Dominique Zachary

Au premier regard, une couverture ornée de feuilles délicates qui semble inspirée d'une estampe...et lorsque l'on s'y plonge, l'histoire d'une relation et d'un changement dans laquelle tout un chacun peut se retrouver et qui rappelle, sur un mode romanesque et sans y toucher, le vrai sens de la vie...

Ce nouveau roman de Dominique Zachary est étonnant. L'auteur avait l'habitude de nous faire découvrir et apprécier des événements historiques dans un style empreint de journalisme (son métier). "Les frémissements du silence" est différent. Ce roman fictionnel, beau, émouvant par moments, introspectif souvent, nous mène dans la quête de vrai d'Alex.



Ce directeur d'entreprise perd sa maman et remet en question son existence suite, notamment, à une remarque acerbe de l'infirmière des soins palliatifs qui a accompagné la défunte, Françoise.



Quelques prises de décision m'ont semblé parfois rapides mais cela n'enlève en rien la qualité du chemin d'Alex. D'abord froid voire inhumain, il adopte peu à peu des couleurs au fil de ses rencontres, de ses choix et de ses réactions.



Le roman est présenté en tant que "roman thérapeutique". Je n'ai pas l'habitude de lire ce genre de textes, réflexifs, introspectifs. Mais Dominique Zachary parvient à nous faire oublier cette dimension en proposant également des moments de découverte. D'une soirée un peu coquine entre filles au calme d'une retraite, du Maroc pétillant à un joyau gothique à la frontière française, on s'amuse, on s'émeut, on aime, on réfléchit... C'est tout ce qu'on demande à un bon roman!



Publié aux éditions Kiwi, il sera disponible ce jeudi 6 février dans les librairies belges et françaises.

La guerre, encore la guerre, toujours la guerre ! Baignée toute mon enfance par les récits d'exode de mes grands-parents, noyée sous les lectures scolaires et innombrables reportages de 40-45, j'arrive doucement à saturation de la thématique ! C'est donc avec un léger soupir que j'ai ouvert ce roman, prête déjà à être confrontée à du "encore", à du "déjà lu"... Et pourtant, quelle surprise ! Dès les premières lignes, je suis emportée! Dominique Zachary offre un point de vue tout à fait inédit de l'événement : les dérapages judiciaires par le conseil de guerre d'Arlon au lendemain de 40-45. Ce roman s'inspire de faits réels; on sent la verve d'un journaliste, le souci d'exactitude historique avec, en filigrane, le contexte social de révolution en matière d'enseignement, de revendications sur le plan de l'égalité des sexes... Une plume engagée certes, mais jamais l'auteur ne tombe dans le ton didactique ou moralisateur. Pas tout à fait récit documentaire non plus, car romancé surtout : le lecteur suit le destin injuste d'une incroyable enseignante, Suzanne, de son ami et collègue Hervé (le narrateur) ainsi que de son mari avocat, Pierre. Narrant la (ou l'in)-justice, l’auteur échappe pourtant au mélodrame et au pathos. Un roman où la fiction ne vulgarise pas grossièrement les faits, mais aide à mieux comprendre une certaine réalité. "La traîtresse" est une jolie découverte de cette rentrée littéraire où le véritable actant de l’histoire reste, pour le lecteur comme pour les personnages, l’esprit critique. Poignant et cruel, j'en conseille la lecture à tous ceux qui s'intéressent de près ou de loin au contexte de libération… et à tous ceux qui (comme moi ;-) ) ne s'y intéressent pas.

Il était une fois, dans les Pyrénées Orientales, une jeune Finette amoureuse des hirondelles qui, chaque année, guettait leur retour.

Depuis sa plus tendre enfance, Finette n’avait d’yeux que pour ces oiseaux migrateurs, fidèles et symbole de liberté. Elle avait la chance de les retrouver, chaque année, nichés dans le garage de sa mère adoptive, Paola Ortiz. Mais un jour, les nids furent vandalisés et les hirondelles disparurent...

