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Critiques de Daniel Wallace (II) (20)
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Le roi de la pastèque

Un livre surprenant par sa construction et son thème dans une petite ville au fin fond de la campagne américaine.

Un roman en trois parties, la première donne le parole à chaque habitant et explique ce qu'est la fête de la pastèque et son roi, élu sous couvert d'une superstition chère à ses habitants. Pour les gens qui débarquent à Aslhand cette fête relève d'une tradition primitive, absurde et dégradante, c'est la vision de Lucy, tout juste arrivée en ville.

Son fils Thomas retrace le fil de l'histoire de sa mère, qui a laissé un souvenir impérissable chez chacun des habitants qu'elle a croisés, son décès mettra un terme à la traditionnelle fête de la pastèque et à l'élection de son roi, et la ville va pericliter.

En donnant la parole à chacun des habitants de la ville, l'auteur dresse des portraits touchants, d'autres au vitriol, de vieilles histoires remontent. Une galerie de personnages intéressants qui font revivre la ville au temps de sa splendeur et retracent le passage de Lucy dans leur ville, de son arrivée à son décès.

On s'attache à Lucy tant elle est douce, gentille et malheureuse, et à Iggy, le simplet du village, qu'elle prend sous son aile.

J'ai bien aimé la construction du roman, l'histoire de cette petite ville ainsi que celle de Lucy et de son fils Thomas qui est loin d'être aussi simple qu'elle en a l'air. Je ne m'attendais à la tournure des événements, ni au final surprenant.

Un bon moment de lecture. A découvrir.
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Big Fish

A l'aube de la mort de son père Edward, son fils se remémore sa vie au-travers des histoires qu'il a pu lui raconter. Mais n'enjolive-t-il pas un peu la réalité ?



J'ai eu tort d'ouvrir ce livre sans même savoir de quoi il retournait. Sachant que le film existait, je me suis simplement dit qu'il devait être très connu et que je me devais de l'avoir lu, histoire de ne pas être une inculte de la littérature américaine. Or je n'avais pas envie de lire cette histoire sur la mort d'un père, son fils à son chevet, la scène étant répétée quatre fois avec des variantes.

A bien y réfléchir, je n'aurais sans doute pas choisi non plus de lire ce livre qui retrace la vie de ce père, Edward Bloom, que son fils tient presque pour un héros à cause de toutes les histoires qu'il a pu lui raconter, bien qu'il le connaisse à peine.

Le seul attrait que l'on puisse trouver à ce récit, c'est cette faculté qu'a le fils d'embellir et mythifier la vie de son père, ainsi que sa fin, seul moment réellement poétique à mes yeux.

Ce livre est loin d'être un indispensable, sauf peut-être si vous n'avez pas, comme moi, le malheur d'y revivre certaines scènes personnelles.
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Ô Grand Rosenfeld !

Ô GRAND ROSENFELD !de DANIEL WALLACE

C’est le grand scribe de la lignée des Ashburton, Mosby, qui raconte l’histoire du grand ROSENFELD 3 ème du nom. Heureusement il est très fort et valeureux car tout va mal, les WILSON sont sur le sentier de la guerre, ils veulent prendre la Belle Sally, car quand WILSON l’a vue il a dit qu’il l’aurait! Mais le grand ROSENFELD on a confiance en lui, car, quand ROSENFELD le second est tombé de la falaise et a été dévoré par les animaux, il n’a pas hésité, il a aussitôt fait planter une pancarte mentionnant « Ne vous approchez pas des falaises »! Voilà sa grande sagesse. La tribu compte 33 éléments et demi, Roya n’a que la moitié d’un corps. Il n’y a que le gros Atkins qui n’est pas content, il dit qu’il faut partir et franchir les falaises. Avant les WILSON et les MCDERMOTT vivaient avec les ROSENFELD et d’autres encore mais WILSON a voulu acheter Sally qui lui a dit qu’elle avait un accord avec la déesse Mordiva et que si WILSON arrivait à faire la roue, elle partirait avec lui! Personne n’y croit car WILSON est très gros mais certains observateurs l’ont vu s’entraîner et Atkins a l’intention de défier ROSENFELD le troisième…le dénouement approche.

N’hésitez pas à lire ce petit bouquin orné de quelques dessins gentiment loufoques et à suivre les péripéties de cette tribu menée par un impérial incapable. C’est très drôle, un mélange d’hommes préhistoriques et de modernité, une satyre de nos sociétés avec ce scribe lèche bottes prêt à tout pour exister.

