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Critiques de Cédric Fernandez (52)
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Rêves de gosse

Bon... Ça doit faire deux ou trois semaines que j'ai refermé cette BD et autant de temps que je repousse le jour où je devrais écrire cette critique. Pourquoi ? Parce que je n'ai pas grand chose à en dire...



L'histoire n'est pas très originale. Nous avons ces enfants qui rêvent de voler en avion et cette association, les chevaliers du ciel, qui réalisent le rêve de ces enfants particuliers (parce qu'ils ont un handicap). Nous nous trouvons donc face à une BD qui a pour but de nous faire découvrir cette association et son action. Rien d'étonnant, dans ce cas, à ce que nous ayons un des personnages qui nous décrive dans le menu tout ce qu'elle fait. Alors oui, c'est une belle histoire. Et cette association fait un travail remarquable. Mais ce n'est pas ce que j'attends d'une bande dessinée. Toutes ces explications concrètes ne font qu'alourdir le récit à mon sens.

Niveau dessin, je ne suis pas hyper convaincue non plus. Certes ils sont réalistes et c'est ce que j'aime d'habitude. Mais je ne sais pas. Peut-être que le fait que je n'ai pas été totalement convaincue par l'histoire fait que je n'ai pas su apprécier les illustrations a leur juste valeur ?



En tout cas, vous l'aurez compris, ce n'est pas une franche réussite en ce qui me concerne.

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Rêves de gosse

BD marketing qui explique ce que fait l'association Rêves de gosse (très belle association qui permet à des enfants ordinaires et extraordinaires de faire un baptême de l'air). Cependant, j'ai toujours un peu de mal avec ce genre de BD qui n'a été créé que pour faire de la promo.
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Rêves de gosse

Une superbe initiative à la dimension humaine qui donne des ailes et qui a l’avantage de nous faire découvrir l’investissement énorme de l’association des Chevaliers du Ciel.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Le vol des anges, tome 4 : L'escadrille Laf..

Les auteurs de la série "Le Vol des anges" se proposent de retracer les premières de l'aviation à travers le destin d'une famille écossaise. L'entreprise est sympathique, mais…





Dans ce tome 4, intitulé "L'Escadrille Lafayette", tandis qu'Andy reprend le flambeau après la mort tragique de son frère jumeau, après leur évasion de Zorndorf et leur fuite en Russie, Colleen et Mosley poursuivent Lord Ascott à Genève en Suisse où ce dernier négocie avec les bolcheviks de Lénine pour le compte du IIe Reich…

La Jasta se plaint d'être dépassée, souhaite de nouveaux et d'avantage de pilotes d'élite en vue et se réorganise en vue de la confrontation finale. le Royal Flying Corps se plain d'être dépassé, souhaite de nouveaux et d'avantage de pilotes d'élite en vue et se réorganise en vue de la confrontation finale. Bref, on est dans la guerre totale, une guerre d'usure longue et sale qui broie les peuples qui y participent…



Les graphismes gagnent nettement en qualité, même s'il faut parfois plisser les yeux pour reconnaître les personnages des tomes précédents, et l'arrivée aux couleurs de Vincenzo Riccardi n'est absolument pas étrangère à cette belle amélioration. Ce tome fait intervenir George Thérault, Lanoe Hawker, Oswald Boelcke et Manfred von Richthofen alias la Baron Rouge, mais comme Blériot ou Roland Garros dans les tomes précédents ce ne sont que guest stars qui interagissent peu ou pas avec les personnages principaux donc c'est plus ou moins OSEF. Malgré toute la bonne volonté du monde, tout est vu, revu, et archivu à commencer par les scènes d'espionnage qui semble sortir d'un vieux James Bond ou les combats aériens, très réussis certes mais qui semblent sortir eux tout droit du "Hell's Angels" d'Howard Hughes. Cela donne un air de naïveté à l'ensemble de la série, mais cela ne serait pas grave s'il n'y avait pas tant de maladresses dans l'exécution : le personnage de Bill Jackson réapparaît d'un coup, son duel présent comme de titans avec Kurt Reichmann ne fait de quelques pages, la fameuse Escadrille Lafayette qui donne son nom à ce tome n'apparaît qu'à la toute fin du récit et cette cruche de Colleen ne comprend toujours pas que son partenaire travaille pour le Secret Intelligence Service. Et on rajoute en flashback une histoire de vengeance entre MacKinlay et Lord Ascott qui aurait voulu prend la tête des services secrets anglais alors qu'au sein des services secrets allemands il ne rêve que de prendre la tête de l'armée de l'air… On a voulu faire du connard du tome 1 le méchant de la série, mais cela ne tient pas debout et la mayonnaise entre espionnage et guerre des airs n'aura jamais vraiment pris.

