Quand il fait jour, on aperçoit Henri le saule rieur raconter des blagues au baobab qui se tord de rire et c'est pour cela qu'il finit, vous le savez bien, la tête à l'envers.
Sophie poursuivra ainsi l’Odyssée sidérale entre rêve et réalité. Elle veillera en silence et pour l’infini parmi d’autres guetteurs invisibles, suspendue par un crochet d’espoir. p.148
Puis, voyant chacun se déplacer au gré de son instinct, apportant ici ou là une petite touche, elle se dirige vers l’un de ses endroits favoris, là où la mer se fracasse sur les rochers, où les falaises semblent hésiter entre rester ou s’en aller. P.106