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Citations de Eric Powell (63)


Le vagabond est l'expression la plus héroïque d’une forte individualité. Il n'est nul besoin d’héroïsme pour avoir de l'argent et rester sans travailler. Mais qui traverse la vie sans argent ni travail est un héros.
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- Je m'en doutais. Il ne faut jamais faire confiance à un gars qui porte une robe juste parce qu'il a perdu un pari.
- Comment oses-tu continuer de te moquer ? J'ai vu les empereurs des mers, de la terre, du vent et des flammes ! Le bout de leurs lances brillait comme un océan d'étoiles sur le champ de bataille ! J'ai vu le ciel devenir orange et bleu sous les flammes des dragons !
- Un jour j'ai vu un cochon sur un vélo en train de fumer un cigare sur une aire de repos du Missouri et pourtant je ne la ramène pas.
- Je...
- Tu as déjà vu un cochon faire du vélo en fumant un cigare ?
- NON !
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LE GOON : J’ai dû me frayer un chemin à coup de crosse à travers un million de rats de la taille d’un Saint-Bernard à cause de vous… Tout le monde en rang pour la raclée !!
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Tu proutes ?
Tu loufes ?
Tu lâches des caisses comme un docker, ça sent le mazout dans ton atmosphère ?
Alors ce qu'il te faut... c'est PROUT ACTION !
Quand tu pètes pire que ton daron, la p'tite gélule qui te bouche le fion !
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LE PRÊTRE ZOMBI [dans le rôle d'Ebenezer Scrooge] : Si je pouvais en faire à ma tête, tout imbécile qui court les rues avec un joyeux Noël sur les lèvres serait mis à bouillir avec son propre pudding et enterré avec une branche de houx dans le cœur, voilà tout !
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Avant Ed et Psychose, les monstres des films venaient systématiquement d'ailleurs : Transylvanie, Allemagne, Angleterre… Ou de l'espace.
Sous les traits de Norman Bates, Ed Gein introduisit quelque chose de nouveau et de révolutionnaire sur le grand écran : le monstre américain pure souche. La terreur voisine.
Norman Bates ne fut pas la seule icône de film d'horreur que Gein inspira. Il servit également de modèle pour Leatherface et son masque en peau humaine dans Massacre à la tronçonneuse de Tobe Hooper, ainsi que Jame Gumb alias Buffalo Bill, le tueur en série qui coud un costume en peau à partir des corps écorchés de ses victimes féminines dans Le Silence des agneaux de Thomas Harris.
Mais l'influence culturelle d'Ed fut plus vaste encore. Si Psychose donna naissance au genre “slasher”, la figure d'Ed Gein se dresse derrière chaque psychopathe brandissant un couteau, une hache ou un couperet ayant hanté les écrans dans les décennies qui suivirent.
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J'étais bien décidé à oublier Holly, oublier jusqu'à son existence. C'était le seul moyen pour moi de survivre. Il fallait que j'arrête de m'autodétruire. Que je me construise une nouvelle vie, et puis... Sa dernière lettre est arrivée.
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- Monsieur, j'aimerais aussi offrir mon aide pour avoir malencontreusement tenté de me sustenter avec M. Goon et vous.

- Tu veux dire qu'après qu'on t'a tapé comme une tapette, attaché au capot de la voiture, mis le feu puis jeté à la baille comme une saleté grillée du Kentucky, tu veux quand même aider le Goon ?
Je suis touché, je... je ne sais pas quoi dire.
COUTEAU DANS L'OEIL !
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Il n'y a aucune prise de position morale. C'est un film qui traite de gens dérangés. On ne peut appliquer la notion de moralité aux fous.
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Dépêche-toi de t'endormir si tu ne veux pas que la toute petite mort vienne t'emmener !
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p.5.
Lorsqu'on a cessé de craindre la mort... lorsqu'on n'a plus rien à perdre... Alors, on devient capable de tout.
Au moment où j'ai fini de lire cette lettre, j'ai su qu'il n'y avait désormais plus une seule chose dont j'aie quelque chose à foutre dans ce monde.
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Ca suffit! Les singes morts géants, c'est ma limite. J'ai accepté le loup-garou bouseux, le nabot et sa boule de bowling sur la main, j'accepterai même le grand mec qui bouffe des rats. Mais c'est tout ce que je pourrai supporter ce soir! Je rentre chez moi!
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Ceci est l'incroyable chèvre borgne à deux yeux ! Elle sait dire la bonne aventure !
_ À d'autres ! Les chèvres savent dire que "BÈÈH" !
_ Et un borgne à deux mirettes, c'est aussi bidon qu'une mèche sur l’œil ! Allez, on met les bouts.
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Nous mettons en terre les restes terrestres de Stewart Santino pour la seconde fois. Faites qu'il trouve enfin la paix.
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LE GOON : Quand vos mères vous fileront de la purée de maïs à la petite cuillère à l’hosto, venez pas dire que je ne vous avais pas prévenus.
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On dirait que la nuit va être longue.
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Je n'ai jamais tué personne, à ma connaissance.
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C'était l'histoire d'un homme qui avait gardé le corps de sa mère dans sa maison, quelque part dans le Wisconsin. Je ne peux que supposer qu'il avait bu un verre de lait avant de commettre ses crimes.
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- C'est intéressant de voir comment ça marche.
- Comment quoi marche ?
- La création d'un croque-mitaine. Ce type a gagné sa place d'honneur entre Dracula et Jack l’Éventreur.
- Exact. Les vilains mômes vont bientôt s'entendre dire qu'ils feraient mieux d'être sages ou Eddie Gein rentrera par la fenêtre leur grignoter les orteils.
- Une créature du folklore. Une projection de l'imaginaire humain, je suppose. Gein sort du décor, l'esprit ne peut pas juste accepter la réalité, alors il en fait une légende.
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- J'envisage de partir d'ici, Eddie.
- Quoi ?
- Comme je viens de te le dire. Faire mes valises et partir. Pour de bon. Une nouvelle vie. Peut-être en ville.
Ne me fais pas tes yeux rond. Tu sais de quoi je parle. Elle est de plus en plus tarée. A répéter comme un perroquet ses litanies sur les putes et l'enfer et les damnations.
A ses yeux de folle, Plainfield est juste un immense bordel. Elle te l'a fait croire aussi. SI je ne me barre pas d'ici bientôt, je finirai aussi timbré qu'elle. Et toi aussi. Je te le dis, petit frère, il est grand temps qu'on coupe le cordon.
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