S’engage alors une enquête pour retrouver le coupable, réparer les dommages et redonner le sourire à Finette.



Quel beau conte poétique nous offre Dominique Zachary à travers cette nouvelle. Un récit qui oscille entre passé et présent. On découvre l’histoire de l’adoption de Finette, au travers des lettres échangées entre notre Mécanette, Paola, et la directrice de l’orphelinat. Et, en parallèle, on suit la vie actuelle de Finette, son intégration et sa passion pour les hirondelles.

Leur disparition va créer un élan de solidarité entre certains personnages mais va aussi mettre en lumière les difficultés de certains et le rapport actuel de l’Homme à la nature.

J’ai aimé l’attitude parfois bourrue de Paola mais aussi sa bienveillance et son attachement à la nature, aux Hommes.

Ce conte est tantôt drôle (notamment certaines répliques de Paola), tantôt poignant mais terriblement juste à mon sens.



Un récit emplit de sagesse, de simplicité, qui aborde des sujets d’actualité (environnement, adoption, respect de l’humain...) et vous embarque dans un tourbillon d’émotions.



A découvrir !

Sophie Marie Dumont, chroniqueuse littéraire sur le web, a rédigé ce joli commentaire: "Dominique Zachary est un journaliste belge, auteur de nombreux ouvrages. C’est un fait divers éminemment poétique qui ouvre les pages de son dernier roman : le sauvetage d’hirondelles surprises par une tempête de neige dans les Alpes. En 1913, les moines d’un monastère avaient ouvert portes et fenêtres afin de secourir les oiseaux frigorifiés ; offrir leur hospitalité. Mais une autre belle surprise attend la lectrice. La préface de « P’tite hirondelle » est signée de la main de Yasmina Khadra qui a aimé ce conte. Pour la lectrice, il s’agit aussi d’une fable écologique mettant en lumière l’homme, la nature et les hirondelles. D’ailleurs, l’oiseau sert de fil rouge en survolant les pages du roman. Dominique Zachary nous raconte l’histoire touchante de Mécanette et de sa fille adoptive, Finette. L’orpheline s’appelle en réalité Myao Kaung ce qui signifie « La fille de l’hirondelle ». Dans un pays lointain, la petite fille vivait déjà dans une maison peuplée d’hirondelles. Ensemble, Mécanette et Finette vont défendre la cause des oiseaux afin qu’ils puissent continuer à survoler leur village du sud-ouest de la France. Grâce à sa jolie plume, Dominique Zachary nous parle de loyauté, d’amitié et d’amour. Au fil de la lecture, la lectrice ne se lasse pas de découvrir de magnifiques citations et textes courts dont le ravissant « chant du merle » de Vinciane Despret ; une autre compatriote belge."

Une jolie histoire bien écrite ; presqu’une fable.

Un peu de naïveté et de sentimentalisme peut-être.

Mais une jolie réflexion et une belle publicité (méritée) pour la LPO.

Un petit conte tout doux qui se lit très facilement.

A découvrir !

Qu’est-ce qu’elle a donc fait, la p’tite hirondelle ?



Et bien, elle nous a fait passer un joli petit moment de lecture 💕



Ce court roman aux allures de conte philosophique vous fera voyager entre France et Asie, deux pays, deux cultures, racines de sang, racines de cœur. Un peu comme les hirondelles qui au gré des migrations, se partagent entre 2 contrées tout en gardant dans chacune d’elle, le nid qui les verra revenir à la saison suivante.



Venez faire la connaissance de la Mécanette et de Finette, sa fille adoptive. Investissez ce village des Pyrénées orientales et nichez-vous auprès de ses habitants hauts en couleur. Vous y apprendrez que le respect et la liberté sont des valeurs qui doivent être défendues tant pour les Hommes que pour tout être vivant !

Bienvenue chez Toto-la-dépanne !



