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Critiques de Emmanuelle Pierrot (20)
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La version qui n'intéresse personne

La version qui n'intéresse personne est un premier roman. Roman déchirant et subversif !

L'histoire est violente, la plume d'Emmanuelle Pierrot ne fait pas dans la dentelle. Son Québécois est sauvage mâtiné de sacres et d'anglicismes : un parler choc que l'on retrouve surtout dans les dialogues.

Et c'est justement dans ces dialogues car on "jase" beaucoup dans cette communauté, que l'autrice risque de perdre son lecteur :

il pourrait "péter une coche" !

En l'occurence, la lectrice que je suis ....

Je n'ai "catché pantoute"

Même si je connaissais quelques mots, quelques expressions québécoises, C'est l'ensemble qui fut difficile à comprendre : le québécois possède un vocabulaire, des expressions et des constructions lexicales différentes.

Exemples : "T'as-tu un lighter? j'ai demandé

-Leah m'a crissé dehors.

-Oh my god, t'es-tu correct ?

-On est là, man! j'ai dit.

- Pis en passant, tu me dois un sachet de

poudre !

-Fuck yeah. C'était-tu nice?

-Ta pogne tu la joke?

-Ta chienne est-tu correcte?"

Pas de glossaire à la fin du livre ! J'ai dû imprimer un lexique québécois et me fier au sens de la phrase ! Compliqué et très dommage !



Donc je vais baser mon ressenti sur le fond plutôt que la forme !

Une communauté de punks, une génération contestataire et déglinguée qui tente de vivre autrement, sans rien à devoir à personne.

C'est l'histoire de Sacha et Tom, une amitié fraternité. Ils fuient leur enfance et leurs familles et s'installent à Dawson City au fond du Yukon.

« Nos mères nous avaient appris que ça ne servait à rien de se comporter gentiment : elles nous tabassaient en revenant du travail, qu'on soit sages ou pas. »



Ils vivent entre drogues, alcool, sexe et amitiés. Ces paradis artificiels, cette précarité rythment leur quotidien.

Ils adoptent une chienne-louve Luna.

Un lien immense va se tisser entre Sacha et Luna.

Cette belle et affectueuse Luna sera fidèle à jamais ! Quelques moments de grâce ...



Sacha se sent libre jusqu'à ce que cette liberté se retourne contre elle. Elle va connaître la trahison, le rejet violent d'un milieu qu'elle aimait, victime d'une misogynie qu'elle ne comprend pas.

Une haine collective se déchaine , toute la cruauté humaine : ce sera sa descente aux enfers !

Cette version qui n'intéresse personne est aussi un texte féministe car à comportement égal, libéré,

elles auront toujours plus tort.



La version qui m'aurait intéressée :

la version pour lecteur français !

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La version qui n'intéresse personne

Sacha et Tom ont quitté leurs familles dysfonctionnelles, quitté la ville et même leur Québec natal, ils ont levé le pouce et se sont retrouvés bien plus au Nord, bien plus à l’Ouest : au Klondike, pays des chercheurs d’or et aujourd’hui terre d’asile d’une communauté hétéroclite de marginaux, des punks du bout du monde. Les hivers à -40°C, une cabane spartiate pour tout logement et Luna, la plus belle chienne-louve que la Terre ait jamais portée : le paradis. Les années filent, dans un genre de bonheur.



Jusqu’à ce que Sacha se sente peu à peu mise à l’écart, insensiblement et sans heurt tout d’abord, puis avec une violence grandissante. Bouc émissaire ou chienne conspuée, reniée par une meute bien plus machiste et excluante que les airs libertaires qu’elle se donne en étendard.



Cheminer dans ce livre ne devrait jamais prendre fin, on voudrait s’attarder encore aux côtés de Sacha et Luna, on voudrait qu’Emmanuelle Pierrot écrive encore d’aussi beaux livres après ce premier roman si réussi.
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La version qui n'intéresse personne

Ce livre qui m’a bouleversé, le genre de livre que j’ai longtemps cherché à lire au Québec, une représentation troublante et empreinte d’amour de notre génération, c'est une narratrice en quête d’elle-même, en quête de justice, en quête du paradis, elle reproduit dans son écriture le courant beatnik, mais au temps présent et de façon foncièrement féministe. C'est hilarant, absurde et ça va te faire brailler. Je le recommande aux femmes, mais encore plus aux hommes, à mes ami.es et à mes ennemi.es
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La version qui n'intéresse personne

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La version qui n'intéresse personne

Un mélange original, créatif et québécois de Virginie Despentes et Jack Kerouac (avec une pincée de Jack London). Merveilleusement bien écrit, captivant. touchant, bouleversant. Une critique acerbe de la société patriarcale. Un roman qui vous rappelle que la vie chez les marginaux peut être impitoyable, d'une grande cruauté

Ce roman vous émerveille par ses descriptions de paysages nordiques, il vous donne envie, dans un premier temps, de tout larguer et de partir à l'aventure, puis une ambiance anxiogène s'installe... L'enfer, c'est les autres
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La version qui n'intéresse personne

J’ai souvent pensé à Xavier Dolan au cours de ma lecture, à ses films, des œuvres intimes, décalées, à ses rôles toujours fascinants et percutants, d’une grande maîtrise et je me suis demandée si Emmanuelle Pierrot ne serait pas sa version féminine. 

