Claude K. Dubois

🐺👧 Dans le cadre d’un échange scolaire, la famille Chaperon envoie sa fille, Lison, dans la famille Loup, et inversement… Dépaysement garanti pour les deux héros de cette histoire ! Durant leur séjour, Maxime, le jeune louveteau, et Lison Chaperon envoient des lettres à leurs parents respectifs pour leur raconter leur quotidien – un quotidien bien différent de ce qu’ils ont l’habitude de vivre chez eux !



👧🐺 Consignant l’ensemble de cette correspondance, ce petit roman est un condensé d’humour à déguster comme une gourmandise sucrée au moment du goûter. Un plaisir qui se partage avec délectation ! L’autrice s’y amuse et c’est communicatif !



Dès les premières pages, le petit lecteur est embarqué dans cet imaginaire – une histoire singulière qui ne manque pas de situations cocasses et… de mordant 😉 Il a énormément plu à ma 7 ans et c’est peu dire…



Cette tranche d’humour revisite également certains contes traditionnels, nous offre quelques dialogues percutants et quelques jeux de mots divertissants.



Les illustrations de Claude K. Dubois donnent littéralement vie à cette histoire. Elles répondent parfaitement aux mots. C’est vraiment très agréable à regarder !



En abordant les thèmes de l’amitié, des différences et de l’autonomie, le texte invite également à la réflexion.
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Un concentré de douceur. Voilà ce que représente, pour nous, les mots doux. Dès la couverture, on craque pour ces petits écureuils, et leurs bouilles toutes rondes. Les dessins de Claude K. Dubois sont remplis d’une grande tendresse, ils sont parfaits pour cette histoire.



Lola se réveille un matin avec dans la bouche plein de mots doux. Mais la journée défile, sans qu’elle parvienne à les dire : personne n’est réceptif…



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Un album qui nous montre à quel point, parfois, il est bon de ralentir pour être vraiment à l’écoute des autres. Pour que chacun puisse exprimer ses émotions. Car c’est bien le problème qu’a la petite Lola : elle déborde d’amour, mais personne n’est là pour le recevoir. Et à trop comprimer ses sentiments, ils risquent d’exploser !



Une invitation à prendre le temps de discuter, d’écouter ceux qui nous sont chers, de leur dire ce que l’on ressent, de partager avec eux ces moments de tendresse. A vos mots doux !

Depuis qu’il est parti, Sofia cherche son Papi partout, dans les choses qu’il faisait habituellement, dans les lieux où il se rendait, dans les mots et phrases qu’il prononçait… Malgré sa tristesse, et entourée de l’amour de ses parents, Sofia continue « comme s’il y avait Papi ».

Les planches à fond perdu, entre estampes et aquarelles, participent à l’ambiance à la fois mélancolique et douce de cet album sur la perte d’un être cher. Un très beau livre sur la mort, qui fait la part belle à la nature et aux animaux tout en délivrant un message rassurant et positif sur la place qu’on laisse à ceux et celles qui sont partis.

Dans cet album touchant, Sofia, la narratrice, cherche à comprendre où est parti son grand-père, surnommé “Papi”.

L’album aborde avec douceur et nostalgie le thème du deuil. Il offre une manière délicate d'aborder la mort avec les enfants. Les aquarelles à dominante pastel subliment le texte, créant ainsi une atmosphère émouvante.

Un joli livre qui traite avec sensibilité de la perte et de la recherche de réponses face à l’absence d’un être cher.
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Le petit chien Jules a un nouveau copain : un chat. Très vite ceux-ci deviennent amis et jouent tellement que... c'est l'accident. Pourquoi Tao n'est-il plus à la maison ? Jules attend. Et quand enfin son meilleur ami est de retour, quel bonheur ! Un petit album empli de tendresse qui parle d'amitié, tout simplement. C'est doux et émouvant.

Paie ta chronique.

Vous l'aurez certainement compris, ce livre traite de la mort. Thierry a eu l'immense gentillesse de me l'envoyer pour enrichir ma collection d'albums sur le sujet.

Celui-ci est une merveille. C'est très doux très tendre, presque éthéré dans le dessin comme brossé par le vent qui souffle ce jour-là. Le tout à hauteur d'enfants dans les spéculations et les "on m'a dit que".

Mon fils (de 5 ans) et moi avins adoré aussi. Tout.

