Chrys Millien

Je ressors un peu déçu de cette très, trop, courte lecture. Le récit de Jules Verne aurait pu donner lieu à plus d'exotisme, plus de pages consacrées aux pays traversés. En revanche, le dossier est plutôt bien fait, mais là encore, trop succinct à mon goût. Il y aurait beaucoup plus de choses à dire sur ce roman. Mais puisqu'il s'agit de faire découvrir les classiques aux jeunes générations et qui sait, donner envie de les lire, gageons que le pari soit réussi !

Voici encore une adaptation intelligente d’une œuvre classique en bande dessinée. Ce n’est d’ailleurs que le premier volume d’une série éditée par Le Monde et les éditions Glénat.

L’histoire est respectée, même si bien sûr les impératifs du format impliquent une adaptation un peu simplifiée du texte.

Le roman, est à l’origine, à la fois la démonstration des capacités de l’homme volontaire et un livre d’histoire, de sociologie, qui décrit, même succinctement les sociétés humaines, l’évolution du monde, des transports par exemple.



C’est une belle idée d’autant que les dessins sont bien réalisés, agréables et cela pourrait peut-être donner à des lecteurs occasionnels l’envie de découvrir des auteurs comme Jules Verne, aujourd’hui un peu délaissés.

Calec continue de lire les récits de "Tanguy la vie dure", un pilote qui a bourlingué d'aventures et aventures. Après un court passage dans un cirque volant à faire des acrobaties aériennes, Josef devient pilote de la toute jeune aéropostale.



Un tome intéressant qui nous retrace les débuts de l'aéropostale, de la ligne aérienne livrant les courriers jusqu'en Afrique, ainsi que des pilotes d'exception qui l'ont fait vivre.

Très intéressant mais un poil trop technique. Avec toutes les explications historiques nous perdons un en aventure et en action. C'est intéressant de découvrir l'aventure de l'aéropostale à travers le périple de Josef, et cela comblera parfaitement ceux qui sont mordus d'aviation, pour ma part j'aurai aimé quelque chose d'un peu moins scolaire.

Le dessin au trait classique est impeccable.

Premier cru 2023 de la série Alix, La reine des Amazones tente de renouer avec ce qui a fait le succès de la série à ses débuts, il y a bien des années.

Le titre en dit déjà long : il va être question des Amazones mais comme l’exige la série, il ne s’agira ni d’une approche historique ni mythologique mais de servir une intrigue dans laquelle Alix (mandaté par César, comme d’habitude) va jouer un grand rôle.



Nous allons ici avoir droit à une intrigue classique mais qui nous laissera avec de très agréables moments, un retournement de situation et lorsque l’heure du bilan est arrivée un constat plus que positif.

Le démarrage sera d’ailleurs à l’image du reste de l’album : dynamique et sans temps mort. Le temps filera à une vitesse incroyable dans ces quelques planches.



Il est vrai qu’il faudrait ici et là reconnaître quelques faiblesses : scénario convenu, l’identité du grand méchant qui ne surprendra personne et le sentiment dans l’ensemble, d’avoir affaire à une intrigue cousue de fil blanc. Mais tout cela passe étrangement bien.



Question dessins et mise en page, l’approche sera quant à elle, plutôt contemporaine. Le style graphique de l’auteur original est assez bien respecté mais pas sa mise en page. Il faudra ici s’attendre à des textes relativement courts, facilitant donc la lecture.



En somme voici donc un bon cru pour les albums de la nouvelle génération, à condition bien sûr d’accepter les choix pris pour rendre la série plus actuelle.

Nous continuons de suivre les aventures aériennes de Tanguy la vie dure, qui n'est encore, ici, que Joseph .

Il est maintenant un jeune homme qui ne rêve que de voler dans un monde où les ténors du manche à balais sont les pilotes de l'aéropostale. Après un court passage dans une équipe d'acrobaties aériennes, notre jeune as décide de laisser là sa compagne afin de poursuivre son rêve dans la toute jeune compagnie du courrier aéroporté.

