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Hybrides, tome 1 : Rage de Laurann Dohner
L'expression sur le visage de Rage collait au nom qu'il s'était choisi. Il lui va comme un gant, estima la jeune femme.
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Hybrides, tome 1 : Rage de Laurann Dohner
L'expression sur le visage de Rage collait au nom qu'il s'était choisi. Il lui va comme un gant, estima la jeune femme.
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Hybrides, tome 5 : Brute de Laurann Dohner
Il suivit la musique et s’arrêta sous l’arcade menant au salon. Becca était assise au bar, accoudée devant une bouteille et un verre minuscule. Comme si elle devinait sa présence, elle tourna la tête. Il vit à son sourire et à ses yeux brillants qu’elle avait trop bu. Maladroitement, elle lui fit signe d’approcher. — Salut, beau gosse. Tu veux un verre ? Elle avait la voix pâteuse, et la manière dont elle venait de l’apostropher le mettait mal à l’aise. — Je m’appelle Brute. Je ne connais aucun Hybride capable de se choisir un tel nom. — Je sais comment tu t’appelles, répliqua-t-elle avec un petit gloussement. Tu es mignon et tu le sais, hein ? Elle le trouvait attirant. Cela le laissait sans voix. — Tu veux un verre ? répéta-t-elle en tapotant le siège voisin du sien. Ça ne brûle même plus le gosier. Il fit un pas dans la pièce. — Je ne bois pas d’alcool, mais merci quand même. Tu en as bu combien ? — J’en sais rien. (Elle bougea un peu sur son siège et manqua de tomber). Pas assez, en tout cas. Je suis encore consciente. — La consommation d’alcool rend ivre, émousse les réflexes et fausse la logique. Elle éclata de rire. — Tu es trop mignon. Il haussa les sourcils. Personne ne lui avait encore dit cela. On l’avait traité de bête féroce ou de salopard, entre autres termes fleuris, mais jamais on ne lui avait fait un tel compliment. Il commençait à se faire du souci pour l’équilibre mental de la jeune femme. — Tu ferais peut-être mieux d’aller te coucher. Il paraît que les choses paraissent toujours plus roses le matin. — Il est trop tôt. Viens par là, l’invita-t-elle en tapotant de nouveau le tabouret. Je vais pas te mordre. — Tu n’as pas peur que ce soit moi qui te morde ? Il ne put résister à l’envie d’entrouvrir les lèvres pour lui montrer ses canines, mais, curieusement, elle ne semblait pas en avoir peur, contrairement à tous les autres humains qu’il avait rencontrés. + Lire la suite |
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Hybrides, tome 4 : Justice de Laurann Dohner
N'oublie pas que je veille sur tes arrières... et sur le reste.
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Hybrides, tome 3 : Vaillant de Laurann Dohner
- J'aime l'idée que vous serez tous les deux à des kilomètres et des kilomètres de moi quand je me coucherai ce soir. Je n'ai pas dormi huit heures d'affilée depuis que vous vous êtes installés à l'hôtel. Elle est petite, Vaillant. Tu devrais y aller un peu mollo sur le sport en chambre. Tammy et Vaillant le fusillèrent tous deux du regard. - Jamais, répondirent-ils en chœur. |
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Hybrides, tome 1 : Rage de Laurann Dohner
- Nous sommes libres. Tout nous est permis, désormais, à condition qu'on le veuille vraiment.
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Hybrides, tome 1 : Rage de Laurann Dohner
Je t'aime. Jamais je n'aurais cru qu'un lien aussi fort puisse exister entre deux êtres. C'est l'homme de ma vie, je veux qu'on soit tout le temps ensemble. Ellie était certaine, désormais d'avoir fait le bon choix en tournant le dos à sa vie d'avant.
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Hybrides, tome 6 : Colère de Laurann Dohner
Colère prit une profonde inspiration. Sa décision était prise. J'en suis capable. Ma volonté est plus forte que le conditionnement. Jamais je ne ferai de tort à Lauren, cette certitude va m'aider à rester maître de moi-même.
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Hybrides, tome 4 : Justice de Laurann Dohner
- Le désir n'est pas une mauvaise chose, et moi aussi, j'en éprouve.
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Hybrides, tome 1 : Rage de Laurann Dohner
- Nos femmes ont l'air de l'apprécier. Et moi donc, se retint d'avouer Rage. Elle m'obsède, je ne pense qu'à elle. Elle peuple mes rêves... quand j'arrive à fermer l'œil. |
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Hybrides, tome 14 : Deuil de Laurann Dohner
- C'est une vraie tête de mule. Maintenant qu'elle est lancée, on ne peut plus lui faire changer d'avis. Deuil ne l'attaquera pas, affirma-t-il, même s'il n'en semblait pas très sûr. Les sangles l'empêchent de bouger et je resterai là en permanence. Minuit prit la main du docteur. - Laisse-la faire. Nous, on ne peut rien pour lui. |
Ce film de Francis Girod (1984) est l'adaptation du roman de Françoise Giroud, J.L. Trintignant y joue le président de la république