Daniel Wallace ne vous dit peut-être rien mais c’est l’auteur de Big Fish adapté à l’écran par Tim Burton et qui fit un énorme succès.
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Big Fish

J'ai vu ce film il y a un bon moment et j'ai été tout simplement éblouie par cette histoire. Alors quand j'ai vu qu'il existait en roman, je n'ai pas hésité et j'ai tenté l'aventure. L'écriture de l'auteur est sublime, autant que la réalisation de Tim Burton et pour la première fois, je trouve que le film rend vraiment honneur à un ouvrage. Il a su retranscrire magnifiquement bien l'ambiance du roman, les personnages, l'univers.



Je craignais quand même de m'ennuyer un peu en connaissant déjà l'histoire, mais si la trame de base est la même, la façon dont les anecdotes sont présentées et l'accent mis sur l'une ou l'autre sont différents. Aussi j'ai eu l'impression de redécouvrir l'histoire pour mon plus grand plaisir. Toutefois, si le style de l'auteur est sublime et envoûtant, l'enchaînement des chapitres a parfois ni queue ni tête et nous perd un peu... Réalité? Rêve? Il est vraiment difficile de s'en sortir parfois. Nous sommes plus en présence d'un amas d'anecdote que d'une histoire à proprement parler, ce qui rend l'enchaînement peu clair par moments.



L'auteur rend un bel hommage à l'union entre un père et son fils, à la difficulté de la vie qui aide ou non à créer des relations, à les consolider. Le fils ne va apprendre à vraiment découvrir son père que sur son lit de mort. Plutôt inquiétant non? Tout ce temps perdu... Ce père est vraiment touchant et si je comprends l'exaspération du fils, j'aurais aimé avoir ce genre de relation avec le mien. Les histoires et les blagues bien que répétitives sont drôles et donnent l'impression qu'il ne vit pas dans la réalité. Et si sa réalité était juste différente? Serait-ce vraiment un mal?



Cette histoire fait réfléchir sur notre propre vie tout en nous offrant un conte doux et triste à la fois. De quoi passer un très bon moment en compagnie de ces personnages et de mémoriser quelques bonnes blagues ou répliques qui jalonnent ce texte.



En bref, si j'ai été un peu déçue de part le fait que j'avais déjà vu le film et qu'il s'avère un peu plus magique que le roman, cet ouvrage m'a envoûté quand même. C'est vraiment une belle histoire à lire sans modération.
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Big Fish

Lu il y a quelques années mais un souvenir impérissable de magie. Le film est tiré du livre bien que je l'ai lu après avoir vu le film. Mais l'un comme l'autre sont réussi et lire le livre c'est aussi un peu le prolongement de cette magie particulière qui réside dans cette belle histoire ! Un vrai régal.
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Big Fish

J'ai reçu ce livre en cadeau d'anniversaire, et la première réaction que j'ai eu n'a pas été à la hauteur de la qualité de cet ouvrage. J'avoue avoir eu une petite appréhension, rapport au fait que ce n'est pas mon genre de lecture...et j'ai plus qu'été agréablement surprise!!!!

Car ce livre n'est pas seulement un condensé d'histoires merveilleuses...c'est aussi et avant tout une relation père-fils magnifiée. Et, oui, j'aurais adoré avoir Edward Bloom comme père!



Je conseille ce livre à tous les amateurs de féérie et à ceux qui ont oublié de grandir!
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Le roi de la pastèque

"je vous l'accorde, l'élection du roi de la pastèque peut être considérée comme un manque de goût choquant.C'est être irresponsable que de promouvoir le sexe à notre époque.

Mais soyons francs : les gens d'ici s'intéressent plus au décompte des grainses de la plus grosse pastèque de la ville qu'au sida ou à ce genre de choses . C'est ce qu'un étranger comme vous ne peut pas comprendre.C'est notre histoire. J'étais donc favorable à chacun des aspects de notre fête, et je le serais encore. C'était notre prospérité. (...) Le roi de la pastèque est symbolique de tout ce que nous avions et de tout ce que nous avons perdu. Et nous nous y accrochons encore, parce que si nous le perdons, si nous perdons ce souvenir, que nous reste-t-il ? Rien. Nous ne sommes rien qu'une ville comme toutes les autres. C'est ce que votre mère voulait faire de nous. Une ville commes les autres."



le jeune Thomas Rider part à la recherche de ses origines, découvre la vérité sur sa mère, morte à sa naissance, celle par qui le scandale arrive et avec qui meurt le plus grand mythe de la petite ville d'Ashland, le roi de la pastèque. Une histoire désopilante, tendre et brutale au rythme extraordinaire qui s'attache à toute une ville plutôt qu'au seul héros.



