Les libraires indépendantes de Nouvelle-Aquitaine vous parlent ! Découvrez leurs coups de coeur en vidéo sur notre chaîne et nos pages
Aujourd'hui c'est au tour d'Anne de la Librairie Générale à Arcachon.
// Site : www.librairies-nouvelleaquitaine.com
// Facebook : https://www.facebook.com/librairies.independantes.nouvelleaquitaine
// Twitter : https://twitter.com/LibNouvelleAqui
Il y a une tristesse des hommes, une tristesse, vous ne la sentez pas cette tristesse, une tristesse qui n’étreint pas les femmes;
une tristesse particulière remontée d’une très lointaine faiblesse;
la faiblesse contrariée des hommes la faiblesse refusée . Je la vois partout cette tristesse , la tristesse des hommes.
Je la vois dans la rue , je la vois dans le métro , dans les les restaurants d'affaires,
dans les ascenseurs des immeubles de bureaux.
Je ne veux pas vous faire pleurer sur les hommes , mais ne riez pas, je vois chez les hommes, je sens, une tristesse qui n’étreint pas les femmes.
[Voilà une citation qui me revient du fond de la mémoire, seulement je ne sais plus de quelle pièce elle fait partie, alors si quelqu'un savait]
Anastasie: Franchement, Louis, je préférerais vous faire dorer, vous mijoter, puis vous croquer mais.... vous êtes le dernier des fiancés alors, foin du plaisir, l'honneur avant tout! Je suis l'aînée. Je dois me caser... Epousaillons-nous!
Louis: Vous êtes une sacrée rigolote! Oui oui! J'ai cru que vous étiez sérieuse.
(citation choisie par ANGY)
Anastasie (à propos de Louis) : Hum ! Je mangerai sa fesse gauche avec plaisir.
(citation choisie par JULIE)
Anasatasie: Traîtresse!
Agathe: Gâteuse!
Anastasie: Pourrifiture!
Agathe: Toi-même!
(Citation choisie par Emma)
Agathe:- Oh Louis, j'ai des frissons.
Louis: - Vous êtes malade ?
Agathe: - Je me sens secouée.
Louis saisit agathe aux bras et la secoue quelques secondes , puis s'arrête et demande:
Louis: - ça va mieux?
Agathe:- Je suis folle de toi.
Louis: - Moi , je n'y suis pour rien
Agathe: - Si! Puisque c'est toi qui me rends folle!
(Citation choisie par Charlène)
Extrait du livre :
SCENE 1
Dans les fonds sous-marins. Petite sirène et sa grand-mère.
GRAND-MÈRE : Ailleurs
La tête ailleurs
Je t'observe ma petite
Depuis toujours
Tu as la tête ailleurs
PETITE SIRÈNE : Bientôt j'irai là-haut
GRAND-MÈRE : Ce n'est pas si pressé
PETITE SIRÈNE : Je vais avoir quinze ans
GRAND-MÈRE : Déjà
PETITE SIRÈNE : J'irai là-haut
Je franchirai la ligne d'eau et je verrai
Le ciel
Immense qui passe du plus sombre au plus clair
Je m'allongerai sur un îlot pour sentir le vent
La brise qui doucement caresse
Ou l'ouragan
GRAND-MÈRE : C'est très déplaisant l'ouragan
PETITE SIRÈNE : Je m'approcherai du rivage
GRAND-MÈRE : Il te faudra rester discrète petite sirène
Bien cachée
Qu'aucun homme surtout ne te voie
PERE OCEAN : En vérité maman elle a disparu ma reine bien-aimée [...] J'ai menti maman j'ai menti
SORCIERE : Depuis trois mille ans je cherche à cracher cet oursin qui m'arrache la gorge
Rhâââ
REINE-MERE: Mon fils mon petit garçon ce soir tu seras marié
LA PRISONNIÈRE. Je n'arrive pas à lire mes yeux trop fatigués les noms valsent
Minuit passé
Et mon défenseur
Je dois m'entretenir avec lui avant le procès lui donner mes papiers lui expliquer bien tout
Mon défenseur
Où est-il
LE JEUNE SOLDAT. Dans son lit
J'aimerais remonter le temps, lui parler à l'oreille... Lui dire que ses textes ne vont pas disparaître. Lui dire que j'admire son courage, sa force.
Ces gosses ces gosses
Ont entre leurs mains le destin des lendemains
Ces gosses ces gosses
Peuvent grandir j'en suis certain
Qu'ils prennent le temps d'être
Confiants dans leur être
Afin que soient douces leurs mains
"Je préfère le bonheur du vent au confort des maisons."