Dans l'atelier de Paola Ortiz, la mécanette d'un petit village des Pyrénées, le temps semble suspendu. Rien n'a changé depuis des décennies. Les hirondelles viennent y nicher chaque printemps et ce spectacle immuable ravit Finette, la fille adoptive de Paola. Mais les hirondelles ne plaisent pas à tout le monde. Une nuit, le garage est vandalisé et Paola et Finette ne peuvent que constater la disparition des précieux nids. Elles sont dévastées. Paola va tenter de découvrir l'identité des vandales et faire réparer les dommages.



P'tite hirondelle est un court roman qui fait beaucoup du bien. Il parvient en quelques pages à transmettre bien des messages : sur l'adoption (si compliquée parfois lorsque l'on est une femme célibataire mais remplie d'amour pourtant), sur notre rapport à la nature, à l'écologie (aujourd'hui 28 juillet marque d'ailleurs tristement le jour de dépassement) et sur une justice bienveillante et pédagogue pour éveiller les consciences.



Au cours du récit, les échanges de lettres entre la mécanette et madame Tu-Whang, directrice d'une association nous éclairent sur Finette et sa passion pour les hirondelles. Car depuis toujours, la fillette est hypnotisée par le ballet incessants de ces oiseaux, annonciateurs de printemps et symboles de liberté.



Un roman tendre et doux, plein d'humour aussi, à lire et à faire lire particulièrement aujourd'hui (et adoubé par Yasmina Khadra, rien que ça !) Un régal !
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La couverture de ce roman est si tendre qu’on a déjà le goût de s’y perdre. Un conte poétique sur la vie, une gamme d’émotions! J’ai passé un agréable moment à lire ce mignon bouquin de 145 pages. On passe de l’écologie, à la protection de la faune et jusqu’aux liens familiaux. Le sujet de l’adoption mis en avant-plan est venu me chercher droit au cœur. La comparaison frappante entre l’hirondelle et la jeune Finette est poignante. Le parcours compliqué d’une mère célibataire pour adopter un enfant à l’international est présenté avec justesse. J’ai beaucoup aimé les passages où l’institutrice de l’orphelinat et Paola s’écrivent par courriel. On voit l’évolution, on voit l’envers du décor de l’adoption. Quel beau récit, tout en douceur et enrichissant à la fois. Aussi, les citations qui coupent parfaitement les chapitres sont à la bonne place au bon moment. Un grand merci à Dominique Zachary pour votre confiance! Un beau 4 étoiles sur 5.

Ce roman de Dominique Zachary est un vrai coup de coeur. Je le recommande.

Cette belle histoire de transmission et d'ouverture des coeurs et des consciences nous plonge dans le quotidien d'une femme garagiste qui, de par ses choix de vie, fait preuve de courage et de détermination pour mener sa vie indépendamment de ce que la société lui met comme entraves.

Le roman est léger, et l'alternance des styles est agréable.

De nombreux sujets qu'il aborde en filigrane me touchent et sont d'actualité : en premier lieu, l'attention au vivant, mais aussi les difficultés des mamans célibataires.

Je souhaite bon vol à ce roman, je suis sure qu’il trouvera plein de lectrices et lecteurs et qu’il touchera le cœur comme il a touché le mien, avec ce beau plaidoyer pour la liberté et le non-jugement 🙂

Produits pharmaceutiques, profit, compétitivité, investissements financiers, flux boursiers, nouveaux marchés, courriels, tweets, voilà le quotidien d’Alex, 59 ans, chef d’entreprise. Habitué à diriger son monde, arrogant, cynique, un brin mégalo, il ne s’embarrasse pas d’écouter les autres ou de paraître sympathique. L’empathie ? Connaît pas. C’est un rouleau compresseur. On fait ce qu’il dit. Point. Et on ne le contrarie pas.



