Chip Zdarsky

C'est l'histoire de Syd Dallas, un célèbre dessinateur de comics, créateur de « The Domain », dont l’industrie de divertissement s'est emparée du super-héros iconique et légendaire. Malheureusement pour lui, Syd n’a plus aucun droit sur sa création. Alors qu’il vieillit, ses fils Miles et David tentent de le convaincre de défendre leur héritage familial...



Ce comics aborde des thèmes larges tels que les relations familiales, l'argent, la créativité artistique, la bataille juridique, la réussite, l'héritage, la responsabilité et l'authenticité. En explorant l'impact de l'industrie du divertissement sur les créateurs de comics, l’auteur pose des questions importantes sur la relation entre l'art et le commerce tout en examinant les complexités de la relation entre les créateurs de comics.



L'histoire est agréable à suivre, c'est rythmée, fluide avec une intrigue captivante et de l'humour. Graphiquement, c'est moderne et fin, avec un mélange de couleurs plus ou moins vives qui se détachent des teintes plus sombres, ce qui donne une belle esthétique. Les personnages sont intéressants, nuancés et attachants. Syd Dallas est un personnage complexe, tourmenté par le fait d’avoir perdu sa création et sa relation compliquée avec ses fils, il n'en reste pas moins un côté de lui assez positif. Les fils de Syd sont unis, mais aussi en conflit sur la façon dont leur père doit gérer la propriété de sa création.



En bref, "Public Domain" est un comics divertissant et intéressant qui examine les complexités de la création artistique, de la place des artistes, des droits d'auteur, et de l'héritage familial. Ce début d'histoire est excellent. Hâte de découvrir la suite !
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Voilà bien longtemps que je n’avais plus lu ce genre de bd. Oui vous savez le genre un peu gore, avec du sang qui gicle et des têtes qui volent.

Ici il s’agit de malédiction. Un sort venu du moyen âge, à cette belle époque où la chasse aux sorcières était devenue le sport mondial de cette soit-disant bien-pensance cléricale. Bref, ici là malédiction est concentrée dans une pièce de monnaie. Et il est sacrément puissant le sort. Nous ne savons pas tout de suite d’où il vient puisque les différentes histoires nous promènent du passé vers un futur lointain, jusqu’à revenir à la toute première, celle où la malédiction est lancée.

Le cheminement est plutôt basique puisqu’il s’agit de possession et le résultat est que ça finit toujours en film d’horreur sanglant.

Ceci dit c’est plutôt bien fait. Les dessins sont sombres à souhait et l’atmosphère lugubre . Il s’agit du tome 1 donc on peut présager que cette pièce de monnaie n’a pas fini de faire des dégâts, jusqu’à ce que peut-être elle soit exorcisée. J’aimerais bien savoir comment ça finira.



Merci à Babelio et aux éditions Huginn et Muninn pour ce partenariat.

Silver Coin nous présente une suite d’histoires indépendantes les unes des autres, liées par un même objet, une mystérieuse pièce qui bouleverse la vie de tous ceux qui la possèdent.
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Avec Public Domain, Zdarsky ranime l'un des débats les plus houleux de l'industrie, la reconnaissance à la fois intellectuelle et artistique de toutes ces créations et la juste rémunération des artistes. Mais il soulève aussi une autre réalité propre à ces métiers de l'ombre, l'assentiment passif de tous ces "ouvriers" qui ne voulaient pas faire de vague, de peur de perdre leur emploi, acceptant finalement que tout reste tel quel.
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Après la lecture de ce troisième volume, je reste globalement très mitigé sur cet event.

Je ne retiens rien de mémorable et j’ai presque l’impression que l’écriture de Zdarsky s’essouffle. L’arc principal de Devil’s Reign n’était pas désagréable, mais n’a rien proposé d’innovant. Finalement, rien ne change réellement à la fin du récit, ou les petits changements sont insignifiants. De plus, la résolution concernant les jumeaux Stromwyns est extrêmement décevante et expédiée en un rien de temps. Toute la partie sur le Docteur Octopus était inutile et en décalage complet avec le reste des événements. Parmi les tie-in, j’ai apprécié celui sur les X-Men et notamment Emma Frost que je trouve très charismatique.



Je garde malgré tout l’envie de savoir comment ce duo (Zdarsky et Checchetto) terminera ce run avec le combats des Daredevil face à La Main.

