AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.14/5 (sur 7 notes)

Nationalité : France
Biographie :

François Carré est comédien, metteur en scène, auteur de romans et de théâtre.

Il vit actuellement à New York.

Ajouter des informations
Bibliographie de François Carré   (7)Voir plus

étiquettes
Videos et interviews (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de

Bienvenue sur ma chaîne YouTube ! ? Pour lire La mort est une garce : http://www.amazon.fr/Mort-est-une-garce-ebook/dp/B00U058K16/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1430247811&sr=8-1&keywords=la+mort+est+une+garce ? Les livres mentionnés : -Qui est Mara Dyer? de Michelle Hodckin -La mort est une garce de Baptiste Beaulieu -Mille-failles de François Carré -Dégage ! de Valentina Diana ? Ce que je porte sur la vidéo : Tshirt : Pimkie Gilet : Zara Pantalon : New Yorker ? Retrouvez-moi sur : Mail : h.le.mot.rose@gmail.com Wish list Amazon : http://www.amazon.fr/registry/wishlist/1NC5XBWD065ZB Livraddict : http://www.livraddict.com/profil/tartealarhubarbe/ Instagram : http://instagram.com/helolmr/ Twitter : https://twitter.com/mot_rose

+ Lire la suite

Citations et extraits (6) Ajouter une citation
Nous nous épuisons sans cesse en effet à nous rejeter le poids de ces fautes les uns sur les autres, alors que c’est au contraire dans leur reconnaissance, dans la réalisation de notre possible cruauté, dans la vigilance face à l’horreur qu’elle peut enfanter, que réside notre vraie responsabilité, notre qualité d’êtres humains et qui veulent le rester. Car avant d’être bouddhiste, juif, chrétien, musulman ou athée, pâle, basané, noir ou bridé, on est homme, et c’est bien en ce nom-là, d’abord, qu’on agit.
Commenter  J’apprécie          50
Quand j’avais cru qu’on m’avait enfin accepté. Cette sensation s’est étirée. Comme une caresse. C’est pour ça que je n’ai pas réagi au contact de cette main sur mon sexe. J’étais sous l’empire de cette autre sensation, qui venait d’éclore en moi. J’étais trop occupé à la couver. Et d’un seul coup, j’ai réalisé que c’était l’obscurité qui l’avait fait naître. J’ai pensé à la mort. Je ne sais pas pourquoi /p.125
Commenter  J’apprécie          50
Et la couleur de cet oubli est une demi-teinte, passée et fausse. Je suis devenu faux à force de vouloir contrer l’insulte. Cette anticipation perpétuelle m’a ôté toute spontanéité. Je ne me confie jamais. Je ne parle que lorsque c’est nécessaire. Je n’ose même pas courir dans la rue, parce que j’ai peur qu’on me remarque et qu’on se moque de moi. Quand je marche, d’un pas que j’espère le plus anonyme possible, et que quelqu’un rit derrière moi, je n’ose pas me retourner et constater que c’est bien de moi qu’on rit. Comme autrefois. Je ne danse bien sûr jamais. Je n’ai jamais dansé en public. Adolescent, j’ai bien essayé quelques pas devant un miroir, mais j’ai vite arrêté de les répéter puisque je les savais inutiles. Et je me trouvais ridicule moi-même dans ce tête-à-tête misérable. Je ne ris pas non plus. J’ai peur de mon rire. / p. 17
Commenter  J’apprécie          40
-Salade opposée -
Ne prétendez pas que cette pensée désagréable n’existe pas, ou qu’elle n’est pas désagréable, ou qu’elle est une mauvaise pensée. Elle n’est pas mauvaise en soi :c’est sa saveur qui vous est désagréable.
Commenter  J’apprécie          50
Certes, ces fruits que vous ramasserez pour confectionner votre mille-failles vous sembleront parfois bien aigres, et même âcres, mais si vous les incorporez doucement, le plus délicatement possible, à votre crème, même putassière, ils ne devraient pas y laisser de saveur trop acide ou amère. Et si amertume malgré tout il y a, elle saura contraster subtilement avec la douceur de cet entremets, et n’en rendra le parfum que plus riche et plus mesuré.
Commenter  J’apprécie          10
-Eux en gelée -
Mesurez la fréquence avec laquelle nous assaisonnons nos observations d’expressions comme « les gens », « les autres », ou « la société » et de mots comme « ils », « elles » ou « eux ». La troisième personne du pluriel est une saumure épaisse dans laquelle nous aimons conserver l’impression d’être le centre de l’univers. C’est en quelque sorte le comble inavoué de la xénophobie. C’est peut-être aussi sa ridicule origine.
Commenter  J’apprécie          10

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de François Carré (12)Voir plus

Quiz Voir plus

Les Fourberies De Scapin.

Qui est Octave pour Hyacinte ?

Son frere
Son pere
Son amant
Son valet

8 questions
457 lecteurs ont répondu
Thème : Les fourberies de Scapin de MolièreCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}