A priori en opposition avec les séducteurs-dragueurs-forceurs-agresseurs, il y a ceux que nous croyons formidables : les "nice guys". [...] Mais à en croire la journaliste Pauline Ferrari, ces "mecs sympas" sont "des modèles de masculinité toxique cachée, des mecs qui apparaissent gentils, bien en société, qui semblent avoir de bonnes intentions et, en fait, pratiquent des techniques de manipulation et de contrôle de la femme qu'ils ont en face d'eux en utilisant l'argument de "Je suis gentil donc je ne comprends pas pourquoi elle ne couche pas avec moi." Au-delà des communautés masculinistes, c'est très ancré chez les mecs qui ont grandi avec ce type de modèles et ne comprennent pas pourquoi, alors qu'ils sont gentils, ça ne "marche pas" avec les filles." (87)
Quelle que soit votre situation, ne vous sentez jamais obligé.e d'essayer pour rentrer dans les normes.
Le féminisme, c'est faire comprendre aux hommes que nous sommes leur partenaire et pas leur ennemie, ni leur objet ou leur punching-ball.
« Je ne pense pas qu'une chanson puisse changer les choses. Par contre, elle peut incarner le changement. »
En s'inspirant continuellement de la littérature et en innovant sans cesse, Serge Gainsbourg a finalement réussi son "alchimie du verbe" : il a changé son art mineur en art majeur et transmute la chanson en poésie.
Surtout, la grande différence, c'est qu'un chanteur qui vieillit devient très beau, alors qu'une chanteuse qui vieillit, on la range chez elle. (...) On n'admet pas qu'une femme vieillisse.
En tournée, 90% du temps, je suis la seule femme sur scène.
« Je pense que la musique peut éveiller les consciences, donner de la force. »