Les 300 pages de cet album se parcourent avec plaisir, notamment grâce au travail solide et sans esbroufe du dessinateur Carmine Di Giandomenico.
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A mi-chemin entre bande dessinée et comics, voici une proposition originale.

Graphiquement, le style est très expressif avec des couleurs vives sans recherche de réalisme entrecoupé de vignettes plus nuancées pour les retours en arrière. Le découpage est fluide et mêle dialogues et action de manière dynamique.

C'est le scénario qui fait la différence, s'attaquant simultanément à plusieurs aspects de la vie d'artiste, fantasmés ou réels.

Écrivain raté, bédéiste un peu en manque de reconnaissance, fans, il brosse le portrait d'une galerie de personnages attachants à souhait.

Leur psychologie est fine, non manichéenne malgré une action située dans l'antre de la superpuissance et de ses héros emblématiques.

Tout cela respire la bonhommie grâce un ton résolument optimiste et un certain humour subtil, ce qui fait un bien fou.

Bravo et j'ai hâte de voir la suite...

C’était tropppp bien ! J’ai beaucoup aimé ! On va suivre Newburn, ancien policier devenu détective privé, enquêter sur une succession d’affaires… finalement +/- reliées 🧶



Le dessin et les couleurs sont très cool et s’accordent bien avec l’histoire. Les personnages principaux sont profonds et j’ai aimé la complexité de l’intrigue, le fil conducteur qui nous emmène dans un New York envahi et corrompu par les gangs 👀



C’est vraiment bien mené et on ne s’ennuie pas. C’est un tome 1 et un second volet est prévu, mais pas encore de date à ce jour ✨



Si vous aimez les œuvres un peu thriller sombre, celle-ci devrait vous plaire. En tout cas, je ne peux que vous conseiller d’y jeter un œil
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Après un premier volume décevant, je suis content d’avoir davantage réussi à me plonger dans le récit. L’event se poursuit avec des rebondissements intéressants. Les premiers tie-in s’en sortent plutôt bien (Woman Without Fear et Winter Soldier notamment).

Je ne peux pas en dire autant de l’intrigue centrée sur le Docteur Octopus que je trouve ratée. Quand je lis du Daredevil, je recherche des histoires réalistes et urbaines donc cette dimension cosmique multiverselle est complémentent hors de propos.



Le prochain et dernier volume de cet event sera décisif pour le faire basculer parmi les réussites ou les échecs.

Public Domain est une bande dessinée originale et engagée. Elle aborde le thème du droit d’auteur dans le monde des comics avec intelligence et humour.
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Zdarsky, qui poursuit la collaboration entamée par son prédécesseur avec le dessinateur espagnol Jorge Jimenez, a la bonne idée de ne pas en garder sous la pédale et d’embrasser son nouveau job avec détermination en poussant tout de suite Batman dans ses retranchements.
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Un polar noir qui met en scène un ancien flic devenu privé dans une ville de New-York aux mains des organisations mafieuses.
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Après le run de Tynion IV, c'est au tour de Chip Zdarsky de devenir le scénariste attitré de Batman (alors qu'il assure en parallèle l'écriture de Daredevil, chez Marvel !). Et autant le dire, il fait un démarrage plutôt réussi.
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Un homme, élégant, long manteau noir, tempes grises, imposant... Il arrive sur une scène de crime bien qu'il n'ait pas l'air d'un flic, on le tolère, on le laisse faire, on le respecte. Qui est donc ce Easton Newburn ? Un détective privé ? Un homme de main ?



Il est un peu tout ça à la fois, garant d'une paix de dupes entre les gangs new-yorkais, il enquête pour le compte des uns et des autres, chacun le connait et sait qu'il est intouchable. C'est aussi un ancien flic, ceci explique cela...



Ce premier tome d'une nouvelle série réunit deux maîtres du comics us, Chip Zdarsky plante le décor sombre des bas-fonds new-yorkais. Un récit bien mené, qui ne dit pas tout, émaillé d'extraits du journal d'Emily, une jeune black rencontrée au début de l'enquête et que Newburn va prendre sous son aile.



La personnalité de ce personnage complexe reste mystérieuse... Quel jeu joue-t-il ? La police locale tente de le faire travailler à son service, comment faire pour être des deux côtés de la loi ? Son aura d'intouchable semble lui tourner la tête...