Daniel Wallace est née en 1959 en Alabama et vit désormais en Caroline du Nord où, parallèlement à l'écriture, il poursuit une carrière d'illustrateur. Le roi de la pastèque est son deuxième roman publié aux Editons Autrement, après Bif Fish paru en 2004, et adapté au cinéma par Tim Burton.
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Big Fish

Big Fish est un film que j'adore, alors je me suis mise en quête du livre. Une belle histoire racontée par un vrai conteur, ça fait envie. Et la mayo prend pas mal même si il y a quelques différences marquantes entre le livre et l'adaptation. Malheureusement, j'ai préféré le film, que je trouve beaucoup plus simple à suivre. C'était sympa, et ça s'arrête là.
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Big Fish

Après la lecture d'un roman historique se déroulant au Moyen-Âge, Big Fish m'a fait passer d'un monde à un autre sans transition. Ça surprend au début et puis finalement on s'y fait. De ce livre un film a été réalisé par Tim Burton que je souhaite vivement voir après cette lecture.



C'est au travers les yeux d'un fils (William) que l'on voit l'histoire de son père (Edward Bloom) se dérouler dans des situations abracadabrantes, loufoques, incroyables. Et bien que le fils soit adulte c'est bien à travers des yeux d'enfant qu'il nous restitue cette histoire. Ce père qui est maintenant en train de mourir semble avoir eu une vie sortant totalement de l'ordinaire, il est considéré comme un héros dans toutes les situations qu'il a rencontré.



Mais le petit bémol est la relation père/fils que William voudrait une bonne fois pour toutes mettre à nue. Avec un père qui n'a su s'exprimer qu'à travers des histoires drôles ou extraordinaire les sentiments sont peu dévoilés finalement. Les histoires de son père il n'y croit plus vraiment et pourtant c'est à travers elles qu'il se représente son père. Il va donc tenter de sortir son père de ses retranchements mais la chose ne s'avère pas facile.



Raconté par de courts chapitres on passe parfois d'une chose à une autre sans que cela soit gênant bien au contraire. Tous les ingrédients sont réunis pour faire passer cette histoire quelque peu fantastique et touchante à la fois.



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Big Fish

Voilà un livre dont j'ignorais l'existence avant de le trouver à la médiathèque mais que j'ai tout de suite eu envie de découvrir car j'avais adoré son adaptation cinématographique. Cependant, comme je l'ai lu longtemps après avoir vu le film, je ne me souvenais pas de tous les petits détails et ce n'est pas plus mal ainsi car j'ai pu éviter de faire trop de comparaisons entre les deux supports et j'ai pu apprécier pleinement le récit.



On retrouve ici Edward Bloom dans le récit de sa vie qui nous est conté par son fils. Il a vécut une vie très particulière dès sa naissance et cette histoire qui retrace son passé en est la représentation parfaite : un enchainement éclectique d'une multitude de situations et d'événements tous aussi surprenants et improbables les uns que les autres.



Son père est en train de mourir et c'est pour cette raison que William décide de nous raconter, à nous lecteurs, la vie incroyable qu'a été celle de son père. Malgré cette base assez triste qu'est l'approche de la mort d'un proche, le récit n'est pas mélodramatique du tout, qu'il s'agisse des épisodes de sa vie ou du récit même de sa mort. Edward Bloom était et est toujours un homme extraordinaire et sa mort est à cette image, pas banale pour un sous :P



Le livre se présente sous la forme de courts chapitres indépendants, chacun nous narrant un nouvel élément de ce qui a constitué la vie de cet homme décrit comme remarquable par son fils. Ce format est assez peu commun, on est plus habitués aux chapitres qui s'enchainent les uns après les autres reprenant l'histoire là où elle s'est arrêtée juste avant, mais cela se révèle plutôt agréable car, comme chaque partie est indépendante de la précédente, il est possible de n'en lire que quelques unes de temps en temps, de ne pas lire le livre d'une traite sans pour autant en perdre le fil.



Ce récit dans son ensemble est en quelque sorte une métaphore de la vision idéalisée qu'a un fils de son père. Ainsi, William devenu adulte raconte l'histoire de son père avec le même regard que celui d'un jeune enfant qui croirait toutes les inventions abracadabrantes de son père. On sait bien qu'au fond de lui il n'y croit plus mais quelque chose le pousse à les conter telles qu'elles le lui ont été auparavant, aussi magiques qu'incroyables, qui feraient rêver n'importe quel gamin qui les écouterait.



En résumé, une lecture rafraichissante, une aventure loufoque et incroyable à la fois mais une aventure humaine avant tout qui nous fait réaliser que, peu importe d'où l'on vient, on peut toujours arriver à faire de grandes choses pour peu que l'on se donne la peine d'y parvenir. A lire absolument !
Lien : http://uneviedelivres.blogsp..
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Big Fish

Le film de Tim Burton est l'exacte transcription du livre de Wallace. Que vous ayez vu ou non le film vous pouvez lire sans risque ce petit ouvrage distrayant et haut en couleur.
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Big Fish

J’ai toujours adoré ce film sorti en 2003 et réalisé par Tim Burton.


Je n’ai donc pas hésité lorsque j’ai aperçu ce roman.