Les rebondissements sont nombreux et intéressants mais, comme dans Tramp, les connaissances techniques sont un atout pour comprendre les dialogues en profondeur (heureusement que le petit lexique est présent en fin de tome mais je trouve que ça 'casse' un peu la lecture de devoir retourner le consulter toutes les trois bulles).

Côté dessin, le trait très 'ligne claire' est très réussi.

En 1917 Josef est un jeune fils de Pasteur vivant en Afrique (en Deutsch-Ostrafrika). Il apprend a soigner et à voler avec son père au-dessus des plaines d'Afrique mais en lui bouillonne déjà le sang d'un révolté et d'un aventurier. Cette année de 1917, alors que la 1ere guerre mondiale fait rage, va lui offrir ce changement de vie qu'il appelait de ses voeux mais qui aura un gout amer.

Voici comment débute l'aventure de l'aviateur, personnage plus que secondaire de la série Tramp.

Personnellement je ne me souvenais pas du tout de "Tanguy-la-vie-dure" que Yann Calec rencontre brièvement. La série mère est rappelée par de court passage au début et à la fin de la BD. Car c'est en même temps que notre commandant que nous découvrons la vie de cet aviateur.



Le personnage semble avoir de quoi permettre aux auteurs d'écrire de belles aventures. Le début reste un peu banal : un jeune qui se rebelle d'un père pasteur un peu sévère, qui fait ses premiers mauvais choix.

On sent quand même chez notre héros quelque chose de plus noir qui sera peut être plus développé dans les autres tomes.



Le dessin est clair, simple. Un peu trop lisse surement pour vraiment donner une âme à cette série.

Le Tour du monde en quatre-vingt jours de Jules Verne est le premier volume d’une collection publiée par le Journal Le Monde aux éditions Glénat. La collection a été élaborée en relation avec des professeurs de français afin de faire connaître les grands classiques de la littérature française et mondiale. Ce premier tome est loin d’être représentatif du reste de la collection.



La première de couverture est impressionnante. Elle est réussie et donne clairement envie de lire ce qui suit. Hélas, très rapidement les choses se gâtent. En effet, il est curieux de constater qu’il ne s’agit pas des personnages que nous allons suivre ! La surprise laissera d’ailleurs rapidement la place à la déception car contrairement à ce qui est annoncé, le duo ne passera pas par l’Égypte…



Si l’histoire se suit avec plaisir, elle n’en reste pas moins marquée par quelques points faibles assez désagréables. L’intrigue se perd dans une introduction assez longue qui fait perdre pas mal de temps. Ce retard au démarrage se paye par des impasses (ainsi le passage de nos héros par Paris réduit à quelques allusions) et des raccourcis (mais d’où sort Fix ?). Les dernières planches sont également larmoyantes… alors que celles qui précèdent donnent l’impression de filer à toute allure. Certes le rythme s’accélère, mais tout de même… la mise en scène donne matière à réflexion.



Certains dessins manquent de finesse. Les traits des personnages ne sont pas toujours très précis. En revanche, les paysages sont plutôt sympathiques à suivre, bien qu’assez simplistes. Hélas, compte tenu des choix effectués pour le scénario, il ne s’agira pas vraiment d’un tour du monde. Seuls certains épisodes sont ici mis en avant. Il aurait été plus pertinent de suivre les pérégrinations de nos amis sur une carte, quitte à sacrifier quelques planches. La première de couverture le laissait pourtant espérer…



Sans être exceptionnel, ni une catastrophe, cette adaptation n’est pas une grande réussite. Si le travail d’ensemble reste de bonne facture, il s’en tire avec l’indulgence du jury (il n’y qu’un seul auteur au stylo et au crayon). Dommage, car cela risque de refroidir l’engouement pour une collection qui mérite d’être connue.

Alix est à Thelassinique, en Macédoine, pour participer à une course de char. Il doit concourir contre Delia, reine des amazones. Et dans la région la tension est palpable entre cette femme forte et le gouverneur romain de cette province.