L'épilogue ? Les Américains entrent en guerre, Bill descend le baron rouge, Kurt tue Bill, Andy tue Kurt, papy Walter meurt des suites de ses blessures récolté lors du bombardement de Londres (ce n'est même dit ou montré alors qu'il s'agit d'un personnage principal… Soupir), Colleen se marie avec James Bond (le passage de témoin entre les générations et tout ça) et Andy part aux Etats-Unis travailler dans un cirque aérien (comme la plupart des pilotes de la Première Guerre Mondiale… Quand à Sean, le personnage principal avec lequel a débuté ce cycle, ben il a quasiment disparu de la circulation depuis le début du tome précédent…



Cela reste sympathique, mais il avait d'autant mieux à faire avec les mêmes ingrédients qu'il aura fallu attendre le quatrième et dernier tome du cycle pour que la série trouve ses marques tout en étant tirée par le bas par ses lacunes initiales (genre les deux espions qui s’enfuient en sautant à travers une fenêtre située à 10 mètres de hauteur : ça fait classe dans un comic de super-héros, mais ça fait What The Fuck dans une bande dessinée historique… mdr).

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Le vol des anges, tome 3 : Zeppelin sur la ..

Les auteurs de la série "Le Vol des anges" se proposent de retracer les premières de l'aviation à travers le destin d'une famille écossaise. L'entreprise est sympathique, mais…



J'ai trouvé cela simple, voire basique parfois, à tous les niveaux : personnages, histoire, narration, dessins (la guerre des clones et les mâchoires prognathes), encrage (qui manque de finesse, ça c'est clair), colorisation (ah les couleurs numériques tape à l'oeil !). Fort heureusement les appareils eux ont droit à la part belle, mais c'est encore heureux quelque part… Alors je ne sais pas si les auteurs manquaient d'ambitions et/ou de talent, ou si on a choisi la simplicité pédagogique pour toucher un large public, si on a choisi la simplicité pour cibler une public jeune ou si on a choisit la simplicité pédagogique en se calquant sur les standards du monde des comics (parce qu'il y a quelques scènes qui rappelle le travail des auteurs à la Rob Liefeld : efficacité maximale, quitte à supprimer les arrière-plans et toutes les formes d'approfondissement).

Je n'ai absolument rien contre le monde des comics, mais au vu du prix des BD franco-belges j'attends une plus value correspondante à la présence bien moindre de contraintes éditoriales et temporelles : un dessinateur européen doit aller plus loin en 2 ans qu'un dessinateur américain en 2 mois, pour moi cela va de soi…





Dans ce tome 3 intitulé, "Zeppelin sur la Tamise", les graphismes s’améliorent agréablement et l’histoire devient plus intéressante, drame de la Première Guerre Mondiale oblige… Sauf qu’on pioche allègrement dans les archétypes :

- la jeune stagiaire féministe et le brillant journaliste machiste

- le pacifiste qui veut rester à l’arrière mais qu’on oblige à allez au front

- le vieux briscard qui veut aller au front mais qu’on oblige à rester à l’arrière

