Même si elle manque de subtilité, voici une bien jolie fable pour sensibiliser les enfants à respecter la nature et les dissuader de l'exploiter.
Quatre animaux vivent en harmonie sur une minuscule île paradisiaque, jusqu'au jour où ils décident de produire davantage. Leur île et la mer alentour se détraquent alors, jusqu'à ce qu'ils reprennent un mode de vie raisonné et raisonnable pour retrouver leur "petit confettis de paradis".
Il est très facile de comparer cette histoire avec notre mode de vie actuel, et même si elle est un poil caricaturale elle permet d'ouvrir un beau dialogue et une utile réflexion.
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Un fantôme jaune arrive au château. Farine, un fantôme blanc de blanc, est très exclusif, discriminatoire, ségrégationniste. Mais on va vite découvrir que Farine peut être rouge de colère ou vert de peur...
Un bel hommage à la différence et à l'acceptation d'autrui.
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Partie dans cette lecture avec un apriori peu enthousiaste (le titre, la couverture…), je l’ai finalement dévoré !!
Il s’agit en fait d’une petite BD, bien écrite et avec de jolis dessins sur le thème de la rencontre avec les extraterrestres. On oscille entre peur de l’inconnu et intérêt en fonction des personnages. Tout cela agrémenté de gags et d’une exploitation fine du genre (bulles penchées, jeu des personnages sur le découpage en chapitres).
J’ai adoré cette citation : « A quoi ça sert sur la Terre, une boite à meuh ? ». Evidemment pour apprécier, il faut lire la BD…
Vivement le prochain épisode !! Avec peut-être même la réponse à cette question hautement philosophique…
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Voici une découverte sympathique faite grâce à mon activité de recenseuse pour la fondation Battieuw-Schmidt.
Il s’agit de « Bonhomme vert », écrit et illustré par Florence Langlois, et publié aux éditions Frimousse .
Les éditions Frimousse proposent, sur un texte et des illustrations de Florence Langlois, un album créatif valorisant les rencontres entre personnes d’origines différentes, et l’harmonie qui peut
naître de la pleine acceptation de l’autre.
Le concept est à saluer, l’autrice-illustratrice se servant de petits personnages de couleurs différentes pour illustrer son propos de manière divertissante et intelligente.
Nous saluerons aussi l’étonnante gamme de vert utilisée pour donner vie à la première partie de l’histoire. Ces nuances ne provoquent aucune saturation, tant les illustrations enrichissent le récit.
Sa fin ouverte, qui incite l’enfant à regarder très attentivement autour de lui pour remarquer la multitude de couleurs qui embellissent le monde, est un précieux conseil.
Dès 3 ans en lecture accompagnée.
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Comme à son habitude le loup a faim de chevreaux (les 7 de Grimm évidemment !) : il va donc les coincer à l’école où ils sont scolarisés. S’en suit alors une succession de gags qui feront rire les plus jeunes en découvrant le loup dans des situations farfelues. Ce titre fait partie de la collection « Milan poche Benjamin »les chapitres sont courts et comprend un lexique de mots difficiles.
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On dit que quand le sommeil tarde à se montrer, il faut compter les moutons. Grogrochien, lui, aimerait beaucoup s’endormir, mais un par un, des moutons déboulent et veulent se joindre à lui. Chacun a un prétexte différent. Grogrochien est tout gentil, il accepte toujours, mais à force d’être sans cesse dérangé, il n’a plus sommeil ! Super, disent les dix petits moutons, il va pouvoir leur raconter une histoire ! Dès 18 mois.
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La collection Ouistiti fait rire les petits est à mettre entre toutes les mains des enfants à partir de 18 mois, tant elle s’y entend pour leur raconter le quotidien sous des aspects très dépaysants. On assiste ici au moment du coucher, qui ne se déroule pas comme Dudule la sorcière le souhaiterait : les zouzous rigolent ! Un peu, beaucoup, trop à son goût. Alors elle se fâche ! Mettez cette petite histoire de la colère entre toutes les petites oreilles, elles adorent assister à des éclats de colère, il se pourrait bien qu’elles (se) rejouent la scène souvent, d’ailleurs. Notons bien au passage que Dudule, elle, promet de ne plus jamais se mettre en colère…
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Ours, Lapin, Mouton et Léonard vivent sur un confetti de paradis. Chacun vaque a ses occupations : carottes, pêche, tricot... mais un jour, il décide de se lancer dans la pêche intensive, une grosse production de carottes. Le confetti de paradis va se transformer petit à petit avec plein de constructions, les poissons disparaissent, les carottes se transforment. Ils vont alors se rendre compte qu'ils n'avaient pas besoin de tout ça...
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Livre assez fragile mais super bien fait, les enfants ne veulent pas d'abord mettre la main car ils ne voient pas ce qu'ils vont toucher mais au final s'amusent bien.
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