Car ce roman est un véritable uppercut littéraire qui bouscule, incommode, dérange, bouleverse tant par son histoire que par la manière dont elle est racontée, même si parfois on regrette qu’un lexique québécois ne soit pas présent pour mieux comprendre la langue qui possède beaucoup d’expressions propres à ce pays. 

Mais ça ne m’a pas empêché d’être emballée par cette histoire d’être touchée par tout ce que subit cette jeune femme, harcelée, violentée physiquement et verbalement par ceux qu’elles croyaient ses ami.es. 



C’est sauvage, cruel, fascinant, décalé, hors norme et bouleversant à la fois, les thèmes abordés sont actuels et montre à quel point tout peu déraper très vite et faire d’une femme libérée, une victime imparfaite et lui faire vivre l’enfer. 

La version qui n’intéresse personne, ça m’étonnerait beaucoup qu’elle n’intéresse que moi. 

Je serais même curieuse de savoir si Xavier Dolan l’a lu. 





Chronique complète sur mon blog ➡➡ https://madosedencre.over-blog.com/2024/02/la-version-qui-n-interesse-personne.html
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La version qui n'intéresse personne

Originaires de Montréal, Tom et Sacha sont comme frère et sœur. Inséparables depuis leur rencontre, ils ont grandi et évolué ensemble, avant de tout plaquer pour fuir vers l’extrémité du monde, dans le Yukon, territoire hostile, à l’est de l’Alaska, où la courbe du chômage grimpe aussi vite que celle des températures chute. À Dawson City, le couple d’amis fait front. Tom et Sacha mangent, dorment et survivent côte à côte, emportés par une vie saisonnière, où il s’agit de profiter de l’afflux de touristes l’été pour travailler et emmagasiner de quoi lutter contre le froid hivernal. Leur quotidien est fait de rencontres, de défonces, de rires et de musique. Ils trouvent leur place au sein de la communauté folk punk de la région. Un mouvement porté par des valeurs progressistes et une conscience aiguë des répercussions pour les populations locales de la ruée vers l'or du Klondike à la fin du XIXe siècle. « La mise en tutelle de Britney Spears, la déshumanisation des femmes par l'institution médicale » sont au cœur de leurs discussions. Ils causent « du mouvement #MeToo, du mariage gai, du harcèlement de rue. »



Dans sa première moitié, La Version qui n'intéresse personne d’Emmanuelle Pierrot ressemble à un récit autobiographique consacré aux modes de vie alternatifs. Cherchant à donner l’impression qu’elle marche dans les pas des auteurs de la Beat Generation, Pierrot cite dans le texte les romans Sur la route de Jack Kerouac (1957) et Le Festin nu de William S. Burroughs, et le film Into the Wild de Sean Penn (2007), tels trois points de repère. Le nature writing s’immisce dans des scènes hallucinées, corrompues par la drogue et l’alcool. Tom et Sacha vivent dans des meublés insalubres ou dans des tentes. Ils adoptent une chienne-loup, nommée Luna. Ils se font des amis, se donnent rendez-vous dans les rares bars de la ville via les messageries instantanées des réseaux sociaux. Le lecteur progresse dans le texte, comme ses personnages dans la vie : aux hasards des nouvelles amitiés et des opportunités pour améliorer le quotidien.



Mais au milieu du roman, tout bascule. Le piège se referme sur Sacha comme sur le lecteur. Après avoir installé son ambiance via des descriptions passionnantes de la vie des marginaux dans les terres reculées, La Version qui n'intéresse, porté par une langue sauvage, mute en un thriller psychologique, qui va gratter sous le vernis pour dévoiler l’ignominie du monde. Parce qu’elle a refusé de transformer son histoire d’amitié avec Tom en romance, Sacha va devenir une pestiférée démunie, à la merci de toutes et tous. « Dawson était le paradis, en dépit de preuves du contraire de plus en plus nombreuses, raconte Sacha. Ici comme n'importe où ailleurs, il y avait du conformisme, de la misogynie, de la haine. J'avais été incapable de le reconnaître. La violence dont j'avais été témoin, je l'avais excusée. Pendant huit ans, je m'étais crue autorisée à être pleinement moi-même, à être libre. Peut-être que ça n'avait jamais été vrai. » Peu importe comment évolue la société, les mécanismes de bouc émissaire et de construction du groupe social dans la détestation de personnes tierces constituent toujours un fondement malade des interactions humaines.