- les jeunes recrues qui partent à la guerre la fleur au fusil sans comprendre l’horreur qui les attend

… Tout ça, je l’ai déjà vu cent fois, et pour que cela marche il faut prendre son temps pour approfondir les personnages et donner du sens aux situations, ce qui n’est pas absolument pas le cas ici puisque qu’en 48 pages on rajoute aussi le duel entre Roland Garros et Anthony Fokker, celui entre Gavin Murray et Kurt Reichmann, ainsi qu’une histoire d’espionnage qui finit en cavale avant de lorgner sur "La Grande Evasion"…



Ce n’est qu’à la fin de ce tome que j’ai compris que Colleen était la fille de Sean et Walter le beau-père de Sean : j’aurais dû le deviner avant, mais est-ce que cela aurait vraiment alourdi les phylactères que d’utiliser au moins une fois les mots « sœur », « fille », « gendre », « beau-père » et « grand-père » ?

Les scènes de batailles aériennes sont multiples et assez cool avec un découpage dynamique qui n’hésite pas à s’étaler sur des doubles pages, mais il y a plein de trucs poussifs qui m’ont sorti de l’histoire : le sang qui ressemble à du ketchup des années 1970, Mosley le journaliste espion stéréotypé, le patron de presse alter ego de J. Jonah Jameson dans Spiderman qui ne connait pas Colleen mais qui trouve qu’elle ressemble à sa mère, cette explication comme quoi les tranchées ont été creusées pour ralentir la progression allemande, ces uniformes de prisonnières à décolleté plongeant (fanservice parfaitement balourd donc parfaitement inutile), Kurt que tout le monde reconnaît au premier coup d’œil dans les gunfights aérien (son avion n’a aucun distinction autre qu’être allemand : ils ont la vue fine dans l’aviation !), ou Gunther le neveu d’un ponte de l’aviation qui se retrouve gardien de prison juste au bon moment et au bon endroit pour faire évader Colleen… Et puis des raccourcis un peu coupable aussi, mais en fait c’est surtout la partie espionnage qui ne tient pas debout : on dirait un vieux pulp avec le héros macho qui emmène en mission dans le IIe Reich la demoiselle qui va forcément se retrouver en détresse, qui se fait passer pour un touriste suisse (en pleine guerre, vachement crédible ! ^^) avant de galoper vers la frontière hollandaise avec des chevaux volés à des policiers teutons (bravo la discrétion ! ^^), pour se retrouver trois jours plus tard enfermé à la frontière avec la Russie dans la prison mixte de Zorndorf… C’est dommage, il y avait mieux à faire pour mettre en valeur les drames subis par la famille Murray !

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Le vol des anges, tome 2 : Royal Flying Corps

Les auteurs de la série "Le Vol des anges" se proposent de retracer les premières de l'aviation à travers le destin d'une famille écossaise. L'entreprise est sympathique, mais…



J'ai trouvé cela simple, voire basique parfois, à tous les niveaux : personnages, histoire, narration, dessins (la guerre des clones et les mâchoires prognathes), encrage (qui manque de finesse, ça c'est clair), colorisation (ah les couleurs numériques tape à l'oeil !). Fort heureusement les appareils eux ont droit à la part belle, mais c'est encore heureux quelque part… Alors je ne sais pas si les auteurs manquaient d'ambitions et/ou de talent, ou si on a choisi la simplicité pédagogique pour toucher un large public, si on a choisi la simplicité pour cibler une public jeune ou si on a choisit la simplicité pédagogique en se calquant sur les standards du monde des comics (parce qu'il y a quelques scènes qui rappelle le travail des auteurs à la Rob Liefeld : efficacité maximale, quitte à supprimer les arrière-plans et toutes les formes d'approfondissement).