Le dessin de Jacob Phillips offre un encrage noir profond et des couleurs qui jouent avec la lumière. Les pages sont marquées par la présence de Newburn, un anti-héros à la manoeuvre, au centre de tout, qui semble jouer des uns et des autres.



Une bonne série qui commence, des ingrédients noirs bien tenus, une bonne part de mystère autour d'un personnage fort.... ça promet ! A ne pas manquer, surtout à 10 euros !

Cet album raconte l'histoire de la jeunesse de Bruce Wayne en explorant les origines du personnage et son évolution jusqu'à devenir Batman. Suite à la tragique mort de ses parents, tués devant lui dans une rue sombre de Gotham City, Bruce est en colère, il a du mal à s'intégrer et à contenir sa rage dans cette société où il grandit. Adolescent, il décide de parcourir le monde pour apprendre auprès des meilleurs et devenir le plus fort afin d'empêcher que d'autres ne subissent le même sort que ses parents.



Nous retrouvons bien les marqueurs que nous connaissons de Batman avec cette histoire qui se concentre sur la quête initiatique du jeune Bruce Wayne. Bruce doit faire face à ses propres démons intérieurs et notamment sa culpabilité quant à la mort de ses parents, moment traumatisant qui va le pousser à devenir Batman. le récit explore la psychologie complexe du héros, son état mental et émotionnel, ses motivations profondes pour combattre le crime, son engagement indéfectible pour la justice et son refus de prendre la vie. Pour servir ce scénario riche et prenant, le dessin esthétique de Carmine di Giandomenico fait plaisir avec de belles scènes d'action.



Quête initiatique, apprentissage et évolution, nous avons passé un bon moment avec ce comics. L'histoire intéressante aborde ce voyage aux nombreuses expériences qui permettra à Bruce de devenir le chevalier noir. C'est un album qui sera une bonne porte d'entrée pour ceux qui ont envie de découvrir les origines de Batman.
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Un juge de paix très particulier ce Easton Newburn, celui des clans de la mafia new-yorkaise, un redoutable détective privé auquel on confie les cadavres qui dérangent et qui pourraient transformer la ville en champ de bataille.
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Nouvelle année, nouvelle série pour Batman. Aux commandex du nouveau récit de l'ère Infinite, Chip Zdarsky ! Succédant à James Tynion IV, l'auteur canadien s'en donne à cœur joie en nous montrant un chevalier noir acculé par son propre esprit...
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Newburn est un ancien policier qui a quitté les forces de l'ordre pour devenir détective privé indépendant travaillant pour les grandes familles du crime organisé de New York. Ce statut lui confère une immunité, le protégeant à la fois de la police et des clans criminels pour lesquels il travaille.



Dans ce premier tome, nous suivons Newburn dans ses différentes enquêtes. Entre la police, le crime organisé, la mafia, les voleurs et les meurtriers, il est constamment accablé de problèmes à résoudre. Nous découvrons ainsi ce personnage énigmatique et à la morale quelque peu douteuse, accompagné d'Emily, sa nouvelle assistante dont nous suivons le journal de bord.



Le scénario de style classique est attrayant avec de nombreux rebondissements. L'histoire se compose de courtes investigations qui nous permettent d'en apprendre davantage sur les personnages ainsi que sur leur histoire personnelle. L'atmosphère est sombre, rappelant les vieux films américains des années 40-50. Les rues de New York sont inquiétantes sous la pluie battante et les règlements de comptes se multiplient.



C'est un comics efficace et divertissant, dont après avoir tourné la dernière page, on attend avec impatience la suite et fin dans la seconde partie?
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Un premier volume qui installe la série, c'est vrai, mais qui ne se contente pas que de ça. On découvre un peu plus de choses sur Newburn, sur ses codes de conduite, sa façon de faire, mais aussi sur l'univers qu'il s'est progressivement construit en amont ! C'est vraiment une lecture très prenante, qui ne joue pas uniquement sur son concept.


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Newburn tome 1 est un récit policier très agréable dont il serait dommage de se priver à un tel prix. Si l’intrigue ne propose rien de bien clinquant, on retiendra le charisme de son protagoniste principal et l’on se délectera de la mise en oeuvre de son intelligence roublarde.
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