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Critiques de François Blistene (11)
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Pater monster

Lorsque le narrateur apprend par sa compagne du moment qu’il va être père, il décide de ne pas s’impliquer dans cette future paternité, allant même jusqu’à accepter que le nouveau mari de son ex-compagne adopte le petit garçon. Pourtant, des années plus tard, le narrateur voudra établir un contact avec ce fils qu’il ne connaît pas du tout, et passera ainsi une semaine à ses côtés.



Si vous aimez les romans totalement déjantés, décalés et à l’humour caustique, je dois vous dire que ce livre réunit tous ces éléments. Quelle lecture je découvre ici avec ce récit complètement différent par rapport à ceux que j’ai pu lire sur cette thématique.



Il faut dire que le narrateur est vraiment un personnage haut en couleurs. C’est peut-être même trop, par certains moments. J’ai trouvé parfois cet humour un peu trop décalé et l’on frôle le trop-plein de cynisme à plusieurs reprises.



Et pourtant, la recette fonctionne, puisque François a réussi à créer un roman qui indubitablement se démarquera, tout en abordant une thématique maintes fois revisitée en littérature. Ici, le narrateur va se retrouver totalement perdu face à cette paternité totalement inattendue et il lui faudra beaucoup de temps pour l’accepter.



François a décidé d’aborder ce sujet sous une perspective humoristique et si c’est réussi, je n’aurais pas été contre de découvrir une sorte d’évolution chez le narrateur, ou même quelques passages plus sérieux. Il y a une sorte de linéarité dans le ton du récit proposé par l’auteur.



La plume est vivace et dynamique. Pas d’ennui possible à la lecture. Les pages defilent. J’ai beaucoup aimé le partage du schéma narratif proposé par l’auteur. Il y a deux parties dans ce roman, en quelque sorte. La première servant davantage à présenter le narrateur, et la deuxième permettant la rencontre entre ce dernier et son fils.



Un roman décalé, différent et très difficile à classer. L’originalité est indéniable et même si parfois cela donne une effet d’exagération, l’auteur a réussi à faire un récit qui sort de l’ordinaire. À découvrir.
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Le passé imposé

On entre dans la maison où a grandi Philippe Pontagnier, personnage du "Passé imposé", comme dans le récit de Francois Blistène.

La décoration y est soigneuse, très travaillée mais un peu surchargée.

On continue tout de même : l'histoire de ces lieux est fort alléchante, et le style, quoique pompeux, offre parfois de jolis moments de lecture.



Philippe Pontagnier se retrouve à dix-neuf ans brutalement orphelin. Après l'hébétude que provoque davantage la surprise qu'un véritable chagrin, il met à profit sa solitude et une confortable situation financière pour vivre enfin comme il l'entend. Finies les frivolités, à bas les mondanités. Pontagnier vivra reclus dans sa gigantesque et infranchissable demeure. Seulement, parvenu à un certain âge, le besoin de perpétuer son nom le titille... Ayant trouvé une femme soumise et discrète, apte à procréer, il s'entoure bientôt de trois enfants qu'il élèvera, loin des turpitudes et des tentations du monde moderne, selon de rigoureux principes.

Culture et exemplarité, exigence intellectuelle sont les maitres mots d'une éducation que pour parfaire, il est obligé de faire pénétrer un tiers dans sa forteresse. Ses aînés sont alors adolescents, en plein bouillonnement hormonal, et leur envie de découvrir un monde extérieur source de fantasmes devient peu à peu une obsession.



Le foisonnement de métaphores, l'humour caustique et le ton distancié qu'utilisent l'auteur auraient pu faire de la lecture de ce roman un moment mémorable. Mais l'alchimie n'a pas prise. J'ai eu l'impression que François Blistène, à trop vouloir en faire, versait dans l'étalage d'érudition, aux dépens d'une légèreté qui affleure parfois, mais qu'une écriture trop sophistiquée finit par plomber.



Avide de découvrir malgré tout les aventures des jeunes Pontagnier parachutés dans le monde moderne, mon intérêt n'a pas perduré bien longtemps...

Leur facilité à se conformer au mode de vie qu'impose une société de l'uniformisation et de la consommation, les rend finalement banals et décevants.



L'atmosphère ténébreuse et anxiogène, elle aussi prometteuse, qui régnait dans la demeure familiale, se dissipe, affadissant l'intrigue.