Je n'ai absolument rien contre le monde des comics, mais au vu du prix des BD franco-belges j'attends une plus value correspondante à la présence bien moindre de contraintes éditoriales et temporelles : un dessinateur européen doit aller plus loin en 2 ans qu'un dessinateur américain en 2 mois, pour moi cela va de soi…





Dans ce tome 2, intitulé "Royal Flying Corps", Sean est obligé de mettre ses travaux et ses talents au service de l'Empire Britannique pour libérer ses garnements de jumeaux emprisonnés pour voies de fait… Ah les bonnes vieilles méthodes d'enrôlement des officiers de Sa Gracieuse Majesté !

On alterne donc ensuite sans surprise cours à l'université, entraînements militaires, parcours du combattant et corvées de chiottes. Perso, j'ai déjà vu cela des centaines de fois, le seul élément de nouveauté venant du fait que Gavin Murray se fait un ennemi mortel de l'étudiant allemand Kurt Reichmann (rien que le nom déjà, mais il est grand, large, musclé, blond aux yeux bleus avec une coupe brosse règlementaire comme n'importe quel personnage bas du front de comic). Les forces de l'Empire allemand (moustaches travaillées et monocles de rigueur, évidemment ^^) poursuivent leurs expérimentation sur de nouveaux modèles de zeppelins, et par le plus grand des hasards leur tout nouveau prototype s'écrase juste à côté de l'Université d'Aberdeen. Tout naturellement le chef de l'expédition Konrad Reichmann demande à son fils Kurt le gros bourrin teuton de récupérer des documents sensibles (ce n'est pas comme si dans la place il n'y avait pas déjà Gunther Heinkel plus discret, plus intelligent et bien intégré à la communauté estudiantine d'Aberdeen). Cette partie espionnage est tellement cousue de ficelles blanches que je n'ai pas réussi à rentrer dedans…

Ce tome se terminant par l'assassinat à Sarajevo (qui je tiens à le rappeler aux auteurs est une ville et pas un village ^^) de l'héritier de l'Empire Habsbourg le 28 juin 1914, j'espère que la suite de la saga est de meilleure facture…



Le cahier consacré aux premières forces aériennes britanniques était plutôt intéressant lui… blink
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Le vol des anges, tome 1 : Sean

Les auteurs de la série "Le Vol des anges" se proposent de retracer les premières de l'aviation à travers le destin d'une famille écossaise. L'entreprise est sympathique, mais…



J'ai trouvé cela simple, voire basique parfois, à tous les niveaux : personnages, histoire, narration, dessins (la guerre des clones et les mâchoires prognathes), encrage (qui manque de finesse, ça c'est clair), colorisation (ah les couleurs numériques tape à l'oeil !). Fort heureusement les appareils eux ont droit à la part belle, mais c'est encore heureux quelque part… Alors je ne sais pas si les auteurs manquaient d'ambitions et/ou de talent, ou si on a choisi la simplicité pédagogique pour toucher un large public, si on a choisi la simplicité pour cibler une public jeune ou si on a choisit la simplicité pédagogique en se calquant sur les standards du monde des comics (parce qu'il y a quelques scènes qui rappelle le travail des auteurs à la Rob Liefeld : efficacité maximale, quitte à supprimer les arrière-plans et toutes les formes d'approfondissement).

Je n'ai absolument rien contre le monde des comics, mais au vu du prix des BD franco-belges j'attends une plus value correspondante à la présence bien moindre de contraintes éditoriales et temporelles : un dessinateur européen doit aller plus loin en 2 ans qu'un dessinateur américain en 2 mois, pour moi cela va de soi…





Dans le tome 1, sobrement intitulé "Sean", le récit veut absolument commencer par une tragédie et j'ai trouvé cela cliché en plus d'être moyennasse : l'épouse Murray meurt noyée car sa barque a heurté une grosse branche, qu'elle s'est assommée en heurtant ensuite la même grosse branche et qu'il n'y personne qui savait nager pour la ramener à terre… (soupir ?) Au lieu de nous raconter le pourquoi du comment d'un père veuf en deuil qui refait sa vie, j'aurais préféré qu'on m'explique pourquoi le personnage kiffe l'aviation et pourquoi il est si doué en mécanique… (soupir ?)