À chaque page grimpe le sentiment d’injustice. Le jeu de faux semblants et la manière dont les protagonistes sourient à Sacha pour derrière lui planter un couteau dans le dos, le tout soutenu par une sournoise culture du viol, nous ébranle. C’est un roman écrit du point de vue de Sacha, qui sait combien ses mots peuvent contenir des biais de perception. Mais comme le titre l’indique, Sacha ne nous demande pas de prendre sa vérité pour argent comptant. Elle nous demande juste d’écouter sa version. Non pas pour remporter une victoire qu’elle n’obtiendra jamais, mais pour rappeler la nécessité de développer une vision d’ensemble, de déplacer la focale pour laisser l’empathie pénétrer nos cœurs dans une société où personne ne s’entend plus parler.



La version qui n'intéresse personne, c'est à la fois celle de Sacha, mais aussi celle du monde réel, où les fake news, les cabales et les procès en ligne font boule de neige pour devenir complotisme et remplacer la réalité. D’un roman sur des marginaux qui évoluent aux confins du territoire, Emmanuelle Pierrot a tiré une œuvre universelle, d’une tragique modernité.
Lien : https://www.playlistsociety...
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La version qui n'intéresse personne

Ce livre dégage une ambiance particulière, avec beaucoup d’aspérités. Ce n’est pas joli, ni lisse, c’est cru, brut et dur. Une menace sourde plane dès le prologue et s’infiltre même dans les moments les plus insouciants.

Pendant une bonne partie de l’histoire, je me suis sentie détachée du personnage principal. J’avais peu d’empathie pour son vécu, je n’étais pas d’accord avec ses choix et bien que je respectais son indépendance et son caractère fort, je ne m’y identifiais pas.

C’est là la grande réussite du roman: faire comprendre que la parole des victimes doit être entendue, peu importe qui elles sont et les sentiments qu’elles suscitent, peu importe si l’on est ou non d’accord avec leurs choix et leur mode de vie. Sacha mérite d’être écoutée, considérée et aidée dans son épreuve, sans qu’on lui demande d’éprouver des remords, de s’excuser ou de poser des gestes de réparation.

J’aime croire que la fin ouverte contient la possibilité d’une remontée vers la lumière. Pour ma part, j’en ressors émue et je suis convaincue de la nécessité de continuellement questionner mes biais.



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La version qui n'intéresse personne

Un premier roman coup de poing, brut, animal et totalement addictif.

Le récit se focalise sur une petite communauté de punks marginaux, autoproclamés libre-penseurs, qui pourtant cache un conformisme à la papa des plus repugnants.

Dans la seconde partie du roman, la focale s'elargit et l'autrice dépeint à la perfection un mécanisme tout à fait universel d'autodestuction des communautés, cette capacité proprement humaine de se changer en meute pour attaquer les plus faibles, ou ceux qui refusent de se conformer à une norme sociale.

Un roman qui révolte, qui enrage.

Une réussite (en québécois non sous-titré, il faut quand même le dire).
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La version qui n'intéresse personne

Tout un voyage que nous offre Emmanuelle Pierrot, et pas qu’un seul, puisque l’on visite plusieurs univers. Entre autre Le Yukon et certains de ces lieux mythiques, une communauté libre. Des sans abris ou presque. Des chiens si précieux , compagnons fidèles avec leur amour inconditionnel.



La liberté a un prix l’autrice nous en fait voir plusieurs facettes. Un premier roman à lire absolument.
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La version qui n'intéresse personne

Une petite merveille! On entre dans un milieu très marginal qu'à priori je n'affectionne pas vraiment mais l'actrice nous emmène dans ce monde tout comme dans une balade ou tout paraît calme et naturel malgré le contexte de fond très sombre et sans pitié. Elle décrit cette misère et cette souffrance des personnages d'une façon qui nous les rend presque sympathiques . Je ne me suis à aucun moment sentie en position de spectatrice dans cette histoire mais plutôt partie prenante progressant avec ces personnages.
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La version qui n'intéresse personne

