Citations de Damien Saez (118)
A la lumière obscure
Je te croise enfin
Mon Dieu que tu es belle
Toi la seule toi l'ultime
Entre les hommes égalité
S'il te plait prends ma main
Ne te fais plus attendre
Il est temps de s'étreindre
De s'éteindre
Une dernière cigarette
Les guerriers de la route avaient pourtant prédit
La mort ou la naissance
Ca dépend du cœur
Au soleil qui s'incline
Allez finissons en
Et laissons s'accomplir le firmament
Plongé dans l'infini dans le gouffre sacré
De Katagena
Me noyer à jamais
Et puis quitter ce monde sans pudeur ni morale
Jveux qu'on baise sur ma tombe
Jveux qu'on baise sur ma tombe
Que la grâce s'accomplisse
Immortelle jouissance
Que les femmes s'unissent dans un parfait accord
Rien que pour un instant
L'éphémère devienne
Eternité
J'aurais aimé t'aimer
Comme on aime le soleil
Te dire que le monde est beau
Que c'est beau d'aimer
J'aurais aimer t'écrire
Le plus beau des poèmes
Et construire un empire
Juste pour ton sourire
Devenir le soleil
Pour sécher tes sanglots
Et faire battre le ciel
Pour un futur plus beau
Mais c'est plus fort que moi
Tu vois je n'y peux rien
Ce monde n'est pas pour moi
Ce monde n'est pas le mien
Au revoir mes amis
Au revoir mes frères
Au revoir mon pays
A nous deux la lumière
Au revoir Franckie
Au revoir les printemps
Au revoir pauvre monde
A nous deux satan
Au revoir mes amis
Au revoir mes frères
Au revoir mon pays
A nous deux la lumière.
J'aurais aimé t'aimer
Comme on aime le soleil
Te dire que le monde est beau
Que c'est beau d'aimer
J'aurais aimer t'écrire
Le plus beau des poèmes
Et construire un empire
Juste pour ton sourire
Devenir le soleil
Pour sécher tes sanglots
Et faire battre le ciel
Pour un futur plus beau
Mais c'est plus fort que moi
Tu vois je n'y peux rien
Ce monde n'est pas pour moi
Ce monde n'est pas le mien
Damien , le grand Damien.
Porte toi bien , l'Ours et à très vite .
Je ne connais pas de pire dictature que celle de la communication comme on l'entend aujourd'hui.
J'ai le poing vers le ciel
Comme un combat sans fin
J'ai le poing qui se serre
Pour te prendre la main
Pour te dire que mon cœur
Pour toujours en mémoire
Gardera ta lueur en éternel espoir
J'en ferais bien ma religion,
J'en ferais bien mon horizon.
" Si la vie est passée et le passé n'est plus "
S'en aller, main dans la main
S'en aller, bien avant que l'heure
Oublier qu'ici on n'est rien
Oublier qu'ici on a peur
S'aimer sous le croissant de la lune
Et puis faire l'amour sur la dune
A regarder les étoiles
A sauver notre idéal
Et puis suivre l'hirondelle
Puisqu'au feu est la colombe
L'amour sera notre ciel
Mon amour, tu seras ma tombe
On n'a pas besoin de leurs dollars
Juste tes rêves et ta guitare
C'est le soir de l'indépendance
C'est le soir de la renaissance
S'en aller , extrait de l'album Paris
Quand vous ne savez plus qu'un jour vous saviez rire
Quand le mal a choisi votre âme pour empire
Quand tous les romantiques et les tristes du monde
On choisi votre cœur pour se mettre à pleurer
Extrait de la chanson " Que tout est noir "
"C'est vrai il y a eu une génération où le voyage faisait partie d'une réelle initiation à la vie, le passage de l'adolescence à la vie d'homme. Mais pour nous, rien. Ah si, j'oubliais: la première capote. Ca a été notre initiation à nous."
Quand je pense qu'on fait gagner des millions chaque semaines à la télé alors que la science manque de moyens pour permettre aux jeunes de s'unir à nouveau sans test ou bout de caoutchouc, quand je pense à leurs jeux de merde et à l'Afrique qu'on laisse crever en silence parce que soigner les pauvres ça ne rapporte pas, [...] le sida termine son travail en Afrique, mais dites-moi "Qui veut gagner des millions ? " ça me fout la gerbe et j'ai honte d'être un homme.
Ma petite couturière,
elle connaît les mesures,
de mon cur éperdu,
là dans la fourmilière.
aux génocides qu'on nous vend
à nos consciences les tremblements
tu sais tout ça ne m'émeut guère
et puis le destin de la terre
elle peut mourir moi je m'en fous
puisqu'elle me fait vivre sans toi
puisque tous les levers du jours
sans toi ne se relèvent pas
les meurtrières, les meurtrières
Le ciel ne sera plus jamais aussi noir qu'il n'est aujourd'hui, tes yeux se perdent dans mes nuits, on n'était pas du même monde mais qu'est-ce que ça fait maintenant puisque les anges et les colombes se sont enfuis avec le vent.