Ensuite on a droit à la compétition entre Blériot et Latham pour la traversée de la Manche, au meeting aérien de Reims en 1909, à la réunion aérienne d'Édimbourg en 1911, aux premiers pas de Sean Murray dans le monde de l'aéronautique malgré les quolibets de ses confrères anglais… et aux bêtises assez convenues et prévisibles de ses jumeaux à chaque étape du récit jusqu'à leur rencontre avec l'américain Bill Jackson le 23 décembre 1912 lors d'une échauffourée avec des troufions en permission…



Le cahier consacré au premier meeting aérien international était par contre assez intéressant lui ! blink
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Saint-Exupéry, tome 1 : Le Seigneur des Sables

Cette bd m'a déçue : même si elle permet de connaître un épisode méconnu de la vie de Saint-Exupéry, à aucun moment, elle ne fait preuve du lyrisme que j'attendais un peu, s'agissant de l'auteur de "Vol de nuit". J'en espérais peut-être trop.
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Saint-Exupéry, tome 1 : Le Seigneur des Sables

Ce livre m'a plu. Il raconte une des missions de Saint Exupéry dans le désert. Dans cette mission Saint Exupéry rencontre les maures et apprend leur langue. Ce livre est intéressant, je le conseille.
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Saint-Exupéry, tome 1 : Le Seigneur des Sables

Ce livre était très émouvant et m'a appris beaucoup de choses sur la vie de Saint-Exupéry.L'histoire remonte à l'époque ou Saint-Exupéry se fit embaucher par la compagnie Latécoère ,notamment le passage ou il tombe en panne au milieu du désert du Sahara.Je l'ai beaucoup aimé pour son explication détaillée des avions présent dans le livre.
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Saint-Exupéry, tome 1 : Le Seigneur des Sables

Saint-Exupery, le seigneur des sables (j'adore ce titre) est un très bon livre que je vous invite à vous procurer sans hésiter. Prenez place avec ces pilotes de légendes et revivez une partie de l'aventure de l'Aéropostale depuis chez vous !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Le vol des anges, tome 1 : Sean

"Le Vol des anges" est une série de fiction qui raconte le destin de la famille Murray, dans ses rapports et ses apports à l’aviation britannique, durant la première moitié du XXème siècle. Le premier et le second tomes nous font découvrir l’Écosse où réside la famille Murray et les développements de l’aviation dans les années qui précèdent la déclaration de la Première Guerre mondiale. Pour le volume de départ, on couvre les années 1905 à 1912, ce qui est l’occasion d’illustrer à la fois la traversée de la Manche par Blériot et le premier grand meeting aérien international de Reims, deux évènements de l’été 1909.



Dès le début du récit l’ingénieur écossais Murray est pris en grippe par lord Ascott, un Anglais qui dit détester les Écossais. On apprendra plus tard qu’il est un agent double : il a eu des responsabilités dans le contre-espionnage anglais et déçu dans ses ambitions, il s’est mis au service de l’Allemagne. Murray refuse de mettre ses compétences au service de l’armée de son pays, mais ses deux jumeaux sont amenés à se battre contre des soldats à Aberdeen. On se doute que pour éviter des ennuis à ceux-ci il va accepter, dans le second volume, d’être employé comme civil par les militaires britanniques. Les avions sont bien dessinés et la mise en page souvent originale s’adapte bien aux scènes d’aviation. Par contre les paysages tout le long de cette série sont très caricaturaux et généralement peu en phase avec ceux du terrain.



La seconde édition de cette BD, outre d’avoir confié la couverture à l’illustrateur du récit (contrairement à la première édition, ce qui fait que le style de dessin de la couverture et celui de l’intérieur du livre ne se ressemblaient pas du tout), fournit des pages documentaires sur le meeting de l’année 1909 tenu en Champagne.

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