Roman éprouvant et terriblement attachant, comme Sacha, son personnage, rejetée par ses ami(e)s, son milieu d'adoption, la gang de marginaux de Dawson City au Yukon. On ne peut pas quitter ce récit vivant, émouvant, de la vie de cette jeune femme «folk-punk» aux cheveux roses - comme les aurores boréales où elle a rêvé au bonheur avec son chien malamute - alors que via Facebook, ses amis, son copain d'enfance, ses partenaires de randonnée, d'impro musicales la rejettent, la menacent, l'agressent. À leur différence, elle travaille, ne prend plus de drogue dure, ni trop d'alcool. Comme la narratrice, on cherche de l'air pour respirer tant le récit, sans pathos, mais cru, détaillé, très actuel, traduit bien les émotions qui traversent cette femme victime de vouloir se tenir debout contre les mensonges et le rejet d'un milieu qu'elle aimait. À la fin, la pandémie où toutes les portes se ferment souligne en contrepoint l'impasse dans laquelle Sacha se retrouve. Roman coup de poing très réussi, en particulier dans la description et les dialogues des personnages ambivalents de cette communauté marginale. Car ils ne sont pas noir et blanc. Ils cherchent une complicité dans le no futur d'un monde près de la nature, l'amour libre, la musique, ils sont connectés, épris de liberté, non genrés et pleins de contradictions.
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La version qui n'intéresse personne

L'histoire se déroule dans une communauté de gens à laquelle je ne m'identifie pas particulièrement, les jeunes punks. Mais sous la plume de E. Pierrot, j'ai suivi avec beaucoup d'intérêt le parcours de Sacha dans cet univers

de vie si différent et se déroulant dans un lieu difficile et froid. Les gens se contentent de peu, il croit en l'amitié et au partage mais la nature humaine n'épargne pas ce groupe : la trahison, la médisance, l'ingratitude, la solitude, la tristesse rôdent. La plume de l'autrice est crue, dure, incisive mais l'écriture est captivante.



Un roman très réussi. Je le recommande fortement.
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La version qui n'intéresse personne

Visions d’un paradis désespéré, d’une belle, joyeuse et destructrice, communauté de paumés qui tentent, entre drogues et alcool, âpre survie hivernale et précarité, une vie autrement au Yukon dont le roman nous décrit si bien les enthousiasmes, les replis et, finalement, le rejet et la haine. Emmanuelle Pierrot parvient à rendre tant l’exubérance de cette jeunesse en fuite que son éperdue fragilité, ses failles malheureuses traitées avec un humour rageux, attendri. La version qui n’intéresse personne offre alors une tentative d’échappée à la haine, à composer avec un sentiment d’exclusion, avec sans doute aussi la violence inhérente à tous les rapports sociaux.
Lien : https://viduite.wordpress.co..
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La version qui n'intéresse personne

J’ai découvert ce livre en lisant les livres proposés pour le concours de Paris.



J’avoue qu’il m’a donné un mal de tête. C’est l’histoire un peu classique de deux jeunes qui s’aiment sans se l’avouer et vivent leurs vies chacun de leur côté dans une ville du fin fond du Canada, loin de tout. Ils travaillent quelques mois par an et vivent le reste du temps entre amis, à survivre au grand froid. Le jour où l’un d’entre d’eux (elle) tombent amoureuse d’un autre, tout se détraque dans leurs relations et ils vivent, eux et leurs amis, une situation de huis clos, le tout dans un univers de boissons, de drogue et de sexe.



Ce roman est canadien, plus exactement canadien français. Alors plein de mots, tournures, expressions.. m’échappent. c’est plaisant un temps, mais finalement fatigue.



Alors, si vous voulez tester le parler canadien, testez-le. Sinon, vous pouvez passer votre chemin.

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La version qui n'intéresse personne

Excellent. On s'attache du début à la fin à Sacha qui nous fait vivre 1000 émotions à travers elle et nous donne aussi envie de liberté. J'ai décidément ajouté le Yukon comme destination voyage.

Sa plume est juste et efficace, on a envie de la suivre partout où elle nous mène. Bravo!
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La version qui n'intéresse personne

L’écriture de ce roman est addictive. Le style descriptif permet de bien comprendre qui, quoi et où en tout temps. Mais j’ai trouvé les propos difficiles! C’est un style de vie tellement loin du mien, un endroit du monde tellement différent aussi. Et la dernière partie est dure, surtout que l’on s’attache profondément à Sacha. C’est définitivement à lire.
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La version qui n'intéresse personne

Paru au Quartanier l’automne dernier, ce premier roman plonge dans une communauté de marginaux à Dawson City et raconte la descente aux enfers d’une jeune punk qui sera ostracisée par ses meilleurs amis.
Lien : https://www.lapresse.ca/arts..
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La version qui n'intéresse personne

Avant même sa parution, la rumeur voulait que "La version qui n’intéresse personne" soit un roman puissant. De fait, on sort époustouflés de ce premier ouvrage d’Emmanuelle Pierrot.
Lien : https://www.journaldequebec...
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La version qui n'intéresse personne

C’est costaud, diablement bien ficelé, ancré dans un univers méconnu. Et le propos est bouleversant. Le genre de roman qu’on lit d’un trait, qui nous serre aux tripes quand on tourne inéluctablement sa dernière page.
Lien : https://www.lapresse.ca/arts..
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