Caroline von Krockow

Je n'ai malheureusement pas du tout emballé par cette lecture... Des personnages très peu intéressantes et superficielles, une intrigue qui perd de son sens au fur et à mesure de l'histoire. Dommage, car l'idée était bonne et la couverture somptueuse.

Un roman sur fond historique ainsi qu un secret de famille tous les ingrédients étaient présents pour que ce livre me plaise

Il est question d un tableau disparu peint à la belle epoque

Ce livre m a plu et m a donne envie de relire des ouvrages concernant cette époque.

Beaucoup de personnages illustres sont cités qui m ont entraîné à me documenter sur internet

Un bon livre découvert grâce au site babelio mais quin a pas fait la une dommage

Chers amis lecteurs ,

Nouveau coup de coeur: La rose blanche de Coralie Von Krochow.

Un régal , un bijou !

Nous sommes au XIXème siècle et en même temps au XXème.

Vivian cherche désespérément ses racines: elle est étudiante à l'école des Arts.

C'est en lisant le journal intime de sa grand -mère , qu'elle va revivre la grande Epoque: les impressionnistes , Klimt , Monnet , Courbet , les écrivains Zola , Maupassant, l'Histoire est omniprésente , les inventions Edison , Montgolfier .

MAIS , oui , il y a un mais .

Vivian veut retrouver le tableau de La rose blanche qui devait lui revenir de sa maman mais introuvable. Alors , elle va se lancer dans une enquête , une quête parsemée d'embuches et de dangers.

A découvrir absolument

Intriguée par le résumé de la quatrième de couverture et appréciant tout particulièrement les romans historiques, je me suis plongée sans hésiter dans ce roman.

Malheureusement, ça n'a pas été une lecture plaisante pour plusieurs raisons :

- En premier lieu, j'ai eu du mal avec le style littéraire (ou peut-être est-ce la traduction ?). Je n'ai pas trouvé la lecture fluide et le choix de certains mots voire la lecture de passages entiers m'a gêné.

- Par la suite, j'ai noté plusieurs incohérences dans le récit et j'ai trouvé que certains passages du livre étaient superflus ou peu cohérents.

- Enfin, mon plus grand agacement concerne la fin du roman... qui n'en est pas vraiment une ! Après avoir résolu les mystères développés dans le livre, l'autrice a ajouté un rebondissement dans les dernières lignes du roman afin d'introduire une suite. Il n'existe aucune mention sur le livre ou à l'intérieur, qui indique que c'est une série.



Malgré tout, j'ai quand même apprécié la dimension historique et le gros effort de la part de l'autrice pour avoir intégré autant d’éléments dans son histoire. Il y est question d'arts (Rodin, Monet, Renoir, Toulouse-Lautrec, Klimt), de littérature avec les œuvres de Zola, d'inventions technologiques (les montgolfières, les débuts cinéma) mais également d'évènements qui se sont déroulés à la fin du 19ème siècle (l'Exposition Universelle, le grand incendie du Bazar de la Charité).

Entre deux temporalités, l'autrice, nous emmène à la Belle Époque sous forme de journal intime de Francesca, grand-mère de notre personnage central Vivian, professeur. Dès le début du récit, l'intrigue se met en place quand Vivian à la place des ossements de ses ancêtres, reçoit une menace de mort. Ayant autour d'elle plusieurs suspects comme son ex-mari, son ancienne meilleure amie ou encore un ancien professeur, il y a le choix des suspects. La richesse du roman ne vient pas tellement de l'intrigue en elle-même, - puisque nous découvrons rapidement qui est derrière la machination - mais plutôt de l'histoire de l'art qui se dessine à Vienne avec les grands noms de l'époque. En pleine aristocratie viennoise, l'alternance du journal de Francesca et des parties de Vivian offre un mélange énergique au roman. Les rebondissements pendant la lecture ne sont pas en reste et rendent la lecture addictive ! Bref un court roman qui fait de l'effet !

On suit ici les aventures de Vivian, professeure à l’académie des Beaux Arts de Vienne qui veut lever le voile sur le mystère de La broche bleue.

Alors qu’elle s’attendait à recevoir les ossements de Marie-Anne et Maurice ses arrières grands-parents, c’est une lettre de menaces qu’elle trouve au fond du coli.

Qui peut bien lui en vouloir ? Entre Jérôme son ex mari, Sophie sa demie-sœur, le professeur Mhost son directeur de thèse, les pistes ne manquent pas...

Mais il semblerait que tout soit lié à La rose Blanche, le portrait impressionniste de son arrière grand-mère Marie-Anne et sur le quel elle porte une magnifique broche bleue Boucheron mystérieusement disparue...



Vivian va donc chercher à lever le voile sur cette affaire et elle est intimement convaincue que la réponse se trouve dans le journal intime de sa grand-mère Francesca qui était dissimulé derrière le tableau.



Quel roman surprenant et captivant qui vous embarque dans un tourbillonnant voyage à travers le temps. On oscille entre plusieurs époques, puisqu’on lit le journal intime au même rythme que Vivian nous plongeant ainsi au coeur des mondanités de l’aristocratie viennoise.



On sent que Caroline von Krockow maîtrise parfaitement ce sujet, c’est un livre extrêmement documenté et très enrichissant qui permet d’en apprendre beaucoup sur l’art et les grands noms d'artistes ayant jalonné l’histoire.



↪️ En bref, c'est presque à regret que j'ai refermé cet excellent roman car j'aurai volontiers lu quelques pages supplémentaires ! Je ne peux que vous conseiller de le lire
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Lecture agréable mais pas inoubliable. Les personnages sont quelque peu agaçants.

Vivian, étudiante en art, souhaite faire sa thèse sur Danet dont elle est une héritière. Entre histoires de famille et enquête, elle cherche la vérité sur son passé.

Ça se lit très bien.

Le contexte historique et le côté histoire de l'art sont intéressants

Vivian, l'héroïne est un peu cucul. Cela devient vite énervant. Je ne me suis pas attachée à ce personnage.

On comprend tout de suite l'implication de certains personnages. Les soupçons que j'ai eu dès le début se sont avérés vrais. La narration ne m'a pas permis de douter, l'intrigue était cousue de fil blanc.