Un Alix d'un bon cru avec un scénario simple mais clair et efficace. L'enquête est bien amenée, la tension grimpe progressivement.

Le dessin est de belle facture. Une ligne claire soignée et précise jusque dans les décors.

Nous retrouvons Jozef, alias "Tnaguy la vie dure' à Paris où il s'est réfugié avec sa famille après leur départ d'Afrique.

La vie qu'il y mène est très loin de ce dont il avait rêvé mais il ne manque pas d'idées et parvient à contrer le destin et à avancer vers son but : voler.

Ce tome est moins abouti que le précédent. Si le dessin ne démérite pas, j'ai trouve qu'il y avait des problèmes de rythme. C'est assez monotone et plat, ça manque d'un peu de tension.

J'ai toutefois aimé cette intrusion à Paname avec ses escrocs, ses souteneurs et ses hommes de main haut en couleurs.

Dans cette nouvelle aventure, Alix et Enak se rendent en Macédoine, à Thessalonique.

Alix participe et remporte une course de chars, devant Délia, la reine des amazones, peu habituée à se faire devancer.



Mais la ville est aussi en proie à une vague d'enlèvements de jeunes filles, et la situation vient de prendre une autre dimension après le meurtre d'une aubergiste.



Carbo, le gouverneur romain en place ne porte que peu d'intérêt à cette situation, et préfère garder ses troupes pour assurer sa protection plutôt que de rassurer la population, pour laquelle, il n'a que du mépris.



Mais quand Enak et Astéria, la fille de son ami Hémon disparaissent à leur tour, Alix décide de prendre les choses en main, et l'enquête à son compte.

Tous les indices semblent indiquer qu'ils sont captifs dans la montagne, chez les amazones.



Un très bel album, une intrigue qui tient la route de bout en bout, et une situation géopolitique dans laquelle on n'a pas trop de mal à se retrouver.

Une belle surprise !

"Le tour du monde en 80 jours" de Jules Verne, adapté ici en bande dessinée par Chrys Millien, est une jolie réussite.



Avec des couleurs plutôt pâles, les graphismes sont détaillés, et retranscrivent assez bien l'atmosphère de l'œuvre originale. C'est en effet le temps écoulé qui dirige l'histoire et on le ressent assez bien. J'ai également apprécié les diverses expressions des personnages, certaines faisant parfois penser d'ailleurs aux mimiques de certains mangas.



Dans l'ensemble, cette adaptation est très fidèle à l'œuvre de Jules Verne. C'est forcément synthétisé, mais les évènements forts de l'histoire sont tous là.



Le dossier pédagogique à la fin de l'album (biographie de Jules Vernes, contexte socio-économique de l'époque, etc) est très intéressant et complet.



Je ne comprends juste pas pourquoi Phileas Fogg et Passepartout ne sont pas représentés sur la couverture tels qu'ils le sont sur les planches ?!? Ni pourquoi ce ballon (encore) sur la couverture alors qu'il n'y en a pas dans l'histoire...

A la fin de la première guerre mondiale, Josef et sa famille se retrouvent en France. Mais la famille de sa mère leur tourne le dos, ils sont considérés comme des "boches". Alors les garçons de la famille travaillent pour gagner de quoi payer le loyer, et les rêves d'aviateur de Josef s'envolent... Jusqu'à ce que le milieu des apaches et leurs petits magouilles les rattrapent.



Une lecture fraiche et plaisante sur la jeunesse de "Tanguy-la-vie-dure", l'aviateur qui croisera la route de Yann Calec (Tramp).

Après ses débuts en Afrique allemande, le voilà dans le Paris de 1920. Il va d'abord tenter de gagner honnêtement sa vie, puis la réalité et le désir de passer son brevet de pilot va l'amener dans des activités plus lucratives.

