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Citations de Céline Langlois Becoulet (85)


« Un divorce c’est comme si les deux époux mouraient à moitié l’un et l’autre » (Jean Dutourd)
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En l’espace de quelques petits jours, elle était devenue sa drogue, son oxygène, son essence vitale. Le simple fait de la regarder lui réchauffait le cœur, faisant naître en lui des émotions d’une puissance inouïe.
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Elle n’est pas destinée à devenir ton bêta mais ta femme ! Si jamais elle ne possède pas les critères requis, te détourneras-tu d’elle pour la laisser vivre auprès d’un autre ? Accepteras-tu de souffrir le martyre jusqu’à ton dernier souffle tout en sachant que tu aurais pu éviter ça ? Seras-tu prêt à mourir sans avoir accordé la moindre chance à votre amour ? Le temps, tout comme les informations que tu récolteras, ne changeront rien à l’issue finale. Elle doit devenir ta femme. Elle doit devenir un loup-garou. Elle doit être mordue. Il n’y a aucune autre option envisageable.
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Il faut que tu te rendes à l’évidence ! Si tu veux qu’elle ressente les mêmes sensations et qu’elle comprenne combien votre lien est précieux et indéfectible, elle doit devenir un loup-garou. Etre imprégné, ce n’est pas comme tombé amoureux, c’est beaucoup plus puissant. En tant qu’humaine,elle ne peut pas s’en apercevoir. Donc, tu t’arranges pour lui filer un rencard et tu la mords.
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Etre lié aussi profondément à une personne au point que ton bonheur, ton malheur, ta vie entière, dépend entièrement d’elle. C’est horrible !
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Il ne put détacher son regard de cette sublime créature. Pire que ça ! Son cœur battait la chamade, sa température grimpait en flèche, des picotements remontaient le long de sa colonne vertébrale et la fermeture Eclair de son jean menaçait de rompre à tout moment face à la terrible et brusque érection que cette apparition avait provoquée.
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« Il faut vivre pour écrire, et non pas écrire pour vivre » (Jules Renard)
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je ne possède pas l’âme d’une aventurière. Tout m’effraie : les araignées, l’obscurité de la nuit, les clowns, la maladie, les catastrophes naturelles... je ne suis vraiment pas du genre à foncer tête baissée à l’autre bout du monde pour explorer la forêt amazonienne ou nager au milieu des requins, même s’ils sont inoffensifs. Mes aventures à moi, ce sont de bons romans sous la couette et des séries TV sur mon canapé. Là, je suis comblée. Alors, autant dire ce que je m’apprête à faire ce soir tient du miracle... ou de l’inconscience.
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❝ Leyia, affalée sur la balancelle du perron, observait la lune avec nostalgie. Elle pensait à Loria. Plus de huit mois qu'elle n'avait pas vu sa soeur et tout autant qu'elle s'entraînait avec Paxton...❞
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Mon mari était un être exceptionnel, un cadeau du ciel, un miracle. Chaque jour, je mesurais la chance de l’avoir à mes côtés, lui et toute ma nouvelle famille.

Oui, je savais exactement qui était les Nazarov. Vadim était le parrain de la Joukovskaïa, une mafia puissante et redoutable, dont faisait également partie Viktor. Mais de tout cela, je n’en avais cure. C’était une famille formidable qui m’avait accueillie à bras ouverts, une famille que j’adorais et qui me le rendait bien, une famille unie et soudée comme les cinq doigts de la main. Bien sûr, je n’avais pas oublié mes parents et ma sœur, Irina, mais je pouvais désormais penser à eux sans avoir le cœur qui se déchire. Grâce à Vassili, j’avais retrouvé le goût de vivre et d’aimer. J’étais de nouveau heureuse.
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Tu te trompes, zvezda. Je ne te prends pas pour une petite chose fragile. Tu es simplement la personne la plus précieuse au monde pour moi, alors je veux te protéger et te rendre heureuse jusqu’à mon dernier souffle.
