Entrevista a Francisco de Paula Fernández
Dans la vie, il y a parfois des gens sortis de nulle part qui marquent à jamais votre existence. Le destin les place sur votre chemin et, comme par magie, ils influencent votre comportement parfois au point de changer votre façon d'être. Ils tissent sur vous une toile qui vous retient prisonnier de leur essence, quelle qu'elle soit...
Comment se fait-il que quelqu'un qu'on ne connaît pas puisse nous manquer ?
Tu sais quoi ? Je me suis réveillé en pensant à toi. Mais le plus curieux c'est que je me suis couché en pensant à toi aussi.
Des papillons dans le ventre. Sourire idiot. Regard brillant.
C'est ça, l'amour, non ?
Je t'aime. Je t'aime tellement que c'en est douloureux parfois.
Comment est-ce possible qu'il y ait encore des gens pour dire qu'à dix-sept ans, on ne sait pas ce qu'est l'amour !... Que ce n'est pas de l'amour véritable ? Il souffre rien qu'en pensant à elle : si ce n'est pas de l'amour, alors qu'est-ce que c'est ?
On dit que si l'on peut rester silencieux avec quelqu'un sans se sentir mal à l'aise, c'est qu'il existe une vraie alchimie entre les deux.
Comment est-il possible qu'elle lui plaise tant? C'est très simple : Paula est parfaite. Belle, intelligente, extravertie, intrépide, tendre... C'est elle. C'est tout
La douleur de l'indifférence de l'autre dure-t-elle aussi longtemps que l'on a aimé ?
C'est une chambre à crier. Qu'on appelle aussi salle bouchon. Elle est tapissée d'une série de plaques pour qu'aucun son ne rentre ni ne sorte.
Elle comprend mieux le silence sépulcral.