Diana Palmer

Il ne suffit pas à une femme de porter un pantalon et une chemise avec une cravate pour se transformer en homme..., rétorqua Cord. Au mieux, elle ressemblera à un androgyne. De nos jours, beaucoup d'hommes occupent des emplois autrefois réservés aux femmes, comme les fleuristes, les vendeurs de vêtements, mais ce n'est pas pour autant qu'ils se sont mis à porter des jupes. Je pense qu'une femme doit pourvoir être fière de sa féminité sans qu'on l'accuse pour autant de s'en servir pour promouvoir sa carrière. En tout cas, ce n'est pas quelque chose qu'on risque de te reprocher, n'est-ce pas, Maggie ?

- S'il n'avait tenu qu'à moi j'aurais plus volontiers invité un cobra à partager notre petit déjeuner!
- Vous auriez bien fait. Il paraît que ces charmantes bestioles adorent le bacon à moitié cru et les œufs carbonisés.

- C'est Noël, dit-elle d'une voix à peine audible. Et il est seul au monde. Il n'a même pas de petite amie.
- Tu plaisantes, j'imagine? Mark est un véritable don juan. Il n'a qu'à lever le petit doigt pour que les plus jolies femmes lui tombent dans les bras.
- En ce moment personne n'a envie de se jeter dans ses bras, apparemment.
- Il s'est ruiné?

Un homme doit posséder quelques défauts pour être intéressant

Elle est honnête. Elle possède cette vertu rare d'être exactement ce quelle paraît.

-Lui as tu choisi un prénom ?
Elle fit signe de dénégation.
-C'est l'enfant de la neige. Que dirais tu de Nicolas ? Nicolas Fitzgerald ?
Elle tourna la tête troublée. C'était précisément un des trois prénoms qui lui étaient venus à l'esprit, mais elle avait voulu réserver sa décision jusqu'à la naissance. Cette coïncidence était elle un signe de bon augure ?
Peu importait : elle ne pouvait bannir Devin Fitzgerald de sa vie, si forte soit son envie de le faire.
Il avait beau être un parfait étranger pour elle, il était le père de son enfant.

La fierté d’un homme était parfois son unique bien.

On n’abandonne pas ceux que l’on aime.

Les ragots ne feront qu'empirer les choses. Malgré la relative innocence de vos rapports, les gens vont colporter des bruits sordides qui feront de sa vie un enfer. Au moins, je peux lui offrir la protection de mon nom.

Après tout, une relation entre un homme et une femme ne se limite pas à des baisers. Un passé, des intérêts communs sont nécessaires.

Des hommes incapables de séduire les femmes adultes.... Les femmes leur inspirent une telle haine qu'ils vont choisir les plus vulnérables comme victimes.

Mes héroïnes sont toujours passionnément amoureuses. Elles réservent leurs faveurs à un seul homme. Il n'y a pas de femme légère dans mes romans !

Sous ses doigts, elle devenait femme adorable, adorée, telle une déesse de chair et de sang. Provocante, elle cambra les reins pour mieux l'accueillir et se mit à onduler au rythme de ses hanches, trouvant naturellement les gestes amoureux qui les comblaient en harmonie. Dans un flamboiement merveilleux, leurs yeux se croisaient, se défiaient, se happaient, leurs corps se prenaient et se déprenaient fiévreusement, amoureusement, dans une délicieuse lutte, un éternel combat... Lorsque culmina l'instant magique de l'extase, un même gémissement leur échappa, un même vertige les saisit. Dans un ultime élan, ils se serrèrent l'un contre l'autre et, envahis par une plénitude douce et apaisante, se détendirent lentement.

J'ai beaucoup souffert des continuelles tromperies de ma femme. Elle mentait même pour le plaisir de le faire. Je n'essaye pas de me justifier, mais j'avais renoncé à trouver autre chose que le faux-semblant chez les femmes.

Elle avait laissé flotter ses longs cheveux et opté pour un maquillage très discret. L'étrange charme qui émanait d'elle, raffiné à l'extrême, convenait parfaitement à l'image de jeune femme réservée qu'elle souhaitait montrer.

Quand il se rapprocha, elle eut un mouvement de recul. Elle avait peur de sa force virile; peur de cette bouche sensuelle et peut-être brutale; peur de ces bras trop puissants qui la retiendraient prisonnière.

Une chose était sûre, cependant; elle était résolue à ne plus jamais se laisser prendre au piège de l'amour. Elle n'accepterait pour rien au monde, désormais, de se laisser dominer par un homme autoritaire.

Depuis la mort de son mari, elle fuyait l'amour, craignant de souffrir à nouveau.

A jouer avec le feu, on se brûle. Je n'aime pas les créatures écervelées qui s'habillent avec extravagance. Pas plus que je n'apprécie les séductrices !

L’expérience ne sert à rien quand il y a de la répugnance.