Deux talentueux auteurs ont ici uni leurs talents pour offrir un album sur le deuil très puissant qui ne pourra que toucher intensément les lecteurs, quel que soit leur âge.
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Toutes les histoires ne sont pas toujours joyeuses

Il y en a des tristes, des douloureuses, des dévastatrices, des déchirantes…

C’est le cas ici

« Une histoire à deux » nous parle d’une séparation

Celle d’un couple

Avec un enfant

Une deuxième séparation

La plus douloureuse

Comment vivre sans son enfant ?

Comment survivre lorsque l’enfant ne veut plus vous voir ?

~

La douceur des dessins renforce notre attachement à ces deux petits êtres, tourmentés par la vie, par cette séparation… Ils tentent d’avancer tant bien que mal mais c’est loin d’être simple quand on a perdu son repère, son goût à la vie…

Mais gardons toujours espoir en un lendemain ensoleillé.

Quel bel album

Qu’il est bon d’être envahi par la douceur

Et de sentir son cœur gonfler et se réchauffer

C’est beau l’amitié entre deux êtres

Ici, c’est entre Jules et Tao, entre un chien et un chat

On découvre la rencontre, les jeux, les doutes, la joie, les peines

On ressent le bonheur, l’attente, la peur

~

En conclusion, tout est beau dans cet album et ça fait un bien fou

Le Papi de Sofia est mort et Sofia se demande où il est parti ? Amel, lui a dit qu’il était sous la terre, Carlos, lui, pense qu’il est au ciel. Zadig

pense que les Papis reviennent mais seulement ceux qui n’ont pas fait de bêtises, Jennifer elle croit en la réincarnation. Sofia, elle , est triste

de l’absence de son Papi, elle le cherche et s’endort en pensant à lui. Durant la nuit elle se remémore leurs souvenirs en commun. Un album

emprunt d’une douce nostalgie, où le texte de Thierry Lenain est sublimé par les aquarelles de Claude K. Dubois qui a choisi de représenter

Sofia dans un monde rural.

Pour moi, c’est le coup de cœur.



J’avais déjà découvert un livre sur le deuil autour de la figure maternelle ici. Je vous recommande encore chaudement cet ouvrage qui parle donc du deuil autour de la figure du papi. Ce n’est absolument pas morbide, mais parle du décès avec des mots d’enfant, avec une construction intelligente et sensible. Les illustrations très douces et pastel apportent une grande émotion en plus des mots bien choisis. Pour moi, cet ouvrage est une référence vers laquelle on peut se tourner pour aborder le deuil avec les bons mots.
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Jules est un petit chiot. Un beau jour, on lui présente Tao, un petit chaton... Jules et Tao se reniflent et deviennent très vite amis. Mais un matin, Tao tombe du haut des rideaux. Leur maître le ramasse. Toute la journée, Jules cherche et attend Tao...



Un petit album tout mimi sur l'amitié et l'attente du retour de l'absent...

Un très beau conte, dont on a envie de connaître la fin, poétique et drôle, un personnage auquel on ne peut qu'avoir envie de s'identifier, attachant, tendre. Un livre vraiment remarquable, bien écrit mais facile à lire, dans une langue qui ne cède pas à la facilité.

Opération 'troc' dans la forêt de Charles P. !

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En scène, deux de mes idoles des contes traditionnels : le Chaperon rouge et le loup, croqués par la talentueuse Claude K. Dubois, et une histoire d'échange scolaire (remember, les correspondants anglais en classe de 4e ♥)... Bref, ça s'annonçait bien. Mon panier sous le bras, j'en sautillais à travers la médiathèque en me léchant les babines sous cape (rouge).

Le début est réjouissant. Une école de Chaperons et une de mini-loups organisent un échange : chaque élève va séjourner durant cinq jours dans la famille de son correspondant. On suit les aventures du loupiot Maxime et de la fillette Lison grâce aux lettres qu'ils envoient chaque jour à leurs parents respectifs.

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L'idée est géniale, d'autant que les auteurs se réfèrent à d'autres contes.

Les aventures sont plutôt amusantes, surtout du côté de Lison, en visite chez les loups (dentiste, coiffeur...).

Mais cela devient long, répétitif, donc lassant.

Les albums reprenant/détournant des contes suivent généralement le schéma de ceux-ci : une histoire en trois temps.

Mais cet ouvrage est un roman, peut-être fallait-il un texte plus long ?

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Quoi qu'il en soit, les dessins sont délicieux (Lison, p. 28 :-D), et les thèmes de la différence et de la cohabitation sont abordés intelligemment : tolérer, accueillir, s'adapter, respecter, etc. l'autre - celui qui nous effraie, ou celui qu'on juge inférieur.

Ce petit roman pour enfant est très drôle et fait réfléchir en riant.