Le temps passe, tout fonctionne dans une mécanique bien rôdée, puis sa mère meurt des suites d’une longue maladie. Ayant coupé les ponts avec sa province natale et ses origines modestes, il est embarrassé par cet événement. Il n’est pas triste, il veut juste signer les papiers et organiser des funérailles rapidement pour retourner à son job. À l’hôpital, il rencontre Françoise, l’infirmière en chef des soins palliatifs qui s’est occupée de sa maman. Elle est tout le contraire d’Alex : douce, délicate, expérimentée, empathique, perspicace, elle accomplit son travail avec le cœur et n’est nullement embarrassée par les silences.
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Un peu d’humanité ? C’est par ici que ça se passe.

Après le décès de sa maman, et grâce à une relation singulière avec l’infirmière des soins palliatifs, Alex, grand chef d’entreprise, va au fil de cette histoire, être amené à remettre tous ses schémas en question.

Roman initiatique, ce livre tranche avec ce qu’on connait de Dominique Zachary, journaliste bien aguerri à l’exercice du récit historique. L’auteur vient nous chercher, sans nous heurter. Il nous happe, sans impudeur. D’une écriture délicate, avec quelques notes d’humour, subtilement distillées, il nous embarque dans un récit très visuel où le propos s’efface pour laisser émerger l’écoute et l’émotion. Et vous, le silence, ça vous parle ?

L'histoire commence par un professeur Hervé Jaminet, qui outré par la profanation de la mémoire de Suzanne Gasper décide de raconter à ses élèves l'histoire de cette femme. Durant la guerre Suzanne enseignante au même collège que lui n'hésite pas à dire ce qu'elle pense de la guerre, de l'occupation et des même des messages diffusés par les deux parties. Pour elle, il faut ouvrir l'esprit de ces jeunes enfants. Son compagnon avocat, est obligé de s'inscrire dans une association pour l'échange de culture entre l'Allemagne et la Belgique s'il veut continuer à exercer. Très vite, il se rend compte que cette association n'a pas ce but et ne participe plus aux réunions, mais omet de se retirer de la liste des inscrits. Une élève Nora, qui déteste Suzanne n'hésite pas à l'insulter et à la faire passer pour une alliée des allemands. C'est d'ailleurs elle qui lui coupera les cheveux lors d'une fête publique, ce sera le début de procès inéquitables pour elle et son compagnon. Un récit poignant sur cette deuxième guerre mondiale où les haines se déversent juste par vengeance.

1914, la guerre a éclaté. Deux camarades de service militaire se retrouvent dans cette guerre qu'ils espèrent courtes. Mais quand les Allemands débarquent et encerclent la ville où ils sont, l'un des deux rassure l'autre "J'habite le village à coté, allons y reprendre des forces avant de rejoindre le reste de notre régiment" sauf que tout ne se passe pas comme prévu et ils finissent par devoir se cacher dans le grenier !

Dominique Zachary a fait du bon travail mais je m'attendais, peut-être naïvement, à lire plus de passages du journal laissé par l'un des deux soldats, Alfred Richy. Sauf que s'il n'écrit rien de palpitant, il n'y a rien non plus à raconter... En cela, j'ai parfois eu l'mpression que Zachary essayait de broder, en parlant de l'avant-guerre, de l'autour mais pas de ce qu'ils ont vraiment vécu dans ce grenier. Par contre, l'après-guerre et tout le reste est bien raconté et j'ai été contente d'en savoir plus sur ces deux soldats et leur vie.

Une ode à la vie et à la tolérance.

Un roman chorale entre le présent et le passé qui se retrouve. Une femme seule adopte une petite fille en Asie du sud est, cette petite fille ; finette; est passionnée d'oiseaux mais surtout d'hirondelles. Mais un jour, quelqu'un détruit ses nids, de la part la recherche du ou des coupables, la sentence pour cet acte. Et en parallèle, on découvre la vie de finette avant son arrivée en France.

C'est écrit avec beaucoup de finesse. L'apprentissage de la vie peut se faire en expliquant et en faisant comprendre les choses.

Cette petite fille avec sa maman ont beaucoup a nous apprendre, sur l'espoir, la persévérance, l'écologie.