Dommage...
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Les B

Quand j'ai reçu cette proposition des éditions @  mon petit cœur de lectrice à fait "Bim bam boum" ! Je tiens à remercier Filipa pour sa confiance. François Blistène, le lire, c'est l'adopter ! Oui, mais te voilà prévenu(e) car dans ce roman jaune et noir en mode abeille, tu seras piquée d'un humour noir et décapant qui te fera parfois faire les gros 👀 ! Vous le savez, j'aime sortir de ma zone de confort et là, j'ai été agréablement servie ! Les B, c'est une écriture singulière à part entière, un coup de plume qui te tombe sur la tête telle une enclume. Le personnage dépeint par François Blistène est un zéro (disons-le !). Il se considère comme un Dandy, n'a pas l'envie de bosser tellement il est flemmard et n'a pas de réel potentiel... MAIS il a cette faculté d'emprise psychologique sur autrui. C'est alors qu'après l'envol de Mike Brant, un plan plutôt machiavélique, tordu, cynique, mais d'une originalité totale, va se mettre en place et il va  tuer sans tuer !  Eh bien- entendu, ses "victimes" ce sera la lettre B ! J'ai dévoré ce roman en à peine quelques heures. Il se lit rapidement avec des chapitres courts, mais assez détaillés et parfaitement structurés. Le style de l'auteur est un réel cataclysme. Pas de détour, pas de retenue, c'est un humour noir qui vous transportera dans les 209 pages de ce roman.
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Pater monster

Bonsoir à toi qui passe par là. Attention, ovni ! Hier, j'ai lu " Pater Monster " de François Blistène et ça décape. Dans un récit complètement décalé, l'auteur aborde un sujet sensible, celui de la paternité non voulue car c'est bien ce qui arrive à Thomas, un mec basic assez égocentrique et irresponsable voulant profiter de la vie en réussissant à ne rien foutre, en bon épicurien. Notre protagoniste a tout du parfait connard, l'anti-héros parfait. Lisa devra se débrouiller, ce mome, il ne compte pas le reconnaître ni l'élever. On suit ensuite la débauche du protagoniste entre amitiés, amours légers qui se succèdent et son amour pour le cinéma, la photographie et les livres. Et l'air de rien, on s'attache à lui. Mais voilà qu'un jour, Thomas croise son ex, son mari et son fils dans une brocante à un stand faisant l'éloge de ce qui lui semble être une secte. Frappé de curiosité envers ce drôle de bonhomme de 8 ans, il va user de chantage auprès de Lisa pour passer 8 jours avec son fils, cet étranger en promettant d'ensuite sortir de sa vie définitivement. 8 jours pour construire une relation, 8 jours pour jouer au père ou le devenir ? 8 jours où tout peut arriver. Un roman surprenant, une plume remplie d'humour cynique, des points de vue différents, parfois celui de l'enfant, celui de Lisa et un final vertigineux et acide que j'ai adoré et qui m'a vraiment surprise. C'est une très belle découverte. Foncez !

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Extrait : " Je viens de commettre un crime. J'ai fait un enfant la nuit dernière. Apparamment. "



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Les B

Un pitch excellent. Un résumé alléchant. Un titre mémorable car il fait écho à l'histoire, même une fois le livre refermé.

Tout a été pensé pour m'attirer.



Ce fameux pitch est percutant : un homme banal va se trouver une occupation, ou pourrait-on dire plutôt une mission, dans sa vie : faciliter la mort de ceux dont l'initiale est le B.

Ça commence de maniere cocasse avec Mike Brant.

Puis on continue doucement. Tellement doucement que le "B" suivant n'arrive pas, même si les pages défilent. Et la promesse du titre, alors ? Car ensuite, on n'avance pas trop vite, et on revient sur du lentement, pour enfin voir le 2nd B. Mais alors tout doucement.

Lentement.

Trop !

Pour moi, au final, tout a été beaucoup trop lent ! L'idée était pourtant géniale. Mais j'ai vraiment été déçu. Je m'attendais à tellement plus intense.



C'est bien écrit ; c'est même une écriture très bien travaillée, peut-être même limite technique, voire élitiste, par un auteur que j'ai senti particulièrement érudit et cultivé. Et si parfois, certains mots étaient nouveaux pour moi, j'ai quand même apprécié ce style.

Malheureusement les digressions et pensées du héros (et de l'auteur ?) ont été plus fortes que l'idée de base. C'est très bien pensé, mais trop éloigné de la promesse que j'étais venu récupérer. Ça a changé le centre de gravité de cet humour et cette singularité d'un meurtrier qui aurait pu, aurait dû, m'emmener haut dans mon échelle de goût.



C'est pourquoi je m'arrêterai sur mon petit échelon du 5/10.

