clandestins. Ils sont convaincus qu'ils n'en sortiront pas vivants.
Dans ce métier, on a vite fait d'avoir des regrets. Tout repose sur la capacité à reconnaître un bon scénario, une belle mise en scène.
J'aime bien les papiers qui parlent de ces comédiens sortis de nulle part qui percent grâce à un rôle. Savoir qui a refusé ce même rôle ; ces acteurs qui marchent bien mais qui n'auront jamais la notoriété qu'ils auraient eue s'ils avaient été assez malins pour l'accepter. Ça ne doit pas être simple de vivre avec cette idée.
Elles m'ont appris les bienfaits du tri, et ça, ce n'est pas rien ! C'était un peu comme avoir deux thérapeutes pour le prix d'un. Conserver trop de choses du passé, ça empêche d'avancer. Quand je sentais que ce serait trop dur de me séparer de tel ou tel objet, les filles me conseillaient de lâcher prise. De fermer les yeux et de m'imaginer à Golden Peaks, heureuse dans ma nouvelle vie.
Quand je me suis lancée dans le métier, j'ai connu un type qui s'incrustait à un tas de soirées. Il ne se faisait jamais prendre. Ce n'était pas bien méchant, il voulait juste s'amuser. Mais aujourd'hui, il y en a des tonnes, des imposteurs et des losers qui cherchent à se faire un nom. Ils viennent pour se créer un réseau, voir ce qu'ils peuvent tirer des gens qu'ils rencontrent.
On met suffisamment de monde à l'entrée. Si on n'est pas sur la liste, c'est impossible de passer. Le plus embêtant, c'est de gérer ceux qui appellent à quelques jours d'une soirée importante et qui font des pieds et des mains pour obtenir une invitation.
Maquille-toi davantage, ça ne te fera pas de mal. Elle brossa ses longs cheveux méchés avant de mettre du blush et du rouge à lèvres. C'est le métier qui veut ça, songea-t-elle. Il faut toujours être jovial et dynamique. Personne ne confierait l'organisation de sa soirée à quelqu'un qui fait une tête de six pieds de long.
On passe de si bons moments ensemble. J'ai l'impression que je lui plais vraiment. Moi, il me plaît. Il a peut-être simplement besoin de temps avant de s'investir dans une autre relation, mais s'il me baratine, je préfère le savoir maintenant, pas dans dix ans.
Si vous voulez en savoir davantage sur ma vie , interroger Norman .Je lui ai écrit en premier ; je n'ai plus la force de continuer à présent.
Elle regarda autour d'elle essayant d'imaginer à quoi ressemblait la vie dans cette maison au temps où elle était effectivement habitée .Ii doit bien y avoir des indices quelque part .Mais j'ai d'autres choses à penser pour l'instant , se reprit-elle en chassant cette idée .Des choses plus importantes.
Quelle que chose me dit qu'elle ne devrait pas rester seule , songea Regan en jetant un œil autour d'elle . Cet endroit me donne la chair de poule.
Les voleurs de voitures doivent l'avoir mauvaise quand une tempête de neige éclate à la saint-Sylvestre .si les gens restent chez eux , ça n'arrange pas leurs affaires.
On y voit plus clair dans les moments de crise !
Les voitures de luxe ne sont généralement pas les modèles les plus recherchés. Les véhicules de milieu de gamme que l’on trouve à chaque coin de rue sont revendus en pièces détachées. Aujourd’hui, les dispositifs de localisation facilitent les recherches mais uniquement si les gens se rendent compte rapidement que leur voiture a disparu. Si on vous la vole alors que vous vous installez tranquillement devant un film de trois heures avec votre seau de pop-corn, c’est peine perdue.
On est comme des mômes ! Je n’aurais jamais pensé retrouver un tel bonheur.
Les gens sont méfiants de nos jours, songea Regan. Je n’ai pourtant pas une tête d’arnaqueuse !
Les gens s’amusaient souvent de ce qu’ils portaient le même nom de famille – comme c’était pratique ! – et ne manquaient jamais d’ajouter qu’ils semblaient faits l’un pour l’autre.
Lorsqu'elle tira le rideau, un éclair zébra le ciel en révélant, sur la rive du petit lac, la silhouette d'une femme vêtue d'une longue robe noire, les poings brandis, qui paraissait regarder directement Regan. Dans une main, elle tenait un morceau d'étoffe blanche. Est-ce de la dentelle? S'agirait-il vraiment du fantôme de May Reilly? se demanda-t-elle.