J'ai rencontré l'auteur qui est de ma région à une séance de dédicace commune et je viens de terminer la lecture de ce livre. C'est une très belle histoire avec beaucoup d'humanité. La fin est magnifique et remplie d'émotion. Bravo à l'auteur. Il a su me surprendre avec cette belle fin.

J’ai pris un immense plaisir à découvrir ce texte de toute beauté, cette histoire remplie de poésie et de douceur. De simplicité et d’humanité. J’ai savouré et apprécié chaque ligne.



On ne peut que s’attacher profondément à Paola Ortiz, digne héritière d’une famille espagnole qui a fui son pays en traversant les Pyrénées pour venir s’installer près de Perpignan. Surnommée Mécanette grâce à sa débrouillardise, elle tient un petit garage Toto-la-dépanne et attire de nombreux clients en raison de ses tarifs défiant toute concurrence. Membre de la Ligue de Protection des oiseaux, elle y a même recueilli des nids d’hirondelles, pour le plus grand bonheur de sa fille Finette, qui leur voue une passion dévorante.



J’ai tout aimé dans cette histoire. Paola, qui a tant d’amour à donner et qui défend des valeurs comme la solidarité, la générosité et le respect. Son combat pour devenir mère et son parcours pour pouvoir adopter sa filleule à l’autre bout du monde malgré son statut de célibataire. La correspondance avec la directrice de l’orphelinat qui s’occupe de Myao Kaung, qui malgré la vie dure, garde son éternel sourire au coin des lèvres. Le lien noué au fil des échanges avec sincérité. Une aventure humaine qui a réussi à me toucher profondément. J’ai adoré cette petite fille si forte et gentille malgré les épreuves de la vie. Mais lorsque les nids d’hirondelles seront vandalisés, il faudra agir et rechercher les coupables. Jusqu’où sont-ils prêts à aller pour nuire ?



Je pourrais vous parler pendant des heures de ce petit conte écologique et philosophique qui soutient la protection de la nature et de l’environnement, la sauvegarde des oiseaux migrateurs et nous offre une bulle de bien-être mais je vous conseille fortement de le découvrir par vous-même. Ce petit bijou le mérite amplement. Je vous invite à faire voyager cette magnifique p’tite hirondelle et à l’accueillir dans votre foyer avec bienveillance et amour. Elle saura vous le rendre avec justesse et délicatesse. Un merveilleux voyage vous attend et remplira votre cœur de bonheur, j’en suis certaine. Un joli coup de cœur pour ce texte si doux et poétique.
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9 Septembre 1944, la petite ville frontalière de Morelange fête la libération.

Pourtant la liesse populaire vire rapidemant au cauchemar.

Un jury populaire improvisé s'en prend à Suzanne, la jeune professeur à la personnalité émancipée et idéaliste.

Ce roman belge, inspiré de faits réels, relate les injustices et humiliations subies par de nombreuses personnes à la fin de la seconde guerre mondiale.

J’ai eu la chance de pouvoir lire La Traîtresse de Dominique Zachary avant sa sortie, et j’ai été profondément émue. À l’aide de personnages attachants, il rend le lecteur témoin de l’injustice des procès de l'épuration. Il arrive à nous faire vivre un moment historique sombre à travers une belle histoire d’amour et d’amitié. Quant à la fin, elle est tout simplement sublime. Ce livre aura toute sa place dans ma bibliothèque !

Ce joli conte moderne nous emmène dans les Pyrénées où Paola gère un garage à l’ancienne. Elle y élève sa fille adoptive Finette, qui se passionne pour les hirondelles. Sous ses airs bourrus Paola cache un cœur immense que se partagent les oiseaux et les enfants pauvres du bout du monde. L’histoire entremêle l’enquête menée par Paola pour mettre la main sur ceux qui ont saccagé les nids d’hirondelles du garage et la correspondance avec l’orphelinat

d’où est originaire la petite. La plume tendre et poétique de Dominique Zachary véhicule un message d’amour, d’amitié, de respect de la nature et je me suis vraiment attachée aux personnages.