Et je comprends parfaitement comment d'autres peuvent avoir adoré l'histoire ! C'est vraiment une appréciation personnelle, car loin de moi, je le répète souvent, l'envie de "noter" un auteur. Un lecteur n'a pas à se muer en prof face à un auteur qui, lui, a donné une part de lui dans son récit !



Et je ne peux m'empêcher de penser (c'est sûrement mon sentiment de regret qui parle) que si le résumé avait servi de base à un exercice de style, une ou plusieurs autres histoires auraient pu prendre d'autres rythmes, d'autres voies, et peut-être me plaire nettement plus. Mais qui sait, l'auteur a-t-il déjà en tête de trouver une autre lettre en trame de fond de sa prochaine histoire, maintenant que les bases sont là.
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Les B

Le commentaire de Lynda :

Un roman qui se lit assez rapidement, et disons une trame assez original, que j'ai beaucoup aimé, même si l'histoire m'a un peu sorti de ma zone de confort. Et je suis contente de l'avoir lu.

Le personnage principal est ce que l'on peut dire assez spécial. C'est un paresseux, un homme qui ne fout pas grand-chose, et qui se trouve un projet assez spécial, je dois dire.

Son but, détruire les ''B'', je vous explique, au hasard d'un annuaire, il va noter les noms qui commencent par ''B'' et de là, oh non, il ne va pas les tuer, mais il va assister le destin pour les aider à disparaître de la planète.

Chapitres très courts, une trame qui accroche, des moments complètement fous provoquant des fou-rires.

Un humour noir subtil (pas toujours), une lecture divertissante de par son sujet, alors je vous recommande cette petite lecture, qui vous fera rire, sinon sourire !



Le commentaire de Cathy :

Cette couverture délirante et le résumé de ce roman ne pouvaient que m'inciter à le lire.

Le narrateur de cette histoire se présente comme un étudiant à la faculté de Nanterre pour retarder son entrée dans la vie active, un parasite qui s'incruste le plus possible.

Il s'est découvert une faculté, celle de mettre sous son emprise psychologique les gens.

Content du résultat sur sa première victime, il va mettre au point un plan machiavélique, son but éliminer les B.

Ce roman, je l'ai lu très vite, les chapitres courts donnent un bon rythme, la plume de François Blistène est très agréable, il nous propose un roman à l'humour noir décapant.

C'est un plan sacrément tordu que monte cet homme, ce roman est un ovni, cette lecture est distrayante, loin des sentiers battus.
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Pater monster

Le commentaire de Martine :

Un roman actuel, combien de ces histoires a-t-on entendu parler ? Le protagoniste Thomas est bien dépeint par l’auteur, un gars égocentrique, l’homme qui accumule les conquêtes, et s’en vante. Il a oublié de prendre en considération que ces femmes qu’il a conquises, sont premièrement des êtres humains, qui sont des êtres sensibles, il utilise, et use de son charme pour les appâter, mais il ne veut surtout pas s’encombrer d’une femme, et pour celle-ci avec qui un soir, il a fait un enfant, il ne veut pas avoir son enfant dans les jambes.

Le plus important pour lui est le côté sexuel de la femme qui lui apporte satisfaction, plaisir et moment agréable sans contrainte. Rien ne se joue sur côté moral, intégrité et responsabilité pour cet homme.

Lisa, cette femme avec qui un soir, Thomas a fabriqué un enfant, va se débrouiller et élever seul son petit garçon. Elle ne demandera rien au géniteur et lui de son côté ne veut pas être reconnu. Jusqu’au jour où il va rencontrer Lisa, son mari et son fils de 8 ans, et qu'il va négocier pour pouvoir passer huit jours avec son fils, apprendre à le connaître, à jouer au père et peut-être le devenir, mais est-ce qu’un homme peut refaire surface dans une vie et tout bousculer ?

Une histoire surprenante, un récit décapant, la plume de François Blistene permet d’alléger l’intrigue avec un peu d’humour. Les personnages sont attachants, nous apprenons à découvrir le point de vue de chacun des protagonistes, Lisa, l’enfant, et Thomas. C’est un récit surprenant et très actuel, on ne cherche pas à trouver le coupable des événements, mais bien d’accepter les décisions et les choix que chaque personne fait, bien au-delà de son bien-être personnel.

Une lecture que je vous recommande.
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Le passé imposé

Philippe, un papa qui vous veut du bien.



«Aussi rapidement que certains attrapent un rhume, Philippe Pontagnier se retrouva orphelin. Exaspéré par les velléités culinaires de ses parents et leur quête dominicale d’une nouvelle auberge où se goinfrer, il avait refusé ce jour-là de les accompagner. Bien lui en prit, vu l’état de la voiture agonisant dans un ravin de coquelicots vermillon.»