Connaissant l’histoire, j’avoue m’être un peu ennuyée, surtout que le film est vraiment une pépite et a parfaitement rendu hommage au roman.



Même si l’écriture est sublime, j’ai eu du mal à m’y retrouver, les chapitres sont courts et s’enchaînent vite.

J’ai donc, pour une fois, préféré le film au livre.


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Le roi de la pastèque

A la recherche de ses origines, dans la moiteur du Sud, dans un village, une communauté, vivant son histoire et son rêve de grandeur. Une histoire dans un style alerte, tendre et émouvant, teinté d'humour, rude parfois, confinant au fantastique. Des portraits de belles personnes, ...et de pitoyables. Une très belle découverte.
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Le roi de la pastèque

Un jeune homme orphelin en quête de souvenirs de sa mère, arrive dans la petite communauté où elle a passé les derniers instants de vie. À force de questionner les habitants, il apprendra des choses étonnantes sur les moeurs de l'endroit et ses propres origines longtemps tenues secrètes par son entourage. Avec un début prometteur tant par la construction que par le style, l'auteur perd son avantage en deuxième et troisième parties avec un récit plutôt convenu dans la forme. J'ai retenu ce titre dans la très attirante liste 50 polars 50 états sur Babelio mais à mon avis, ce roman n'est pas un polar; s'il faut absolument le classifier, j'opterais pour un conte moderne.
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Le roi de la pastèque

Pas évident d'attaquer ce livre qui porte un titre pas très évocateur.

Dès le départ, je suis pris par cette lecture qui me passionne, avec le récit de tous ces personnages racontant la vie de la mère du narrateur.

Malheureusement, il a une deuxième partie, que je trouve très décevante, et qui plombe beaucoup mon envie de lire ce livre. La fin se révèle un peu meilleure, mais malgré ma joie du départ, cet ouvrage ne restera certainement pas ancré dans ma mémoire.

Dommage, l'idée était bonne.
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Le roi de la pastèque

en cours de lecture, la première partie m'a beaucoup plu, écriture épistolaire, est-ce le bon mot, chacun raconte sa version des faits ; la deuxième me plait moins, je vais continuer

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Big Fish

Une lecture surprenante sur bien des aspects !

Big Fish est le livre qui a inspiré le film du même nom réalisé par Tim Burton. Cette adaptation cinématographique est magnifique, et très librement adaptée. D'où la surprise à la lecture.

Il y avait moins de merveilleux que dans l'oeuvre de Burton. Pourtant, j'ai tout de même été émerveillée.

Le personnage du père est fantasque et touchant et celui du fils, le narrateur, est tout en retenue... On apprend à le connaître à travers le récit qu'il fait de son père. Cette idée du fils qui parle de son père à travers ses yeux d'enfant qui a grandit rend le récit délicat et intelligemment construit.



Souvent absent, Edward Bloom racontait des histoires rocambolesques à son fils et lorsque c'est William qui les racontent on sent qu'il sait que ce sont des histoires mais qu'il a très envie d'y croire. C'est l'histoire d'une père et d'un fils qui s'aiment.C'est assez étrange de critiquer un livre après avoir vu le film... D'habitude c'est plutôt l'inverses. Finalement, je dirais que les deux oeuvres sont assez différentes. Dans le film, le fils mène une enquête pour découvrir la vérité, un fils qui ne parle plus à son père depuis un certain temps. Alors que dans le livre il n'y a pas vraiment cette quête, si ce n'est que William Bloom, après toute ces histoires à dormir debout espère enfin connaître son père... Et nous le raconte aussi.



J'ai été étonnée de voir qu'avec ces 150 pages, j'ai mis un peu de temps à le lire. Ceci est du au style de l'auteur, au temps qu'il prend à nous raconter ses personnages, aux détails qu'il ajoute et a sa plume à la fois poétique et réaliste... Un mélange étonnant qui fonctionne très bien.

Un livre étonnant et émouvant. Une belle découverte !


Lien : https://leahurie.blogspot.co..
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Big Fish

...



Le film rend hommage au roman.
Lien : http://www.yuya.fr/chronique..
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Big Fish

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Big Fish

Est devenu un film de Tom Burton.



C’est un fils qui raconte l’histoire de son père, de ses frasques qui ont fait de lui une légende, un mythe, dans son cœur de fils évidemment mais aussi parmi les gens qui l’ont cotoyé. « roman aux proportions mythiques » y a-t-il écrit au-dessous du titre : il faut dire qu’à défaut d’avoir un père, un vrai, qui s’occupe de lui, qui lui parle etc, il a une légende vivante, qui ne s’exprime que par blagues croyant chasser par l’humour la réalité de la vie. Le roman est très bien écrit, scindé en petits chapitres très courts, j’ai bien aimé.
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