Citations de François Descraques (67)
Il ne fait jamais sous-estimer les idiots ni le danger qu'ils représentent.
Je descends chez Franprix. Je ne fais même plus semblant d’hésiter au rayon gâteaux. Je vais direct au rayon alcools. Les bières ne vont bientôt plus suffire. Je vais devoir passer aux alcools forts. Ceux qui sont derrière la vitrine que seuls les caissiers peuvent ouvrir.
Et quand les caissiers commenceront à me juger, je changerai de magasin. Oui, j’y ai pas mal réfléchi.
Ma vie est hors de contrôle mais mon alcoolisme est ultra-planifié.
(...)
Je bois une bière. Puis une autre. Puis une autre. Puis une autre.
La bière, ça se boit comme des chips.
Avant de donner des ordres, il faut apprendre à les suivre.
Les cours d'Histoire ne disent pas forcément toute la vérité.
- On est en quelle année ?
- 2099. C'est l'époque d'où je viens.
- C'est bien ou pas ?
- Niveau fringues, ça va. Par contre, la musique, c'est une catastrophe.
- Avant de diriger la brigade temporelle, Constance à appris à se battre. C'était même la meilleure sur le terrain.
- Meilleure que toi ?
- Oui. Mais ne lui dis pas. Avant de devenir la meilleure, elle venait tous les jours s'entraîner. Sur cette cible.
- Ouais mais Constance, elle était dans l'armée avant, c'est obligé.
- Pas du tout. Avant elle était boulangère.
Top 7 de mes meilleures raison de faire un manga :
- On peut élargir un univers déjà existant qui a commencé sur un banc du bois de Vincennes en 2009.
- On peut raconter une histoire feuilletonnante sur plusieurs tomes.
- On peut montrer des scènes d’action presque impossible à réaliser en TV ou sur le Web.
- On peut avoir des personnages encore plus badass qu’avant.
- On a plus de place pour faire exister ces personnages sur plus de planches.
- On peut travailler avec Guillaume Lapeyre et son assistant-créateur de décors Alexandre Desmassias.
- On peut se dire que grâce à Ankama, on a la chance de faire un manga en France.
- Vous venez d'où Bernie ?
- Je viens d'un endroit qui doit être trop chelou pour vous. On a une reine et on doit tout ce qu'elle dit. Et on crève la dalle alors qu'elle se gave de wizz. La pute.
- Je ne sais pas ce qu'est du wizz mais en tout cas ça ressemble beaucoup à ici, la France. Du moins avant la révolte...
- Nous aussi on a essayé de se révolter. On a pris le armes et on est allés chez la reine. Mais on s'est fait botter le cul.
- Mes pauvres bougres ! C'est parce que vous n'aviez pas la Louisette.
- La Louisette ! Un nom issu de l'un de ses inventeurs, le Docteur Louis. Y en a qui appellent ça la « guillotine ». Mais je ne pense pas que ça va prendre.
- Et ça sert à quoi ?
- Elle fait rétrécir même les plus grands. C'est pratique !
- Et hop ! Première mission officielle accomplie ! J'espère que vous avez des binouzes pour fêter ça !
- J'évite de boire. J'ai un passé... toulousain.
- Le Métronome m'a fait rencontrer mes idoles ! Mika et Gandhi. L'un est devenu mon amant, l'autre mon professeur de chant.
- Je préfère pas savoir lequel fait quoi.
C'est bien de contourner les règles de temps en temps.
- Ce n'est pas en sortant des fake news que vous allez réussir, mon vieux ! Jamais je ne me séparerai de mes fidèles employés !
- On a fait un peut détour par le futur. Tous vos employés ont été remplacés par des robots. Moins chers, à priori.
- Boss, vous nous aviez promis la sécurité de l'emploi.
- On prend de gros risques !
- Et puis moi, j'ai même pas eu mes RTT !
- C'est joli chez vous.
- Merci. C'est rare de trouver un 20m2 en plein centre de Paris. On a vraiment de la chance.
Je lui demande pourquoi ils sont dans la cave.
SMS de Mr K. : « La police est venu. On a dû se caché. »
J’espère pour lui que c’est pas la police de la grammaire qui le cherche.
[Louise] On part tout de suite ? Je veux dire… Vu qu’on voyage dans le temps, on peut partir quand on veut, non ?
[Mattéo] Non.
[Louise] Vous êtes tellement pédagogue.
[Michel] Sérieux, il est pédagogue, Mattéo ? Franchement, ça se voit trop pas !
- Le Métronome s'est débarrassé de ses anciens employés. Trop chers et moins performant que ses nouveaux robots. Mais moi je préfère travailler avec des humains.
- Le Métronome s'excuse de en pas être là. Il est au Conseil des Ministres. Napoléon doit présenter son budget pour l'invasion de la Russie. Mais Attila a du mal à chiffrer les pillages à venir. Sans compter Staline qui veut absolument développer des goulags dans le 93.
- On peut dire qu'il a réalisé son rêve : il bosse avec ses idoles.
- Et pourquoi il parle comme un wesh, lui, d'un coup ?
- Les Castafoltes sont neutres quand ils bootent pour la première fois. Mais quand on l'a commandé, le livreur s'est planté et le colis a atterri dans une cité du 93. Le temps qu'on le retrouve, il était déjà en train de vendre de la beuh en bas des immeubles.
- Constance va te foutre au trou. Y a plein de prisonniers chelou là-dedans et ils vont s'occuper de ton trou. Ton trou de balle, quoi. T'as compris ?
- N'exagère pas, Michel. Le trou, c'est un vide temporel. Techniquement le viol est impossible. Tu tombes dedans et tu restes figé, c'est tout.
- Ah ouais ? Et si tu tombes dans le trou avec la gaule et que tu arrives sur un gars le cul à l'air, hein ? T'appelles cela comment ?
- J'appelle ça une véritable prouesse acrobatique, Michel.