Un tome qui peut manquer parfois de dynamisme, c'est comme si on attendait tout au long de l'album L’Événement qui va tout changer. Et puis on ne l'a pas... Mais ça ne gâche en rien cette lecture qui se lit facilement.



Le ligne claire et lumineuse manque parfois de reliefs mais, la encore, elle est agréable, facile à déchiffrer et nous fait passer un bon moment à défaut d'être originale.

C'est déjà le 41eme tome des aventures d'Alix, auxquels il faut ajouter la série Alix senator (de très haute tenue) et Alix origines (moyen pour ce que j'en ai lu). Il faut avouer que cette histoire est plutôt pas mal. L'intrigue reste classique ; Alix et Enak sont en Thessalonique chez un ami Hemon dont la fille, très jeune, est convoité par Cabro, le gouverneur de la région. En but aux volontés indépendantistes de Delia, qui possède un domaine dans la région et a reformé une troupe d'amazones qui vivent sans hommes et qui souhaitent reconquérir leur territoire. Quand Asteria va être enlevé, tous les regards vont se tourner vers Delia, mais est ce bien elle la responsable?

le dessin est précis, net, offrant des décors antiques extrémement bien reconstitués. C'est de la belle ouvrage...

Phileas Fogg mène une vie tranquille de gentleman à Londres en 1872. A la suite d'un pari insensé contre les membres de son club, il part pour un tour du monde avec Passepartout son valet. Petit problème, il doit revenir à son point de départ en moins de 80 jours ! Chrys Millien signe une adaptation réussie du célèbre roman de Jules Verne. L'intrigue est fidèle au livre. Les dessins sont classiques et réalistes, dans la logique du projet éditorial. Une bonne entrée en matière qui donne envie de relire le roman !

Je suis une grande fan de la série Tramp et j'avais repéré le personnage marqué qu'était Tanguy-la-vie-dure.

C'est un peu par hasard et avec beaucoup de joie que j'ai découvert cette spin-off de la série maritime consacrée à ce pilote et c'est avec énormément de plaisir que j'ai lu ce premier tome.

Le scénario est bien construit, le rythme est maitrisé, les personnages sont bien cernés et le contexte, comme toujours dans les Bd scénarisées par Kraehn, parfaitement documenté, voire même didactique.

Le dessin est très bon également, plutôt classique mais efficace avec des paysages à couper le souffle. Les représentations animales sont, également, particulièrement réussies.

Quoi qu’il en soit, ce premier volet complet et plein de promesses de « L’Aviateur » annonce une suite qui devrait séduire les amateurs d’aventure, d’exotisme et d’aviation.
Lien : http://bdzoom.com/100686/bd-..

Les vents de Gath est le premier tome de Dumarest, l'aventurier des étoiles qui semble malheureusement arrêtée. Dumarest et Megan sont deux baroudeurs des étoiles qu débarquent par hasard sur la planète inhospitalière Gath après un changement de direction de leur vaisseau. Richard Nolane et Chrys Millien adaptent le space opera de E.C. Tubb. Si la couverture réalisée par un autre dessinateur est un peu trompeuse, la lecture reste agréable.

Plus il y a de titre de bd, plus il est difficile de concocter un récit vraiment original. L’aviateur n’a rien de vraiment innovant mais il possède d’autres qualités qui sont indéniables.



On va commencer par le dessin qui est réellement envoutant avec pour cadre l’Afrique de la Savane. J’avoue avoir été subjugué autant par les animaux (par exemple le lion réaliste de beauté), par les personnages fort bien dessinés et surtout reconnaissables (ce qui est aujourd’hui une qualité) et par le décor.



Il y a comme un parfum du film oscarisé Out of Africa que j’avais adoré durant ma folle jeunesse. Bien sûr, on pourra reprocher de nombreux raccourcis scénaristique qui font sourire comme le fait que notre héros tombe très vite amoureux de sa belle ou qu’un homme n’hésite pas à tuer suite aux bons conseils d’un pasteur.