Il paraît qu'on a la vie devant nous
que la jeunesse c'est la vertu
et l'amour à s'en rendre fou
on n'en a qu'un et je l'ai perdu
au fond du sablier du temps
t'es pas venue ou j'ai trop bu
oui mon cœur s'est trop battu
ramène moi
qu'il est loin le temps des amours
le temps des cœurs qui se serrent
ouais des filles que l'on serre
fort contre soi
au croissant au lever du jour
quand on s'aimait à la marelle
les camarades pour toujours
quand et quand tu reviendras
on se quittera tous un beau jour
on reviendra sur nos discours
on croira qu'on a tout compris
on aura rien compris du tout
on sera riches rois de province
on sera pauvres et sans le sou
puisqu'avec les copains d'avant
on serra tous morts ou beaux
on se dira jamais vieillir
puis on finira tous vieux cons
à regretter c'qu'on a perdu
celle qu'on aimait qui est pas venue
quand on avait les dieux au corps
quand on savait tromper la mort
quand on lui mettait le doigt bien haut
bien profond
au temps des bals des lycées
au temps des rêves, des amitiés
au temps où on s'aimait qu'importe
au temps des lettres sous la porte
au temps des filles dans les bagnoles
au temps des murs et des alcools
au temps des rasoirs aux poignets
au temps des jeux de nos amours
au temps où c'est beau et c'est tout
au temps du feu brûlant toujours
au temps où chaque fille est un port
au temps des dieux, des diables au corps
au temps où l'on a peur de rien
au temps où rien n'est impossible
au temps où l'on aime ses copains
à coup de lance-pierres sur les chemins
les avions qui passent au dessus de nous
les visages qu'on a croisés qu'on a perdus
les gens qu'on a aimés puis qu'on n'aime plus
les yeux qui sèchent au temps qui passe
les amis qu'on a laissés derrière
la vie qui perd de ses mystères
les évidences qui vous lacèrent et puis qui tuent
et la beauté des filles quand elles sont nues
les liens du sang qui nous tiennent le cœur
les croix qu'on porte et la chaleur
de vous mes frères tenant l'espoir
à bout de bras mes jours de gloire
les parfums qu'on reconnaît plus
les filles qu'on n'a jamais revues
les jours de fêtes et les bals des lycées
celles à qui on n'a jamais parlé
ouais tout ce que la vie a emporté
le muscle qui arrête pas de saigner
les choses qu'on ne peut pas refaire
tout ce qu'on aura laissé derrière
les poussières et puis les rubis
et les amis au fond des nuits
dans les gorges des filles oui tout s'oublie
l'hémorragie de nos mélancolies
un jour bientôt face à la mort
me reviendront à la mémoire
toutes ces choses que j'ai oubliées
ouais puis toi que j'ai aimé
tu sais toujours face à la mort
nous reviennent à la mémoire
celles avec qui on a dansé
les jours de fêtes et des bals des lycées
celles avec qui on a dansé
les jours de fête
les jours de fête
les jours de fête
On peut très bien ne pas croire en Dieu et prier. J'ai même tendance à croire que c'est quand on a plus de Dieu auquel croire qu'on se met à prier.
au siècle sans talent
aux gloires pour des quarts d’heure de temps
à ton parfum de spleen
à s’aimer sous le chant du cygne
aux sens des écritures aux fils des littératures
aux pays sans frontière aux coups de marteaux sur les nerfs
aux armées d’oubliés
à nous les désespérés
à nos cœurs écorchés à nos corps embrassés
Dans tes yeux tout au bout
Ce qu'il reste de nous
Emporté par la mer,
Qui s'endort sur les braises.
Accroché à leur cou
On finit tous un jour
Par se croire immortel
Sur le bord des falaises;
J'ai pas voulu tout ça
J'ai pensé qu'à moi
J'ai pas voulu tout ça.
(...)
On en a vu navires
Qui ne sachant pas lire
Les cartes se noyaient
Tous aux pieds des falaises
Qu'on soit rayons de feux
Que l'on soit fils de Dieu
Ou juste un indien fou
Qui marche sur des braises
Qu'on ait le cœur amoureux
Qu'on soit l'ombre des cieux
On est rien du tout
Qu'un fou sur la falaise.
Des flammes à la rivière.
Y'a un trou dans ma chair
Ouais des siècles en enfer, à chercher
Ta flamme à la rivière
J'ai cherché des flammes à la rivière
(...)
Que l'on marche sur l'eau.
Qu'on se soit aimé trop
Trop mené en bateaux,
Que l'on marche sur l'eau
Qu'on redevienne feu
Avec toi si tu veux,
Ça n'y changera rien
Un jour, oui tout s'éteint,
Ça n'y changera rien de rien
Un jour, oui tout s'éteint.
SAEZ (On s'endort sur des braises)
Car si l'on ne meurt pas d'amour je peux te dire qu'il est certain qu'on meurt de toi.
"On reviendra sur nos discours, on croira qu'on a tout compris, on aura rien compris du tout. '
LE BAL DES LYCEES
Au cimetière des amours, oui moi j’entends des voix
Mais le ciel semble sourd à ceux qui vivent là
Les siècles de poèmes puis les siècles de tendres
Qui sous les chrysanthèmes n’ont plus cous à se pendre
Que le coût de la vie, c’est mourir et bien pire
C’est perdre son amour mais garder son empire
Pour finir à genou, empereur de personne
Que de ce temps qui passe, puis qui vous abandonne
Au cimetière des amours