Citations de Charlène Law (108)
J’ai passé ma vie entière à te chercher, à t’aimer en solitaire et à espérer pouvoir un jour voir dans tes yeux cette lueur qui a illuminé ton si joli visage ces derniers jours. Cette nuit, tu m’as donné le plus beau cadeau qu’un homme puisse avoir, même si je ne le méritais pas. Je peux désormais partir de ce monde en paix. Ne m’en veux pas si je te quitte chaque matin. Ma vie n’est pas faite pour toi. Ça serait purement égoïste de ma part de t’emmener.
C’est bien avec lui que je viens de passer la nuit, la plus belle de toutes. Je sens encore ses mains sur ma peau. Je sens encore l’odeur de nos ébats sur les draps. Son effluve flotte dans la chambre et fait naître en moi des papillons aux ailes légères. Le sourire aux lèvres, je me retourne doucement.
Nos corps en fusion, nous atteignons l’orgasme ensemble le souffle court, le cœur battant. Il resserre ses doigts dans les miens et enfouit son visage dans mon cou. Mon cœur résonne en moi comme une douce chanson mélodieuse. J’aime cette sensation. J’aime le sentir contre moi. J’aime ce mec tout simplement.
Mes yeux se révulsent de plaisir. Une fois au fond, il s’immobilise pour me laisser le temps de dompter sa grosseur. Son sexe puissant et imposant me comble. Doucement, il entre et sort tout en me mordant les seins. Ses lèvres laissent des traînées humides sur ma peau brûlante. J’en demande davantage en lui chuchotant des mots sucrés à l’oreille. La cadence s’accélère. Il me donne tout. En nage, peau contre peau, nous nous donnons corps et âme comme si le temps nous était compté.
Au placard les souvenirs, au placard le passé. Place au présent. Aaron se plaque contre mon sexe afin de me faire sentir qu’il a envie de moi. Je réponds en me cambrant contre sa verge. Il gémit dans ma bouche. J’enroule mes jambes autour de sa taille lui offrant le champ libre.
Comment voulez-vous qu’à l’adolescence, à l’âge où on se cherche, j’arrive à accepter une responsabilité aussi lourde à porter, le décès de mes parents et la disparition de l’amour de ma vie ?
Mon amour pour lui est toujours intact comme au premier jour, voire encore plus fort. Je suis tellement heureuse qu’il m’ait trouvée que la sensation que je ressens est indescriptible. Quand je le regarde, je suis à deux doigts de lui demander de me pincer pour vérifier si je ne rêve pas.
L’amour peut-il nous faire autant souffrir ? Je l’aime à en crever. Je l’ai toujours aimé. Ses mains se glissent dans mes cheveux délicatement. Il m’embrasse encore et encore. Mon cœur se déchire.
Ça fait mal bordel !
Je me perds dans les profondeurs de ses yeux, les souvenirs me submergent. Ils me poignardent en plein cœur. J’ai tellement aimé et souffert à la fois à cette période de ma vie que par sécurité j’avais installé un rempart que Aaron vient d’abattre. Plus aucun sentiment, plus une once d’amour n’arrivaient à m’atteindre depuis sa disparition. J’ai survécu à ce vide béant qui s’était installé en moi… jusqu’à maintenant.
Je pense que l’alcool était pour beaucoup dans l’attitude de son père, car à chaque fois qu’il battait son fils, le jour suivant il faisait tout pour se racheter. Je me souviens que j’avais à plusieurs reprises voulu le dénoncer aux flics, mais Aaron m’en empêchait. Il disait qu’il ne voulait pas que sa mère subisse les affres d’un procès. Il l’aimait trop pour ça…
C’est fou ce qu’on peut changer avec les années ! C’est devenu un homme ultra-sexy. Je fonds encore plus que lorsque j’étais adolescente. Et pourtant ! Je me souviens encore de notre première fois. Après des mois de « je te veux, moi non plus », nos hormones juvéniles ont sauté le cap une après-midi d’été. J’étais folle amoureuse de lui. On avait 15 ans à l’époque. Il était ma première fois et je ne l’oublierai jamais. Entre ses bras, le monde cessait de tourner. J’oubliais tout. J’étais prête à tout pour lui.
J’aurais déplacé des montagnes pour que son père abatte sa rage sur quelqu’un d’autre que lui. Je pense que l’alcool était pour beaucoup dans l’attitude de son père, car à chaque fois qu’il battait son fils, le jour suivant il faisait tout pour se racheter.
Il m’allonge en douceur sans me quitter des yeux. Son regard ténébreux me renverse. Il a toujours eu ce don, un simple regard me retourne le cœur. Son corps large et puissant me surplombe pendant que je me glisse sur le matelas. Son odeur me brise et m’émoustille à la fois. Cet effluve qui envahit la pièce m’avait vraiment manqué.
Je suis dévastée par l’ouragan qui vient de me frapper. Mon cœur bat encore à se rompre à l’intérieur de ma poitrine. Ça faisait un bail que je n’avais pas pris un pied pareil. Rien à voir avec les plaisirs solitaires que je m’offre en temps normal sous la couette avec mon truc en latex violet. Je n’ai plus aucune force.
Mon amant ouvre les portes du paradis quand son sexe atteint ce point que je pensais mort à jamais. Mes dents se referment sur sa chair. Tous les muscles de mon corps se contractent entre ses bras. Je m’époumone pour extérioriser mon plaisir. Un courant électrique traverse mes jambes pour aller crisper mes orteils.
Son corps dominant ne me laisse aucune chance de sortir vivante de nos ébats. Ses hanches me donnent des coups de reins secs et vigoureux. Je perds pied. Il me pilonne sans relâche. Je me désagrège sur place. Son corps musclé me soulève de terre. Je flotte pendant qu’il continue de m’anéantir. Sa respiration saccadée me confirme qu’il est à fond. Il donne tout. Le nez enfoui dans mon cou, il garde le rythme sans faiblir .
Il est sauvage et j’aime les hommes virils. D’une main experte, il retire ma culotte pendant que je suis pendue à ses lèvres. Tout va si vite que je n’ai pas le temps de savourer. Nos respirations se mélangent, se confondent. Je baisse son boxer et libère son sexe tendu. Je n’en peux plus, je veux le sentir en moi. Je veux qu’il soulage cette pression qui s’est installée entre mes cuisses depuis qu’il a retiré son tee-shirt.
Sa bouche me mange et me dévore. Ses lèvres laissent des traînées humides sur ma peau. Il me soulève une cuisse que j’enroule sur sa hanche. Son sexe dur se plaque contre mon ventre. Bordel, il est si puissant que je ne crois pas pouvoir survivre à ça.
Je fais la maligne, mais j’ai une armée interne qui me retient pour que je ne me jette pas à son cou. C’est à mon tour d’avoir du mal à avaler ma salive. Je crois même que je bave. Tout en douceur, son jean tombe de ses hanches pour mon plus grand plaisir.
Tu étais si belle dans ton désarroi que j’ai préféré garder l’anonymat. Je pouvais observer tes gestes et tes réactions au naturel. C’était une aubaine pour moi que tu ne m’aies pas reconnue. J’ai pu te voir comme tu es vraiment.
Cet homme est recherché par la police, mais malgré ça je ressens toujours la même attirance. J’ai des millions de questions à lui poser or, pour le moment, je n’ai qu’une envie, c’est de sentir son corps contre le mien.