Dans le même genre, je n’avais pas aimé L'Aviatrice que j'avais d'ailleurs posté ici même. Quelques mois plus tard sort l’aviateur. Vous remarquerez là encore le manque d’originalité des titres. On fait comme si les autres œuvres n’existaient pas ce qui traduit une méconnaissance totale de ces professionnelles travaillant dans les maisons d’édition. Mais bon, passons !



L’aviateur est une bonne série qui démarre et qui a la particularité de se baser sur un personnage secondaire de la série Tramp qui apparait seulement dans les derniers titres. Il serait la caricature d’un certain Tanguy et Laverdure. C’est franchement dommage de ne pas l’avoir totalement crée sans forcément le rattacher à une autre série peu connue du grand public. Je pense que cela aurait donné encore plus d’épaisseur au personnage. Mais là encore, ce sont des erreurs de débutant.



En conclusion et malgré toute ma critique incisive, j’ai aimé et j’accorde allègrement le 4 étoiles pour une œuvre certes classique mais bien réalisée. On notera également que le divertissement est assuré avec un fond historique assez intéressant car méconnu. C’est sans doute le contexte des colonies allemandes africaines qui constitue la véritable originalité de ce récit.

Un chef d'entreprise qui cherche à réduire les coups



Après un passage où il se transformait en Largo Winch des traboules, Gil St-André est revenu à ses fondamentaux : un chef d'entreprise, à l'esprit un peu anar et politiquement incorrect.



Dans ce 15ème volume, on retrouve la simplicité des histoires proposées par Kraehn depuis quelques temps. Ici, il s'agit d'une intrigue policière qui voit St André se démener pour prouver l'innocence d'un de ses employés, accusé d'avoir tué sa femme qui le battait et l'humiliait.

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L'histoire est bien conduite, même si elle ne bouleversera pas l'ordre mondial et qu'elle semble surtout prétexte à exposer les étonnants paysages du désert des Bardenas Reales, parc naturel situé entre L'Aragon et la Navarre.



Les esprits étroits (qu'on ne retrouvera donc pas le site de Babélio) pourraient tordre le nez à l'évocation d'un mari battu et soumis à l'heure où l'on tarde encore à prévenir correctement les féminicides. Ceux-là pourraient noter le discret panneau de la dernière case de la page 52. On peut y lire (en espagnol, la scène se situant chez les Ibères qui comme on le sait, sont rudes) : "Ne pose jamais la main sur moi. Devant un agresseur, tolérance zéro".



On retrouve donc le Gil St-André qu'on aime, celui qui habite une villa moderne et conduit une vieille DS. Un parfait résumé de l'individu.

Droit, intègre, courageux...et un peu dépassé aussi par sa fille adolescente.



Le dessin de Chrys Millien est toujours aussi solide et efficace, tout comme la mise en couleurs.



La série semble définitivement remis sur de bons rails.



Comme d'habitude, les nouvelles couvertures imposées par Glenat sont hideuses.

Adaptation en BD du célèbre roman de Jules Vernes. Et si je n'ai jamais lu le roman, comme monsieur tout le monde, je connais tout de même les personnages de Phileas Fogg et de Passepartout ainsi que le pitch de l'histoire (vu le titre c'est pas compliqué).



Ma seul confrontation avec le tour du monde en 80 jours est en fait l'adaptation en film comédie avec Jackie Chan ou encore Arnold Schwarzenegger, qui est... une comédie.



Me voila donc à lire cette BD, et si l'histoire est sympathique, je pense que l'adaptation en BD ne rend pas hommage au roman, et c'est sans doute le cas de nombreuses BD de cette collection des grands classiques de la littérature, si cette collection à tout de même l'avantage de rendre accessible les classiques, le format court des BD fait que l'action est "rushé" et que les situations perdent de leur profondeur.

Ainsi, dès qu'un problème se pose, il est immédiatement résolu et c'est en cela que pour moi le format BD ne rend pas hommage à ces classiques.



Une œuvre sur laquelle je retournerais mais avec le roman la prochaine fois.