J'ai découvert l'auteur grâce à une connaissance commune qui m'avait mis dans les mains son précédent roman (l'excellent "Comment devenir un guerrier Massaï), et je me suis précipité sur celui-ci en espérant retrouver son humour et son univers décalé.
Banco, on y est ! Le narrateur découvre une fissure sur sa terrasse et c'est le début d'un bon bordel façon crescendo dans sa vie d'adulte pas tout à fait assumé. L'humour mis à part, il y a pas mal de moments assez émouvants sur la relation père-fils, notamment avec la fin qui est plutôt bien amenée.
Bref, c'est un roman charmant, distrayant et très agréable.
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8 nouvelles plus ou moins courtes, dans le genre souvenirs d'enfance avec une touche de fantastique. Très agréables à lire, ces petits récits nous rappellent avec nostalgie toutes les bêtises que l'on a faites enfant et qui restent de bons souvenirs.
Le principe même de la nouvelle étant de ne pas tout dévoiler, certaines, comme "Le coup de la tarte", nous laissent véritablement sur notre faim, laissant place à l'imagination de chacun pour interpréter l'histoire.
Enfin, ce qui m'a surtout plu, c'est qu'il y a du suspense, on sent qu'il va arriver quelque chose, c'est inévitable, mais on ne sait pas comment et quand ça va se produire. Il y a une tension qui se créée et qui nous pousse à continuer à lire.
Mention spéciale à la nouvelle "Nature mon c... !" qui est ma préférée.
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Comme dans le dernier roman d'Eric Gilberh (l'émouvant "Comment devenir guerrier Massaï"), le lecteur est véritablement happé, de la première à la dernière page, dans un univers à la fois réaliste et décalé, peuplé de personnages aussi drôles qu'attachants. Et c'est avec un réel plaisir que l'on retrouvel 'antihéros Gabriel Poussin, avec une quinzaine d'années en moins et aux prises avec une future paternité qu'il a du mal à gérer. Lui aussi se dévore si vite qu'on en redemanderait bien encore un peu... A lire absolument!
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Vraiment génial. On rit ! On pleure aussi. Et surtout, on ne peut pas s'empêcher de le lire tout d'un coup tellement l'histoire nous transporte...
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