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Tout mon être était secoué de tremblements incoercibles. Durant quelques instants, je ne sus plus où j’étais, qui j’étais… Plus rien n’existait, hormis cet amant merveilleux qui venait de me faire vivre l’expérience la plus intense qui soit. Jamais personne ne m’avait fait jouir de cette façon. Le peu d’hommes qui avaient traversé ma vie m’avaient donné du plaisir, mais pas ainsi
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Des milliers de papillons virevoltaient dans mon ventre, un torrent de lave coulait dans mes veines, mon entrejambe pulsait frénétiquement, réclamant satisfaction.
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Vassili ne ressemblait aucunement à ces hommes à l’allure faussement rebelle et aux biceps saillants recouverts de tatouages dont bon nombre de femmes raffolaient. Il était plus dans la finesse, une beauté pure et céleste, presque irréelle. De ses épaules ni trop larges ni trop frêles à ses cuisses fermes et élancées en passant par son ventre plat, tout était parfait. Pas la moindre petite imperfection. Fascinant. Même si je m’efforçais d’éviter de fixer son entrejambe, mes yeux étaient irrémédiablement attirés par son sexe tendu qui se rapprochait.
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Ce baiser m’avait déjà profondément ébranlée, alors je n’osais imaginer la suite. Je poussai un cri quand il me souleva brusquement dans ses bras. Prête à protester, je me ravisai. Je devais le laisser mener la danse. Nous pénétrâmes dans une chambre, tout aussi splendide que le salon. Toujours des tons crème et prune, une épaisse moquette écrue au sol, des murs beiges agrémentés de quelques tableaux contemporains. Je n’eus pas le loisir d’analyser plus avant la décoration de la pièce car Vassili me déposa sur le lit avec une douceur infinie.
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Nos langues s’effleurèrent - la sienne avide et conquérante ; la mienne, timide et hésitante -  avant d’entamer un ballet langoureux, s’enroulant l’une autour de l’autre dans une ronde sans fin. Étourdie, je m’abandonnai pleinement à cette étreinte.
Ayant tout oublié de la gêne qui me paralysait quelques instants plus tôt, je nouai mes bras autour de son cou tandis que les doigts de Vassili couraient dans ma chevelure. Ce baiser,aussi tendre soit-il, débordait de sensualité, à tel point qu’une vague de chaleur naquit au creux de mes reins.
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Que ce soit sa proposition indécente, ses yeux voilés de désir ou son sourire enjôleur, je ne parvenais pas à le chasser de mon esprit. Heureusement, demain était mon jour de repos ; et j’avais fort à faire. Outre me rendre à la clinique, j’avais prévu de parcourir les offres d’emploi sur les différents journaux et de faire une halte au supermarché pour acheter quelques menues provisions.
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Au moment où nos regards se rencontrèrent, je frissonnai et croisai les bras sur ma poitrine, comme si ce geste pouvait me protéger de cet homme furieusement séduisant. Il m’adressa alors ce fameux sourire, celui qui devait faire tourner la tête de toutes les femmes. Désormais, cela ne faisait aucun doute, Vassili était en plein numéro de séduction.
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Cet homme me faisait penser à un prédateur, un prédateur redoutable... et être sa proie ne me rassurait pas du tout.
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Tout ce que je haïssais prodigieusement chez la gent masculine était réuni en un seul et même individu. Comme tout Casanova qui se respectait, il en profitait évidemment pour accumuler les conquêtes sans se préoccuper des cœurs qu’il brisait au passage. Quand une femme adoptait ce genre de comportement, elle était jugée sévèrement et on la traitait de traînée, de nymphomane et d’un tas d’autres adjectifs peu glorieux. En revanche, lorsqu’il s’agissait d’un homme, les qualificatifs devenaient beaucoup plus modérés, tolérants, presque admiratifs ou envieux. On disait de lui qu’il était un tombeur, un don Juan, voire un débauché dans le pire des cas. En ce qui me concernait, c’était exactement du pareil au même.
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