Je l'ai lu avec ma petite soeur et j'ai adoré le vocabulaire et les illustrations qui font un peu penser à Mottordu et un peu au Petit Nicolas.



L'Altesse des maladresses ne fait que des bêtises vraiment très amusantes.

Ce roman montre que même si on fait tout à l'envers et que les gens nous regardent d'un mauvais oeil, nos défauts peuvent devenir des forces et que même les méchants peuvent avoir des qualités



Ce livre est comme un doudou rigolo qui donne confiance en soi.

Les terreurs d'un enfant qui entend un bruit qu'il ne connaît pas sont ici représentées : araignée, voleur, fantôme, monstre, peur d'être dévoré...

Un petit bonhomme tracé sur du papier kraft (et qui ne semble pas terrifié), alors que ses peurs sont évoquées par des formes sombres griffonnées.

Pour les 2-4 ans.

L’Altesse des Maladresses a la particularité de tout faire à l’envers, elle se lève au crépuscule et se couche à l’aube, lit son journal en commençant par la fin, parle même à l’envers (à la manière de maître Yoda, vous voyez le genre) et est surtout très maladroite.



Sa singularité et son excentricité la rendent solitaire et elle en souffre beaucoup. On la tient même responsable de mystérieuses disparitions alors qu’elle est juste adorable, douce et d’une extrême bienveillance.



Une nuit, sa maladresse fait qu’elle s’aventure trop loin dans la forêt et se perd. Elle découvre alors une cabane isolée et des dizaines de grenouilles qui l’entoure. Interloquée, elle se penche pour en observer une et glisse dans l’étang. Sa pirouette réveille la sorcière des Magouilles qui espère bien lui jeter un terrible sort. Heureusement, la maladresse de l’Altesse l’aidera à se sortir des pires situations !



Les illustrations sont d’une douceur incroyable, semblables au caractère de l’Altesse des Maladresses, une héroïne très attachante.



C’est un titre de la collection Passerelle du niveau 2 Pas, tout à fait de saison et digne d’une revisite de conte de fées. L’histoire est adorable, pleine de douceur et d’humour et montre que l’on peut faire de ses « défauts », des forces !
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Il n'est pas bien drôle ce livre emprunté à la bibliothèque par mon démon cette semaine. Et comme on lit toujours ensemble les albums trois fois de suite, le livre, l'actualité, le moral en berne m'ont donné un trémolo dans la voix à chaque fois.



Et donc il est question vous vous en doutez d'une mamie qui souffre d'Alzheimer. On oppose l'avant tendre, chaleureux, réconfortant au difficile après. Et si le texte reste doux et optimiste (l'amour reste, et tutti quanti), les dessins (très chouettes) qui dépeignent la situation, même quand le texte reste sobre, donnent une immense boule à la gorge.



Je ne sais donc pas que penser de ce livre. C'est terriblement réel. Et c'est peut-être une bonne chose.

J'ai adoré.

Les enfants à qui j'ai lu en "avant-première" cet album ont adoré également : je précise, enfants âgés entre 7 et 9 ans, non francophones.

L'introduction pour présenter ce livre aux enfants a été la vie des alpages, les montagnes, et bien sûr les marmottes et l'hibernation.

Et puis, nous avons découvert tous ces mots en "otte"... et nous sommes parties dans des parties de rigolades et de régalades : nom d'une carotte, nom d'une échalote, nom d'une bouillotte, etc...

Et puis, nous avons découvert la prudence, l'anticipation.

Enfin, nous avons dessiné les marmottes, Compote la fofolle qui ne pense qu'à jouer, et Biscotte la frileuse, qui grelotte.

Un régal, un plaisir.

Une histoire tout en douceur comme le graphisme d'un trait léger et de couleurs tendres.

Une histoire d'amitié entre un petit chien et un petit chat, 2 amis qui se reniflent, s'apprivoisent et finalement deviennent les meilleurs amis du monde en partageant les jeux.

Bref, une véritable amitié !

Et puis Tao disparaît et Jules le cherche puis l'attend, longtemps, patiemment, toute une journée. Jusqu'au retour de Tao guéri. Et la vie reprend comme avant !

Cette petite histoire toute simple a plu à ma petite fille de 3 ans. Pour sa douceur sûrement, parce que à son âge, on attend beaucoup maman, à la crèche, le soir. Parce qu'aussi cette histoire tout en finesse laisse des indices sur la présence d'autres personnes dans cette maison, que l'on devine par leurs traces. Et enfin, car le papa, ce héros sauve Tao !

Une jolie histoire bien adaptée à son lectorat !