Décapant et drôle dès la première phrase, le deuxième roman de Francois Blistène, paru en mars 2014 aux éditions du Sonneur, met en scène un misanthrope psychopathe parfaitement haïssable, mais rempli de bonnes intentions envers ses enfants – «à condition qu’ils ne le déçoivent pas».



Se retrouvant soudain orphelin et à la tête d’une fortune confortable, Philippe Pontagnier se coupe du monde, de cette humanité qu’il abhorre, organisant son retrait avec le soin obsessionnel qui le caractérise, dans sa propriété isolée de tout. Rêvant d’engendrer des êtres parfaits à son image, détachés des divertissements et des exaltations futiles et détestables, il sélectionne une épouse reproductrice et entreprend de façonner le destin de ses trois enfants, et de leur ôter toute envie de sortir de la maison, personnage central du livre.



«Pontagnier leur fit croire un moment qu’une guerre impitoyable se déroulait dehors et qu’ils seraient exterminés s’ils montraient un seul bout de leur nez. Cette version les impressionna beaucoup, modéra leur intrépidité et les conforta dans un certain conservatisme propre aux jeunes. D’autant que Pontagnier poussa son avantage en leur montrant des gravures illustrant le massacre de la Saint-Barthélemy et des reproductions de tableaux de Jérôme Bosch. Les enfants s’interpellèrent plusieurs nuits pour vérifier qu’ils étaient toujours en vie et que l’ogre n’était pas encore venu.

Il serait là bien assez tôt.»



Les enfants ne connaissent ni leur lieu de résidence ni leur nom de famille, tout ce qui leur fournirait des repères par rapport au monde contemporain ayant été éradiqué dans la maison. Hélas pour leur géniteur, les trois bambins mettent un jour la main sur un disque d’Elvis Presley et commencent à soupçonner en l'écoutant que le monde extérieur n’est pas aussi monstrueux que la peinture qu'en a fait leur père. «Bibopaloula.»



Francois Blistène est un excellent conteur, et ce drame parodique, jonché de phrases comme des cailloux blancs qui en annoncent l’issue, est très divertissant, essentiellement grâce à ce monstrueux personnage de père, fou obsessionnel, rêvant de recréer et de transmettre un monde sans humanité.



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Moi, ma vie, son oeuvre

Je restai abasourdi. Ce cri atroce, obscène, qui striait un matin paisible, pas même pluvieux, bref, une journée de bonne humeur, cette sirène de mort était absolument inconcevable. Elle me donna la nausée.

J'armai ma mitraillette et descendis cette grosse ordure qui tomba, grasse, de son balcon, défonçant le ciment strict, peu enclin à l’escapade et aux épanchements. Je la piétinai à coups de sabot de bois et la réduisis en miettes sanguinolentes, une vraie bouillie, monsieur le président, un acharnement inadmissible, inexcusable ! Elle cria : « Pitié, je n’y suis pour rien ! » Mais j’achevai cette charogne en lui extirpant le cœur à l’aide d’un râteau. Puis, vampire de La Villette, je le dévorai et m'en barbouillai la face, vociférant un qawwali lugubre et implacable.

- J’arrive, attendez, vous êtes bien monsieur Thomas ?

continua l’immonde que j’avais finalement épargnée.

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Moi, ma vie, son oeuvre

Thomas aime le tennis et le sexe, cultive le cynisme et l'humour, et sa vie n'a rien de particulier. Jusqu'à sa rencontre avec un vieux peintre génial mais inconnu, à qui il "volera" l'oeuvre pour devenir l'un des plus grands artistes du XXeme siècle !



Cette fausse autobiographie est tout simplement un régal ! Une plume superbe, un humour délicieux, un voyage dans le Paris artistique des années 40 qui nous rappellerait presque le dernier film de Woody Allen (Minuit à Paris), tout cela pour nous offrir une sorte de mélange entre les univers de Jaenada et Philip Roth.



Bref, si vous aimez la peinture, les arts, le Paris des années 40, le cul et l'humour intelligent, foncez sans hésiter ! Et cerise sur le gâteau, vous récompenserez un "petit éditeur" qui fait un boulot extraordinaire !

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Le passé imposé

On s'attache très vite à la fausse innocence de l'auteur. Sa plume désinvolte, faussement indifférente, nous fait rire. Elle laisse la porte ouverte à tous les possibles imaginables, joue de situations farfelues, au risque de se perdre, ou de se brûler les ailes, dans une mise en danger constante, et surprenante. Elle introduit le possible dans le récit.
Lien : http://www.actualitte.com/cr..
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