Citations de Elton John (14)
Ryan vit en moi. Lui et sa famille m’ont permis de comprendre le sens de la dignité, l’importance du respect de soi et le pouvoir de la compassion. Si je suis en vie aujourd’hui, c’est grâce à lui. Il m’a donné l’inspiration pour remettre de l’ordre dans ma vie et démarrer ma fondation pour lutter contre le SIDA.
Si jamais vous trouvez que votre existence vire à la routine, qu'elle se fait un poil monotone, je vous recommande de partir en tournée avec un chanteur de blues gay de deux mètres, totalement excentrique et très porté sur la bouteille. Vous verrez soudain les choses s'animer.
Quand maman cherchait la bagarre, elle savait précisément sur quelles touches appuyer pour me faire réagir, c'est elle qui avait fabriqué le dispositif.
Parfois , quand je suis en avion au dessus des alpes , je me dis ;ça ressemble a' toute la cocaïne que j'ai sniffée .
D'une certaine façon, je suis coupable de l'existence de L'Incroyable famille Kardashian : je me jette donc aux pieds de l'humanité pour implorer son pardon.
(...) l'expérience m'apprendrait plus tard dans la douleur que si tu t'emballes au point d'entreprendre de fracasser un piano en le précipitant du haut de la scène, tu as moins l'air d'un farouche dieu du rock que d'un petit déménageur qui passe une sale journée.
La question "Et si?" ne rime à rien. La seule qui vaille, c'est : "Et maintenant ?"
D'une certaine façon, je suis coupable de l'existence de l'incroyable famille Kardashian : je me jette donc aux pieds de l'humanité pour implorer son pardon.
Chaque jour je regarde Zachary en apprendre un peu plus sur la vie. Tout lui est découverte et nouveauté. Il n’y a aucune haine dans son cœur, seulement de l’émerveillement. Et nous sommes tous venus au monde comme lui.
J’ai passé les années 80 à plonger de plus en plus profondément dans une addiction à la drogue qui avait commencé en 1974, lors de l’enregistrement de l’album Caribou au Colorado. Et même si j’avais été une rock star à temps complet depuis déjà plusieurs années, je ne savais pas, jusqu’alors, ce qu’était la cocaïne. J’étais incroyablement naïf. Je me souviens être allé me promener dans le fond du studio, avoir vu une ligne de poudre blanche sur une table et avoir demandé à mon manager ce que cela pouvait bien être.
Parfois on n’a pas le choix, on prend les cartes que la vie vous distribue et on fait avec.
C'était un peu trop, même pour moi. Je lui ai répondu qu'un millions de dollars c'était quand même excessif pour une nappe qui serait irrémédiablement fichue à la moindre tâche de sauce. Gianni a paru outré : étais-je moi aussi un communiste?
Ce n'est pas pour critiquer le travail des embaumeurs, mais Mao avait salement l'air d'être sur le point de se décomposer.
De retour en Amérique, on avait appris une leçon sur les risques que suppose l'intégrité artistique et sur le fait que, si grand soit ton succès, tu n'es jamais à l'abri de tomber sur le cul.