Citations de Cecelia Ahern (525)
'Are you OK ?' Daniel asked quietly from beside her.
'Yes, I'm fine, thank you,' she replied, taking a sip of wine.
'Oh, you don't have to give me that bullshit answer, Holly. It's me', he laughed.
'But, Holly, nobody's life is filled with perfect little moments. And if they were, they wouldn't be perfect little moments. They would just be normal. How would you ever know hapiness if you'd never experienced downs ?
j'ai appris que dix minutes sous la douche et la joie d'aller aux toilettes sans pression restaurent plus de choses chez les nouveaux parents pour la simple hygiène personnelle.
Sauvez les matelas, vite! Réussit à bredouiller Holly à travers ses éclats de rire.
matelas à la mer ! Hurla Sharon...
Un véritable amour ne meurt jamais
La mort sépare les gens mais elle a aussi une manière bien à elle de lier ceux qui restent.
La vie possède des racines et comme un arbre en quête de survie, ces racines s'étendent et s'étirent pour trouver de l'eau, elles ont le pouvoir de soulever des fondations et de déraciner tout ce qui est sur leur chemin. Leur portée est infinie : leur présence même a un effet éternel sous une forme ou une autre. On peut abattre un arbre mais on ne peut pas tuer ce qu'il a commencé et toute la vie qui a jailli de lui.
L'amour est une chose ténue et exceptionnelle. On doit lui accorder beaucoup de valeur et le chérir, l'exhiber aux yeux des autres et non pas le cacher dans un placard, ni en avoir honte.
Ce n'est que du papier, mais en réalité, non. Ce ne sont que des mots, mais c'est plus que ça. Nous ne sommes que de passage et le papier vivra plus longtemps que nous, il criera, hurlera, rugira, chantera nos pensées, nos sentiments, nos frustrations et toutes les choses qu'on ne dit pas dans la vie. Le papier sera le messager qui permettra à leurs proches de les lire et de les garder; des mots sortis d'un esprit et contrôlé par un cœur battant. Les mots, c'est la vie.
Nous voulons contrôler notre mort, nos adieux au monde, et si on ne le peut pas, on peut au moins contrôler ce qu'on laisse derrière nous.
Ce n'est peut-être pas la mort qui provoque notre colère ou nous effraie, mais le fait que nous ne la contrôlons pas. La vie peut nous être retirée sans notre consentement. Si on avait le temps et qu'on nous en donnait l'autorisation, nous accepterions notre destin et nous programmerions notre propre mort. Mais on ne le peut pas.
Je suis fière d’avoir accompli ça. Ça ne me déprime pas, contrairement à ce que tout le monde – moi compris – pensait. Regarder en arrière, retracer son chemin n’est pas faire preuve de faiblesse. Les blessures ne se rouvrent pas. Ça demande de la force et du courage. Il faut être plus sûr de soi pour jeter un regard clairvoyant et impartial sur la personne qu’on a été. Je sais sans l’ombre d’un doute que revenir sur mon passé m’encouragera, de même que tous ceux qui font partie de mon voyage, à m’envoler.
Mais on ne se querelle jamais pour un seul sujet. Le désaccord est une créature qui se nourrit de son hôte et je me demande quel est le véritable sujet de notre différend.
Je cherche la consolation, la solitude, la compagnie, je me cherche. Je me languis de faire une balade en vélo et je me rends compte que j’ai utilisé le mouvement et l’action pour éviter de penser. J’étais l’amie que j’évitais parce que je n’aimais pas le sujet de ma conversation ; trop déstabilisant. Ça avait peut-être été nécessaire pour me jeter un sort et me sortir de ma propre tête, mais il faut que j’y entre de nouveau, que je m’y sente à l’aise. Il y a des pensées à traiter, des actions à analyser et des décisions à prendre. Pour une fois, je ne peux pas me fuir.
- Les paroles sont moins fortes que les actes, garde bien ça en mémoires.
Plus on fait d’erreurs, plus on apprend.
- Le mouvement a besoin de toi, Celestine. Mais toi, n’oublie pas que tu n’as pas besoin d’eux. Ne les laisse pas se servir de toi.
Quand on est au fond du trou, on a le triomphe facile. Le tout est de les reconnaître, ces petites poches de lumière et d’espoir cachés dans l’obscurité.
Je suis une fille de définitions, de logique. Pour moi tout est noir ou blanc. Merci de ne pas l’oublier.
Si quelqu'un gagne, c'est que quelqu'un d'autre a perdu. Or si une personne a gagné, c'est forcément qu'elle avait perdu quelque chose à la base. La justice a ceci d'ironique que les sentiments qui la précèdent et ceux qui en découlent ne sont jamais ni justes ni équilibrés.
La justice elle-même n'est pas parfaite.